Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

martes, 30 de abril de 2019

El Centro de Estudios Andaluces participa por décimo año en la Feria de del Libro de Granada

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Del 10 al 19 de mayo se celebra esta cita cuyo lema será “Pedro Antonio de Alarcón y la Granada del s. XIX”, coincidiendo con el centenario del estreno en Londres del ballet “El sombrero de tres picos” de Manuel de Falla basado en la novela homónima del a

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Meteoro y galaxia | Imagen astronomía diaria - Observatorio

La galaxia no estaba en peligro. Por un lado, porque la galaxia Triangulum (M33), en la fotografía, es mucho mayor que el minúsculo grano de roca que hay al frente del meteoro. Por otra parte, la galaxia se encuentra mucho más lejos: en este caso, 3 millones de años luz, en lugar de los sólo 0,0003 segundos luz. Sin embargo, la trayectoria del meteorito le llevó angularmente por debajo de la galaxia. Además, el viento de la alta atmósfera de la Tierra proyectó las moléculas de la brillante evaporación del meteorito lejos de la galaxia. El astrofotógrafo tuvo mucha suerte en captar tanto el meteorito como la galaxia en una sola exposición; posteriormente añadir otras dos imágenes de M33 para poner de manifiesto los colores de la galaxia espiral. Al final, el meteorito desapareció en un segundo, pero la galaxia durará miles de millones de años. - Artículo*: Alex Dantart - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Pétition appellant à soutenir l'appel des 1170 membres de la communauté scientifique internationale concernant la reconstruction de Notre-Dame de Paris.

Il n'est pas dans mes habitudes de relayer ici des pétitions. Mais il est des moments où il est indispensable de se mobiliser pour le patrimoine car, à mon avis, le projet de loi que l'on cherche à faire passer d'urgence pour le chantier de Notre-Dame et l'état d'esprit le sous-tendant sont de nature à causer des dommages tout autant catastrophiques à terme que l'incendie de la cathédrale. Je reproduis ci-dessous le texte intégral de cette pétition à mon sens non polémique et pleine de bon sens. Vous pouvez la signer sur la plateforme Change.org Monsieur le Président de la République, Le Figaro a publié le lundi 29 avril une lettre ouverte signée par 1170 membres de la communauté scientifique internationale vous appelant à ne pas dessaisir les experts du patrimoine de la gestion sereine de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris et à renoncer à votre projet d'une loi d'exception visant à s'affranchir de tout ou partie des règles existantes quant à la protection du patrimoine. Monsieur le Président, la France possède déjà une législation exemplaire et pionnière en la matière, que prolongent et complètent des chartes internationales comme celle de Venise et diverses actions de l'UNESCO sur le plan du patrimoine culturel. Monsieur le Président, la France possède également des institutions d'excellence formant des spécialistes de la protection, reconnues internationalement et attirant des étudiants du monde entier, qu'il s'agisse des métiers de l'esprit ou de la main. Nous avons toute la main-d'œuvre nécessaire, depuis les cabinets d'étude jusqu'aux artisans parfaitement formés aux techniques les plus traditionnelles comme les plus modernes. Monsieur le Président, passé la vive et légitime émotion devant ce désastre, gardons tous l'esprit calme et évadons-nous des calendriers autres que celui d'un chantier d’exception qui doit tout d'abord être parfaitement diagnostiqué quant à tous les dégâts subis, notamment par la maçonnerie qui dans sa minéralité est cependant un corps vivant, enfiévré et fragile, avant de pouvoir faire des choix quant au projet de restauration et établir un calendrier des travaux. Nul ne sait aujourd'hui si ce chantier durera 5 ans ou moins, 15 ans ou plus. Laissons le temps de la réflexion décider du temps nécessaire aux travaux et ayons tous un seul objectif, terriblement ambitieux celui-là : faire en sorte que ce chantier soit exemplaire, tant dans la qualité des travaux accomplis que comme laboratoire des techniques et des modes de transmission des savoirs-faire. Nous demandons à tous les professionnels du patrimoine, qu’ils soient charpentiers, tailleurs de pierre, couvreurs ou de n’importe quel métier dit manuel, ou qu’ils soient conservateurs, historiens, professeurs d’architecture ou de n’importe quel métier dit intellectuel, de signer cette pétition pour se joindre à ces 1170 membres de la communauté scientifique internationale et épauler ainsi leur appel. Nous le demandons aussi à tous les amoureux du patrimoine, qu’ils soient partisans d’une reconstruction à l’identique ou bien de projets plus modernistes. Car dans tous les cas, ce monument phare qu’est Notre-Dame de Paris mérite l’urgence… d’une réflexion apaisée ! Merci Monsieur le Président de renoncer à votre projet de loi et de nous aider à réussir ce projet bien plus ambitieux dont l’humain sera la pierre angulaire. Vous pouvez signer cette pétition sur la plateforme Change.org. Merci de la partager également le plus largement possible. Original post blogged on b2evolution. - Artículo*: Jean-Michel MATHONIÈRE - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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La philosophie n'est-elle pas une pratique ?

Il y a un cliché selon lequel la philosophie serait purement théorique. Intellectuelle. "Que des mots". Et ainsi de suite. Derrière ce stéréotype, il y a l'opinion selon laquelle la théorie serait inutile, au mieux superficielle, un préambule à la pratique, au concret, seul réel. Pourtant, chacun admet que la philosophie est une pratique difficile. Car, oui, c'est une pratique. La théorie est une pratique. Vraiment théoriser, c'est vraiment pratiquer. Penser est une pratique. Quelle pratique ? Certains croient que penser est un simple jeu de mots qui n'a pas de conséquence réelles, qui n'est pas ressenti et qui est donc sans réel pouvoir. Mais la philosophie est une pratique. D'abord, la base de la philosophie, c'est le dialogue. Intérieur (la méditation) ou bien avec autrui. Bien sûr, la philosophie ne se limite pas au dialogue. Mais, depuis Socrate au moins, nous savons que l'amour de la sagesse s'exprime d'abord dans la pratique du "dialogue" : le logos, la raison, passe par nous, à travers nous. Et cette lumière naturelle, innée, nous transforme. Raisonner, ça n'est pas chercher à "avoir raison", c'est se soumettre au tribunal de la raison. Ça n'est pas une sorte de masturbation solitaire, une fuite. Raison vient de ratio, "mise en rapport", relation. Même si je suis physiquement seul, penser me "met en relation" avec un Autre intérieur. La pensée est un dialogue intérieur. Or, le dialogue est une pratique difficile. On le voit en observant combien un dialogue serein est chose rare. En général, ce sont des ego, identifiés à des opinions, qui s'affrontent, et non des personnes qui cherchent ensemble la vérité. La pratique de la philosophie exige que je prenne mes distances par rapport à mes opinions, sans toutefois demander, comme on le croit trop souvent aujourd'hui, un scepticisme universel ("à chacun son opinion") qui n'est que paresse. Prendre du recul par rapport à des opinions est chose difficile. C'est un travail sur soi, qui va toucher jusqu'aux couches les plus profondes de notre être. Discutez avec ceux qui professent que "c'est juste intellectuel" : leur attachement irraisonné à telle ou telle croyance se révélera bien vite ! La philosophie n'exige pas que nous soyons sceptiques : elle demande seulement que nous fassions l'effort d'écouter et de répondre en argumentant. Argumenter : voilà une autre pratique difficile. S'exercer à trouver des raisons qui justifient telle ou telle assertion. Voilà qui est une véritable pratique. J'adhère à telle croyance. Soit. Mais pourquoi ? Puis-je le justifier ? Puis-je rendre raison de mon opinion ? Chacun soupçonne la puissance de ce petit "pourquoi ?" que les parents s'empressent de traiter chez leurs enfants... La philosophie est donc la pratique du dialogue argumenté. Pratique libre, ouverte, c'est-à-dire sans présupposé sceptique (à quoi bon penser alors ?), ni préjugé dogmatique (il n'y a pas de réponse attendue, le dialogue est libre, ouvert). Cette pratique est d'une puissance incroyable. Simple, mais profonde. Elle ne présuppose rien que ce qui est évident et naturelle. Elle est ouverte, égalitaire, elle respecte les droits d'autrui et célèbre sa liberté. Apprendre à argumenter, c'est aussi apprendre à déjouer les pièges du langage, de la logique, les raisonnements fallacieux, les sophismes, les apparences, les habitudes. Penser, c'est observer les habitudes subtiles, c'est un exercice complet, qui mène au vrai qui est le bien, au plus profond. C'est se rendre service mutuel. Un épouillage intellectuel est l'une des plus belles activités humaines. On y retrouve toutes les vertus, y-compris l'amour, l'amour du vrai, l'amour de l'autre, l'amour du vrai en l'autre. Le dialogue exerce la mémoire, stimule l'imagination (les expériences de pensée), fait travailler la parole, le souffle, engage le corps entier, dévoile et soulage les émotions, révèles les blocages, grossiers et subtils. Toutes nos actions sont fondées sur nos opinions (nos croyances). Travailler ses opinions, c'est travailler sur soi. Œuvrer sans gourou, sans culte de la personne, mais dans le respect de toutes, à la fois dans l'amour de l'universel en l'autre, et dans la reconnaissance de sa singularité, de son individualité. La philosophie est une pratique complète, une pratique de liberté. Une pratique d'amour, d'ouverture, de lucidité, de rigueur, de créativité, une culture de soi, une célébration du mystère, de l'étonnement d'être. Si l'on me demande ce que je suis, je rechigne à répondre, car je me méfie des étiquettes. Mais, tout bien pesé, je suis philosophe. Amoureux de la sagesse, aspirant au vrai, au bien, au beau. Ça me suffit largement. Aspirer à la vérité, à respirer son air, parfois glacial, mais toujours salutaire, c'est déjà pas mal. Je ne suis ni yogi, ni tantrika, ni universitaire, ni érudit, ni sage, ni gourou, ni éveillé. Juste aspirant à spiraler sous l'inspiration de ce je-ne-sais-quoi, là, ici. Je suis un adepte de la "chasse à la sagesse" à laquelle nous invitait Socrate. Oui, rien d'autre, car cela contient tout, en fait. Et "philosophe", c'est une définition qui ouvre. C'est aimer le mystère de tout son être, de toutes ses forces. Sans exclure aucune faculté. Pendant des siècles, on a nié le corps au nom de l'esprit. Aujourd'hui, on trouve beau de nier l’intellect au nom du corps. Alors moi, oui, je suis un intellectuel. Ça me va. Intellectus, noûs, buddhi... pas si mal. Theorein : contempler le divin. Or, nous devenons ce que nous contemplons, ce que nous admirons. Théoriser, c'est donc devenir divin, "dans la mesure de nos forces", comme disaient les Grecs. C'est grave la philo, c'est gourou. Pas laghou, pas light. La philosophie n'est pas tout, mais elle contient toutes les saines pratiques. Elle est la solide fondation. En philosophe, tout est possible. Je peux versifier, prosaïquer, pique-niquer, yoguiser, canaliser, peindre, méditer, créer, ressentir, intuiter, humer, pister, clouer, lutter, fuir et combattre, aimer, admirer, rêver... Tout est possible. Sainement. Librement. "En conscience", dans le jargon pseudo-spirituel. La vie intérieure est philosophie. La philosophie est une voie spirituelle complète. Une thérapie gratuite, mais non sans prix. Un yoga sans tapis, mais non dépourvu de sa sueur, une pleine conscience sans posture, mais non sans engagement. Bien sûr, la spiritualité contemporaine rejette l'intellect. Car elle rejette la critique. Car la critique (de krinein, "passer au tamis"), c'est mauvais pour le profit. Ça casse la magie du business. C'est pas une "valeur ajoutée". J'entend partout des gens dire "le corps est un outil, faut en prendre soin". Et alors hop, yoga et tout. Et ces mêmes gens disent "le mental est un outil". Mais je ne les ai JAMAIS entendu dire : "Prenez soin de votre intellect, exercez-le, apprenez à penser, à raisonner, étudiez les sophismes, faites des exercices de logique, apprenez à problématiser !" Jamais. Pas une seule fois. Allez comprendre... La devise des Lumières est plus que jamais d'actualité : "Ose penser !" Ne craint pas de sauter par-dessus la barrière. Ce ne sont pas les moutons qui te protégerons, de toutes façons. Rien ne vaut la liberté. Aucune "paix", aucun "bonheur", aucune "pureté" ne valent la liberté intellectuelle. Il y a même des gens qui vendent l'esclavage en le présentant comme la liberté. Et il ne manque pas de clients. Bref. Telle est mon intuition : la raison, c'est bon. La philosophie est vaste et profonde, une exploration sans autres limites que celles que nous choisissons. J'espère que nous regardons dans la même direction pour célébrer, tel un chœur improvisé, ce je-ne-sais-quoi. - Artículo*: noreply@blogger.com (David Dubois) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Reunión de los dos Colegios de Psicología de Andalucía para cooperar en la construcción de una voz única de la profesión ante la administración

Los decanos de los dos Colegios Oficiales de Psicología de Andalucía se han reunido en Granada para marcar una hoja de ruta sobre su cooperación para tener una única representación y voz de la "Psicología andaluza", que fortalezca la profesión y reivindicaciones del sector (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Actividades para concienciar sobre ciberseguridad en el aula

IS4K (INCIBE) ha elaborado una serie de materiales, consistentes en actividades didácticas, para incorporar en el aula y trabajar el tema de la seguridad en el uso de las nuevas tecnologías de la información y comunicación (TIC) con el alumnado. Las propuestas didácticas están concebidas para trabajar con grupos (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Manifiesto del COP sobre el Día Europeo de la Solidaridad y la Cooperación entre generaciones

Bajo el lema “Tú me aportas, yo te aporto” desde el Grupo de Trabajo de Psicología del Envejecimiento del Consejo General de la Psicología de España queremos aprovechar el Día Europeo de la Solidaridad y la Cooperación entre Generaciones para poner de manifiesto la importancia de que las generaciones lleven a cabo intercambios llenos de vida, es decir, que el hecho de compartir experiencias suponga un aporte de energía, de motivación y sobre todo de sabiduría y de enriquecimiento personal entre personas de diferentes generaciones. Se trata de experiencias que promuevan el envejecimiento activo y saludable - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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¿Hasta qué punto los pacientes son honestos con los clínicos?

La mayoría de los pacientes ha ocultado al menos una vez información médica relevante a los profesionales sanitarios que les atendieron. Esta es una de las conclusiones de un estudio realizado en EE.UU., con una muestra de más 4.500 adultos. La comunicación del paciente al profesional sanitario es un pilar fundamental para el establecimiento de una adecuada relación terapéutica (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
La mayoría de los pacientes ha ocultado al menos una vez información médica relevante a los profesionales sanitarios que les atendieron. Esta es una de las conclusiones de un estudio realizado en EE.UU., con una muestra de más 4.500 adultos. La comunicación del paciente al profesional sanitario...

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EL DICTAMEN DE "EL ROTO"

- Artículo*: posesodegerasa - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Contrainformación de la que no encontrarás en los medios "oficiales", y pistas que ayuden al despertar ciudadano y espiritual

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LO QUE ANUNCIA LA PORTADA DE "THE ECONOMIST" PARA ESTAS FECHAS

Aunque la edición 2019 del órgano de expresión de la Banca Rothschild, y por ende, de la Élite globalista articulada en torno, se produjo en noviembre pasado, es obvio ver la correspondencia entre acontecimientos ya cumplidos durante el año en curso y otros programados para fechas inmediatas. Por de pronto, el protagonismo de Leonardo da Vinci en estas imágenes ha sido un posible marcador para la actualidad planificada: en la fecha de nacimiento del genio, 15 de abril, arde Notre Dame; el próximo 2 de mayo se cumplirán justo 500 años de su muerte. ¿Hemos de temer otro golpe de efecto del N.W.O.? - Artículo*: posesodegerasa - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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lunes, 29 de abril de 2019

LA BIBLIOTECA DE FRANCIA OTRA OBRA DE CATALINA DE MEDICI

Signo de Leo en un manuscrito astrológico editado en 1501 y firmado por Hakin (Abu Ma'sar Ga'far), escrito en árabe el cual se encuentra en la Biblioteca Nacional de Francia, siendo de dominio público. Todo indica que es uno de los manuscritos que Catalina de Medici hizo llevar a Francia, conformando así una Biblioteca admirada en todo el mundo. Así hablaba de ello uno de sus contemporáneos, el historiador Palma Cayet (1525-1610): La reina madre es digna de elogio por haber hecho investigar antiguos manuscritos estuvieran en la lengua que fuera, con los cuales ha aumentado y dado honor a la biblioteca del rey [Francisco I] logrando que sea la más bella del mundo Hilarión de Coste (1595-1661), es otra fuente que nos explica que él mismo fue enviado por esta reina hermética a Florencia en busca de libros y manuscritos de su bisabuelo Lorenzo el Magnífico. Y aún más, resume todas las obras de arquitectura que realizó en Paris donde esta reina hermética llevó el Renacimiento. No puede menos de elogiarse en la madre de Enrique III la elegancia de sus modales, y un amor ilustrado a las ciencias y las artes. Hizo trasladar a Francia desde Florencia una parte de los preciosos manuscritos que su bisabuelo Lorenzo de Medici había adquirido cuando la conquista de Constantinopla. Por su orden fueron construidos el palacio de las Tullerias, el Soissons, los castillos de Monceaux y Chenonceaux, y otros muchos edificios notables por un género de arquitectura, de cuyos verdaderos principios no había por aquel tiempo en Francia ni aun idea. Mª Ángeles Díaz". Catalina de Medici. Mª Ángeles Díaz "La reina hermética de Francia". 1 Chronologie. 2 Diccionario Biográfico y Universal de las mujeres Célebres. - Artículo*: Mª Ángeles Díaz - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Caleidoscopio Cultural, Blog Hermético.

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Missing Piece of World’s Oldest Computer Discovered?

Potentially a missing part of the Antikythera mechanism, an ancient Greek device designed to calculate astronomical positions and often considered the world’s first computer, has been found on the Aegean seabed. The section was discovered at the same wreck site where the original 2,200 year old mechanism was first located in 1901. Researchers were elated to retrieve artifacts that had survived not only the passage of time, but also the destruction havocked by looters and Jacques Cousteau. (Indeed, in 1976, the famous French explorer accidentally destroyed much of what remained of the ship’s hull.) Antikythera Mechanism, Louisa Gouliamaki/Getty The Antikythera Mechanism was initially lost when the cargo boat that it was on was shipwrecked off the coast of a small Greek Island between Kythera and Crete called Antikythera (which is why it has been named the Antikythera Mechanism). When the Mechanism was first discovered, Greek sponge divers brought it to archaeologist Valerios Stais at the National Archaeological Museum in Athens, who had no idea what they had discovered. Fortunately Spyridon Stais, Stais’ cousin and a former mathematician, was able to recognize the gears in the mechanism. With the development of advanced x-ray technology and plentiful collaboration (from Cousteau to modern historians of science like Alexander Jones), it was eventually identified to be a technologically advanced calculator. The gears of The Antikythera mechanism For those who want a quick recap on the abilities of the Antikythera Mechanism, the second century BCE invention could calculate the movements of the sun and moon, predict eclipses and equinoxes, track movements of constellations and planets… as well as do basic math! Not only that, but the Greek (possibly from the Island of Rhodes) creation also contains over thirty hand-worked cogs, dozens more than the average luxury Swiss watch. Almost 50 years after Cousteau’s underwater research, a new team of archeologists excavated the site, finding hundreds of previously undiscovered artifacts, such as statues, coins, furniture, even a sarcophagus lid. Last year they found an encrusted corroded disk about 8 cm in diameter… and recently it was revealed that the disk has an engraving of the zodiac sign Taurus the bull, which was discovered through x-ray analysis. Discovery of a missing piece of Antikythera Mechanism on the Aegean sea floor Brett Seymour / EUA/ARGO While archaeologists still do not know exactly what this new piece is, there are theories that it could be part of the original Antikythera Mechanism or a section of a second similar device. The reason for this thinking is the presence of the bull engraving, which could have been for the prediction of the constellation of Taurus. Of course, it will be impossible to know for sure whether this discovery is a piece of the world’s oldest analog computer… or a remarkable discovery on its own terms. Either way the continued exploration and research has drawn attention to the existence of this ancient ‘calculator’ as well as to the field of archeology itself. - Artículo*: plato - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Missing Piece of World’s Oldest Computer Discovered? by plato on April 29, 2019 Potentially a missing part of the Antikythera mechanism, an ancient Greek device designed to calculate astronomical positions and often considered the world’s first computer, has been found on the Aegean seabed. The ...

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Bibliografía sobre el Kambó

Rana Phyllomedusa bicolor por Матвеев Олег. Fuente: Wikimedia Commons Kambó es la secreción cutánea que se obtiene de la rana Phyllomedusa bicolor, un anfibio anuro arbóreo que habita en la cuencas del Amazonas y el Orinoco en América del Sur.​ La secreción está compuesta por un complejo sinérgico de péptidos. Otros nombres comunes: Kampô pae, nombre utilizado por los Noke Kuin Dow kiet, palabra utilizada por los Matsés Sapo, vacina de sapo o vacina da floresta, en portugués brasileño BIBLIOGRAFÍA RELEVANTE (en orden cronológico) TASTEVIN, Constantin 1925. «Le fleuve Muru – Ses habitants. — Croyances et moeurs kachinaua». En Société de Géographie (en francés). XLIII: 403-422. GORMAN, Peter 1990. «People of the Jaguar: Shamanic Hunting Practices of the Matses». En Shaman’s Drum 21: 40-49. RICHTER, K.; EGGER, R.; NEGRI, L.; CORSI, R.; SEVERINI, C. y G. KREIL 1990. «cDNAs encoding [D-Ala2]deltorphin precursors from skin of Phyllomedusa bicolor also contain genetic information for the dermorphin related opioid peptides». En Proceedings of the National Academy of Sciences 87 (12): 4836-9. PMID: 2352951. PMCID: 54213 ERSPAMER, Vittorio 1991. «The opioid peptides of the amphibian skin». En International Journal of Developmental Neuroscience 10 (1): 3-30. doi:10.1016/0736-5748(92)90003-I NEGRI, Lucia; ERSPAMER, Giuliana Falconieri; SEVERINI, Cinzia; POTENZA, Rosa Luisa; MELCHIORRI, Pietro y Vittorio ERSPAMER 1992. «Dermorphin-related peptides from the skin of Phyllomedusa bicolor and their amidated analogs activate two ,u opioid receptor subtypes that modulate antinociception and catalepsy in the rat». En Proceedings of the National Academy of Sciences 89 (15): 7203-7. PMID: 1353890. PMCID: 49674. DALY JW, CÁCERES J, MONI RW, GUSOVSKY F, MOOS M Jr, SEAMON KB, MILTON K y CW MYERS 1992. «Frog secretions and hunting magic in the upper Amazon: identification of a peptide that interacts with an adenosine receptor». En Proceedings of the National Academy of Sciences (en inglés) 89 (22): 10960-10963. ISSN 0027-8424. PMID 1438301. doi:10.1073/pnas.89.22.10960. ERSPAMER, V.; ERSPAMER, G. F.; SEVERINI, C.; POTENZA, R. L.; BARRA, D.; MIGNONA G. y A. BIANCHI 1993. «Pharmacological studies of ‘sapo’ from the frog Phyllomedusa bicolor skin: a drug used by the Peruvian Matses Indians in shamanic hunting practices». En Toxicon: Official Journal of the International Society on Toxinology 31 (9): 1099-1111. ISSN 0041-0101. PMID 8266343. AMATO, Ivan 1992. «From ‘hunter magic,’ a pharmacopeia?». En Science (Nueva York, N.Y.) 258 (5086): 1306. ISSN 0036-8075. PMID 1455225. MIGNONGNA, G.; SEVERINI, C.; SIMACO, M.; NEGRI, L.; ERSPAMER, G. F.; KREIL, G. y D. BARRA 1992. «Identification and characterization of two dermorphins from skin extracts of the Amazonian frog Phyllomedusa bicolor». En FEBS letters 302 (2): 151-154. ISSN 0014-5793. PMID 1633846. LACOMBE, C.; CIFUENTES-DIAZ, C.; DUNIA, I.; AUBER-THOMAY, M.; NICOLAS, P. y M. AMICHE 2000. «Peptide secretion in the cutaneous glands of South American tree frog Phyllomedusa bicolor: an ultrastructural study». En European Journal of Cell Biology 79 (9): 631-641. ISSN 0171-9335. PMID 11043404. doi:10.1078/0171-9335-00085. LIMA, Edilene Coffaci de 2000. «Com os Olhos da Serpente: Homens, Animais e Espíritos nas concepções, Katukina sobre a Natureza». Tese apresentada ao Programa de PsGraduão em Antropologia Social da Universidade de São Paulo como requisito parcial para a obtenão do grau de doutor em Antropologia. LOPES, Leandro Altheman 2000. Kambô, a medicina da floresta (experiência narrativa). Monografia (Graduação em Comunicação Social – habilitação Jornalismo e Editoração) – Universidade de São Paulo, São Paulo. MARTINS, Homero Moro 2006. Os katukina e o kampô : aspectos etnográficos da construção de um projeto de acesso a conhecimentos tradicionais. Dissertação apresentada ao Programa de Pós-Graduação em Antropologia Social da Universidade de Brasília (DAN/UnB) para obtenção de título de mestre. Brasília: Universidade de Brasília. LIMA, Edilene Coffaci de 2005. «Kampu, kampo, kambô: o uso do sapo-verde entre os Katukina». En Revista do IPHAN, Rio de Janeiro, n. 32, p. 254-267. LABATE, Beatriz Caiuby y Edilene Coffaci de LIMA 2007. «“Remédio da Ciência” e “Remédio da Alma”: os usos da secreção do kambô (Phyllomedusa bicolor) nas cidades». En Campos – Revista de Antropologia (en portugués) 8 (1). ISSN 2317-6830. doi:10.5380/cam.v8i1.9553. LABATE, Beatriz Caiuby y Edilene Coffaci de LIMA 2008. «A expansão urbana do kampo (Phyllomedusa bicolor): notas etnográficas». En LABATE, Beatriz Caiuby et al. Drogas e cultura: novas perspectivas, pp. 315-344. Salvador: EDUFBA, 2008. 440 p. ISBN: 978-85-232-0504-1. LIMA, Edilene Coffaci de 2012. «“A gente é que sabe” ou sobre as coisas katukina (pano)». En Revista de Antropologia (en portugués) 55 (1). ISSN 1678-9857. doi:10.11606/2179-0892.ra.2012.46962. DEN BRAVE, Paul S.; BRUINS, Eugéne y Maarten W. G. A. BRONKHORST 2014. «Phyllomedusa bicolor skin secretion and the Kambô ritual». En Journal of Venomous Animals and Toxins including Tropical Diseases 20 (1): 40. ISSN 1678-9199. PMC 4582952. PMID 26413084. doi:10.1186/1678-9199-20-40. LABATE, Beatriz Caiuby y Edilene Coffaci de LIMA 2014. «Medical Drug or Shamanic Power Plant: The Uses of Kambô in Brazil». En Ponto Urbe – Revista do núcleo de antropologia urbana da USP (en inglés) (15). ISSN 1981-3341. doi:10.4000/pontourbe.2384. LEBAN, Vid; KOZELJ, Gordana y Miran BRVAR 2016. «The syndrome of inappropriate antidiuretic hormone secretion after giant leaf frog (Phyllomedusa bicolor) venom exposure». En Toxicon: Official Journal of the International Society on Toxinology 120: 107-109. ISSN 1879-3150. PMID 27421671. doi:10.1016/j.toxicon.2016.07.007. POGORZELSKA, Joanna y Tadeusz W. ŁAPINSKI 2017. «Toxic hepatitis caused by the excretions of the Phyllomedusa bicolor frog – a case reportby the excretions of the Phyllomedusa bicolor frog – a case report». En Clinical and Experimental Hepatology 1: 33-34. ISSN 2392-1099. PMC 5497453. PMID 28856288. doi:10.5114/ceh.2017.65228. ROY R, BARANWAL A y E. D. ESPIRIDION 2018. «Can Overuse of Kambô Cause Psychosis?». En Cureus 10(6): e2770. doi:10.7759/cureus.2770 DE MORAIS, Damila Rodrigues; LANARO, Rafael; BARBOSA, Ingrid Lopes; SANTOS, Jandyson Machado; CUNHA, Kelly Francisco; HERNADES, Vinicius Veri; TESSARO, Elias Paulo; GOMES, Cezar Silvino; EBERLIN, Marcos Nogueira y Jose Luiz COSTA 2018. «Ayahuasca and Kambo intoxication after alternative natural therapy for depression, confirmed by mass spectrometry». En Forensic Toxicology (en inglés) 36 (1): 212-221. ISSN 1860-8965. doi:10.1007/s11419-017-0394-5. AQUILA, Isabella; GRATTERI, Santo; SACCO, Matteo A.; FINESCHI, Vittorio; MAGI, Simona; CASTALDO, Pasqualina; VISCOMI, Graziella; AMOROSO, Salvatore y P. RICCI 2018. «The Biological Effects of Kambo: Is There a Relationship Between its Administration and Sudden Death?». En Journal of Forensic Sciences (en inglés) 63 (3): 965-968. doi:10.1111/1556-4029.13641. HESSELINK, Jan M. Keppel 2018. «Kambo and its Multitude of Biological Effects: Adverse Events or Pharmacological Effects?» En International Archives of Clinical Pharmacology (en inglés estadounidense) 4: 017. ISSN 2572-3987. doi:10.23937/2572-3987.1510017 HESSELINK, Jan M. Keppel 2018. «Kambô: A Shamanic Medicine – Personal Testimonies». En Juniper Online Journal of Case Studies 8 (3). doi:10.19080/JOJCS.2018.08.555739 BERNARDE, Paulo Sérgio; MONTEIRO, Wuelton Marcelo Y Francisco Vaniclei Araújo da SILVA 2019. «“Kambô” frog (Phyllomedusa bicolor): use in folk medicine and potential health risks». En Revista da Sociedade Brasileira de Medicina Tropical 52. ISSN 0037-8682. doi:10.1590/0037-8682-0467-2018 Otros posts relacionados: – Bibliografía relacionada a la Anadenanthera – Bibliografía relacionada a las Plantas Maestras y al Chamanismo – Bibliografía relacionada al Centro Ceremonial Chavín de Huántar – Bibliografía sobre Etnobotánica de Áncash, Perú – Bibliografía sobre Guías de Plantas Medicinales y Nutritivas - Artículo*: cbrescia - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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N11: Nubes Estelares de la LMC | Imagen astronomía diaria - Observatorio

Las estrellas masivas, los vientos abrasivos, las montañas de polvo y la luz energética esculpen una de las regiones de formación estelar más grandes y pintorescas del Grupo Local de galaxias. Conocida como N11, la región es visible en la parte superior derecha de muchas imágenes de su galaxia natal, la Gran Nube de Magallanes, la compañera de la Vía Láctea. La fotografía fue hecha con propósitos científicos por el Telescopio Espacial Hubble y reprocesada por un aficionado con la esperanza de ganar el concurso de los Tesoros escondidos del Hubble. La sección representada se conoce como NGC 1763, pero forma parte de la nebulosa de emisión N11, la segunda en tamaño de la Gran Nube de Magallanes tras la nebulosa de la Tarántula. Alrededor de la imagen también se observan glóbulos compactos de polvo oscuro que contienen estrellas jóvenes emergentes. Un nuevo estudio de las estrellas variables de la Gran Nube de Magallanes con el Hubble ha permitido recalibrar la escala de distancia del Universo observable, pero ha dado como resultado una escala ligeramente diferente de la que se encuentra utilizando el omnipresente fondo de microondas cósmico. - Artículo*: Alex Dantart - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Tipos de personas

Haji Bektash Veli (ks) dijo: Hay cinco tipos de personas: "Hombres gentiles, que dan pero no comen; Hombres generosos, que comen y dan; Hombres malos, que comen y no dan; Hombres hambrientos, que no pueden ni dar ni comer; Hombres terribles, ambiciosos que comen, no dan y trabajan para evitar que otros den". - Artículo*: aliyye - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Bibliografía sobre el Kambó

Rana Phyllomedusa bicolor por Матвеев Олег. Fuente: Wikimedia Commons Kambó es la secreción cutánea que se obtiene de la rana Phyllomedusa bicolor, un anfibio anuro arbóreo que habita en la cuencas del Amazonas y el Orinoco en América del Sur.​ La secreción está compuesta por un complejo sinérgico de péptidos. Otros nombres comunes: Kampô pae, nombre utilizado por los Noke Kuin Dow kiet, palabra utilizada por los Matsés Sapo, vacina de sapo o vacina da floresta, en portugués brasileño BIBLIOGRAFÍA RELEVANTE (en orden cronológico) TASTEVIN, Constantin 1925. «Le fleuve Muru – Ses habitants. — Croyances et moeurs kachinaua». En Société de Géographie (en francés). XLIII: 403-422. GORMAN, Peter 1990. «People of the Jaguar: Shamanic Hunting Practices of the Matses». En Shaman’s Drum 21: 40-49. RICHTER, K.; EGGER, R.; NEGRI, L.; CORSI, R.; SEVERINI, C. y G. KREIL 1990. «cDNAs encoding [D-Ala2]deltorphin precursors from skin of Phyllomedusa bicolor also contain genetic information for the dermorphin related opioid peptides». En Proceedings of the National Academy of Sciences 87 (12): 4836-9. PMID: 2352951. PMCID: 54213 ERSPAMER, Vittorio 1991. «The opioid peptides of the amphibian skin». En International Journal of Developmental Neuroscience 10 (1): 3-30. doi:10.1016/0736-5748(92)90003-I NEGRI, Lucia; ERSPAMER, Giuliana Falconieri; SEVERINI, Cinzia; POTENZA, Rosa Luisa; MELCHIORRI, Pietro y Vittorio ERSPAMER 1992. «Dermorphin-related peptides from the skin of Phyllomedusa bicolor and their amidated analogs activate two ,u opioid receptor subtypes that modulate antinociception and catalepsy in the rat». En Proceedings of the National Academy of Sciences 89 (15): 7203-7. PMID: 1353890. PMCID: 49674. DALY JW, CÁCERES J, MONI RW, GUSOVSKY F, MOOS M Jr, SEAMON KB, MILTON K y CW MYERS 1992. «Frog secretions and hunting magic in the upper Amazon: identification of a peptide that interacts with an adenosine receptor». En Proceedings of the National Academy of Sciences (en inglés) 89 (22): 10960-10963. ISSN 0027-8424. PMID 1438301. doi:10.1073/pnas.89.22.10960. ERSPAMER, V.; ERSPAMER, G. F.; SEVERINI, C.; POTENZA, R. L.; BARRA, D.; MIGNONA G. y A. BIANCHI 1993. «Pharmacological studies of ‘sapo’ from the frog Phyllomedusa bicolor skin: a drug used by the Peruvian Matses Indians in shamanic hunting practices». En Toxicon: Official Journal of the International Society on Toxinology 31 (9): 1099-1111. ISSN 0041-0101. PMID 8266343. AMATO, Ivan 1992. «From ‘hunter magic,’ a pharmacopeia?». En Science (Nueva York, N.Y.) 258 (5086): 1306. ISSN 0036-8075. PMID 1455225. MIGNONGNA, G.; SEVERINI, C.; SIMACO, M.; NEGRI, L.; ERSPAMER, G. F.; KREIL, G. y D. BARRA 1992. «Identification and characterization of two dermorphins from skin extracts of the Amazonian frog Phyllomedusa bicolor». En FEBS letters 302 (2): 151-154. ISSN 0014-5793. PMID 1633846. LACOMBE, C.; CIFUENTES-DIAZ, C.; DUNIA, I.; AUBER-THOMAY, M.; NICOLAS, P. y M. AMICHE 2000. «Peptide secretion in the cutaneous glands of South American tree frog Phyllomedusa bicolor: an ultrastructural study». En European Journal of Cell Biology 79 (9): 631-641. ISSN 0171-9335. PMID 11043404. doi:10.1078/0171-9335-00085. LIMA, Edilene Coffaci de 2000. «Com os Olhos da Serpente: Homens, Animais e Espíritos nas concepções, Katukina sobre a Natureza». Tese apresentada ao Programa de PsGraduão em Antropologia Social da Universidade de São Paulo como requisito parcial para a obtenão do grau de doutor em Antropologia. MARTINS, Homero Moro 2006. Os katukina e o kampô : aspectos etnográficos da construção de um projeto de acesso a conhecimentos tradicionais. Dissertação apresentada ao Programa de Pós-Graduação em Antropologia Social da Universidade de Brasília (DAN/UnB) para obtenção de título de mestre. Brasília: Universidade de Brasília. LABATE, Beatriz Caiuby y Edilene Coffaci de LIMA 2007. «“Remédio da Ciência” e “Remédio da Alma”: os usos da secreção do kambô (Phyllomedusa bicolor) nas cidades». En Campos – Revista de Antropologia (en portugués) 8 (1). ISSN 2317-6830. doi:10.5380/cam.v8i1.9553. LIMA, Edilene Coffaci de 2012. «“A gente é que sabe” ou sobre as coisas katukina (pano)». En Revista de Antropologia (en portugués) 55 (1). ISSN 1678-9857. doi:10.11606/2179-0892.ra.2012.46962. DEN BRAVE, Paul S.; BRUINS, Eugéne y Maarten W. G. A. BRONKHORST 2014. «Phyllomedusa bicolor skin secretion and the Kambô ritual». En Journal of Venomous Animals and Toxins including Tropical Diseases 20 (1): 40. ISSN 1678-9199. PMC 4582952. PMID 26413084. doi:10.1186/1678-9199-20-40. LABATE, Beatriz Caiuby y Edilene Coffaci de LIMA 2014. «Medical Drug or Shamanic Power Plant: The Uses of Kambô in Brazil». En Ponto Urbe – Revista do núcleo de antropologia urbana da USP (en inglés) (15). ISSN 1981-3341. doi:10.4000/pontourbe.2384. LEBAN, Vid; KOZELJ, Gordana y Miran BRVAR 2016. «The syndrome of inappropriate antidiuretic hormone secretion after giant leaf frog (Phyllomedusa bicolor) venom exposure». En Toxicon: Official Journal of the International Society on Toxinology 120: 107-109. ISSN 1879-3150. PMID 27421671. doi:10.1016/j.toxicon.2016.07.007. POGORZELSKA, Joanna y Tadeusz W. ŁAPINSKI 2017. «Toxic hepatitis caused by the excretions of the Phyllomedusa bicolor frog – a case reportby the excretions of the Phyllomedusa bicolor frog – a case report». En Clinical and Experimental Hepatology 1: 33-34. ISSN 2392-1099. PMC 5497453. PMID 28856288. doi:10.5114/ceh.2017.65228. ROY R, BARANWAL A y E. D. ESPIRIDION 2018. «Can Overuse of Kambô Cause Psychosis?». En Cureus 10(6): e2770. doi:10.7759/cureus.2770 DE MORAIS, Damila Rodrigues; LANARO, Rafael; BARBOSA, Ingrid Lopes; SANTOS, Jandyson Machado; CUNHA, Kelly Francisco; HERNADES, Vinicius Veri; TESSARO, Elias Paulo; GOMES, Cezar Silvino; EBERLIN, Marcos Nogueira y Jose Luiz COSTA 2018. «Ayahuasca and Kambo intoxication after alternative natural therapy for depression, confirmed by mass spectrometry». En Forensic Toxicology (en inglés) 36 (1): 212-221. ISSN 1860-8965. doi:10.1007/s11419-017-0394-5. AQUILA, Isabella; GRATTERI, Santo; SACCO, Matteo A.; FINESCHI, Vittorio; MAGI, Simona; CASTALDO, Pasqualina; VISCOMI, Graziella; AMOROSO, Salvatore y P. RICCI 2018. «The Biological Effects of Kambo: Is There a Relationship Between its Administration and Sudden Death?». En Journal of Forensic Sciences (en inglés) 63 (3): 965-968. doi:10.1111/1556-4029.13641. HESSELINK, Jan M. Keppel 2018. «Kambo and its Multitude of Biological Effects: Adverse Events or Pharmacological Effects?» En International Archives of Clinical Pharmacology (en inglés estadounidense) 4: 017. ISSN 2572-3987. doi:10.23937/2572-3987.1510017 HESSELINK, Jan M. Keppel 2018. «Kambô: A Shamanic Medicine – Personal Testimonies». En Juniper Online Journal of Case Studies 8 (3). doi:10.19080/JOJCS.2018.08.555739 BERNARDE, Paulo Sérgio; MONTEIRO, Wuelton Marcelo Y Francisco Vaniclei Araújo da SILVA 2019. «“Kambô” frog (Phyllomedusa bicolor): use in folk medicine and potential health risks». En Revista da Sociedade Brasileira de Medicina Tropical 52. ISSN 0037-8682. doi:10.1590/0037-8682-0467-2018 Otros posts relacionados: – Bibliografía relacionada a la Anadenanthera – Bibliografía relacionada a las Plantas Maestras y al Chamanismo – Bibliografía relacionada al Centro Ceremonial Chavín de Huántar – Bibliografía sobre Etnobotánica de Áncash, Perú – Bibliografía sobre Guías de Plantas Medicinales y Nutritivas - Artículo*: cbrescia - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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El Centro de Estudios Andaluces estará presente un año más en la Feria del Libro de Sevilla 2019

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La Fundación contará con caseta propia en la cita literaria, que se celebra del 23 de mayo al 2 de junio, y organiza tres actividades entre las que se encuentra la relación de Blas Infante con los libros y los viajes

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Monismo filosófico y no dualidad 3 (Un monje de Occidente)

Doctrina de la no dualidad y cristianismo. Un monje de Occidente . Indica Vanarasi 1999 - Artículo*: Zurraquín - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Doctrina de la no dualidad y cristianismo. Un monje de Occidente . Indica Vanarasi 1999

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Mindfulness y aceptación contra la depresión

Tener una depresión puede hacer que sientas que estás viviendo bajo un nubarrón perpetuo. Puede que no tengas energía para pedir ayuda, y es posible incluso que intentes evitar tus sentimientos por completo –una táctica que nunca funciona–. Pero ¿y si pudieses utilizar tu depresión como una (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Una app detecta estados emocionales según la postura corporal

Detectar el estado emocional de un individuo a partir de la representación que este hace de su postura corporal es posible a través de la app EmoPose, diseñada por un equipo de investigación en el que participa la Universidad Complutense de Madrid (UCM) en España. ... - Artículo*: - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Detectar el estado emocional de un individuo a partir de la representación que este hace de su postura corporal es posible a través de la app EmoPose, diseñada por un equipo de investigación en el que participa la Universidad Complutense de Madrid (UC

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La Psicología tiene un papel central en la prevención del consumo de drogas”- Entrevista a Elisardo Becoña. IV Congreso Nacional de Psicología e International Symposium On Psychological Prevention

¿Cuál es la situación actual de la prevención de drogas en España?, ¿qué avances, estancamientos y retrocesos han tenido lugar?, ¿qué programas de prevención hay implementados y en qué contextos?, ¿cuál sería la mejor prevención que se puede hacer en los próximos años? Conoceremos la respuesta a estas y otras preguntas de la mano de Elisardo Becoña Iglesias, el próximo mes de julio, en el “State of Art” (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Nueva Junta Coordinadora del CEP-PIE

El Colectivo de Estudiantes de Psicología (CEP-PIE) ha renovado su Junta Coordinadora. La composición de la nueva Junta ha sido elegida en el marco de su LIII Asamblea del CEP-PIE, celebrada en Teruel a principios de este mes de abril. La Junta Coordinadora del Colectivo de Estudiantes de Psicología ejerce funciones tanto de representación externa (comunicación con el Foro de la Psicología (Conferencia de Decanos (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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NEOCHAMANISMO, EL AUGE DEL CHAMANISMO PSICODÉLICO

En las últimas décadas, el chamanismo ha saltado las barreras del marco puramente nativo para convertirse en un conjunto diverso de prácticas que está calando cada vez más en la sociedad occidental. Así, tanto determinadas prácticas y elementos rituales, como un concepto de vida alternativa y natural, se están extendiendo por todo el planeta dando lugar a un nuevo paradigma: el neochamanismo. El neochamanismo es una corriente creciente que tuvo su inicio en la década de los años sesenta del siglo pasado, cuando el movimiento hippie impulsó la idea de buscar el contacto directo con lo trascendente y simultáneamente cuando algunos antropólogos estudiaron con determinados chamanes indígenas, convirtiéndose en sus aprendices, en un intento por asimilar de primera mano los sistemas chamánicos ancestrales, alejándose del punto de vista teórico y anecdótico de sus antecesores. Destacados ejemplos son la obra de Michael Harner sobre los nativos del Alto Amazonas o las aportaciones de Peter Furst y Barbara Myerhoff sobre los chamanes mexicanos. De esta forma el regreso a lo sencillo y natural, a una manera alternativa de vivir o encontrar una nueva forma de espiritualidad cobró un nuevo impulso en el neochamanismo. Esta mezcla de costumbres ancestrales espirituales y de sanación, con el transcurso del tiempo también se han ido mezclando con determinadas pseudoterapias de la “nueva era”, el esoterismo o incluso elementos de la magia del caos, creando gran variedad de corrientes y escuelas con un gran número de seguidores, lo que a su vez también han generado una gran cantidad de detractores. El chamanismo en la sociedad actual Un factor que explica el retorno del chamanismo es el desarrollo creciente de los enfoques holísticos de la salud que utilizan métodos que en el pasado fueron ampliamente conocidos en la práctica tribal y tradicional. El neochamanismo, incorpora buena parte de este antiguo conocimiento, y está recibiendo una creciente atención por parte de quienes buscan nuevas soluciones para los problemas de salud, con independencia de su naturaleza, ya sea física, emocional, mental o espiritual. También debemos considerar que la amplia difusión del neochamanismo se halla en el enfoque espiritual de la ecología. En esta época de crisis medioambiental a escala mundial, el chamanismo proporciona algo de lo que carece nuestra antropocéntrica forma de vida: conexión y respeto hacia el resto de los seres que habitan la Tierra, así como hacia el mismo planeta. Chamanismo psicodélico Pero si algo caracteriza fundamentalmente al chamán, es que adquiere su conocimiento a través de la expansión de la conciencia, o lo que viene a ser lo mismo, por medio del trance. Mircea Eliade, en su clásico estudio sobre el chamanismo, El chamanismo y las técnicas arcaicas del éxtasis, lo define como el “maestro de las técnicas del éxtasis”, ya que a través de la metodología del trance o éxtasis es como el chamán se convierte en un hombre de conocimiento. El chamán es un mediador entre lo desconocido y lo conocido, entre el Cielo y la Tierra, entre lo sagrado y lo profano. El neochamanismo se nutre del chamanismo para elaborar una concepción de la realidad y del ser humano más amplia y actualizada fusionando elementos de diversas culturas. En este sentido, lo más extendido en la actualidad es la incorporación de las plantas sagradas o psicodélicas para alcanzar el éxtasis chamánico, convirtiéndose éstas en el núcleo central de sus prácticas. Podemos encontrar que determinadas corrientes psicoterapéuticas emplean diferentes plantas sagradas como la ayahuasca, los hongos sagrados o la iboga para abordar sus fines terapéuticos. Y, aunque hay quien trata de desvalorizar el neochamanismo, lo cierto es que estas prácticas están demostrando que funcionan muy bien en el trabajo psicoterapéutico transpersonal, ayudando a muchas personas a profundizar en sí mismas. Solo cabe advertir que estas prácticas neochamánicas han de ser usadas desde la integridad, el respeto y con una praxis ética. Hago este comentario porque este neochamanismo se encuentra en “tierra de nadie”, incluso algunos lo han convertido en una moda, por lo que resulta ser un caldo de cultivo de estafadores siempre dispuestos a embaucar a las personas demasiado ingenuas y a buscadores y psiconautas despistados. José Luis López Delgado (Visto en http://bit.ly/2UJomhL) Para cerrar esta entrada, enlazo dos vídeos divulgativos de mi buen amigo (y amigo de todo el universo) Miguel Ángel Ur, neochamán autodidacta que lleva tiempo explorando los senderos de la energía curativa y la sanación espiritual, uno de esos seres adelantados a una futura humanidad perfectamente integrada con la naturaleza y en conexión con nuestra verdadera esencia: - Artículo*: posesodegerasa - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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MEJOR PREVENIR ...

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Contrainformación de la que no encontrarás en los medios "oficiales", y pistas que ayuden al despertar ciudadano y espiritual

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MÓVILES, ARMAS DE ADICCIÓN MASIVA

Documental del canal TV5-Monde que expone cómo las conductas de comunicación y de interacción han cambiado radicalmente con la irrupción de los teléfonos inteligentes en la sociedad occidental, un hecho que ya ha provocado la apertura de espacios donde desintoxicar a aquellos que han sufrido los efectos de la adicción tecnológica. En tan sólo diez años, el teléfono inteligente ha pasado a dominar la vida de las personas. La frontera entre la dependencia y la adicción es tan sutil que es muy difícil darse cuenta. Cada persona mira el móvil unas doscientas veces al día. Las estadísticas arrojan otra cifra alarmante, la de los adolescentes, que cuando cumplan 18 años habrán pasado más de tres años de su vida frente a la pantalla. - Artículo*: posesodegerasa - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Beauty MIJAS NATURAL Belleza

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domingo, 28 de abril de 2019

Sul “duende” di García Lorca e lo “spirito della terra” di Ernst Jünger

Qualche nota sulle corrispondenze fra il duende, «spirito occulto della dolorante Spagna» secondo Federico García Lorca, e lo «spirito della terra» jüngeriano, con qualche sprazzo di Octavio Paz. In appendice, un corposo estratto del testo del poeta spagnolo. di Marco Maculotti copertina: Francisco Goya, “La sepoltura della sardina” “Gioco e teoria del duende” fu una delle quattro conferenze cubane che l’appena trentaduenne Federico García Lorca tenne nel 1930. Tre anni più tardi venne messa in prosa e data alle stampe. Per mezzo di detta conferenza e della conseguente trascrizione per il pubblico di lettori, il noto poeta e drammaturgo spagnolo si prefiggeva di tratteggiare con magistrale maestria lo «spirito occulto della dolorante Spagna», andandone a scandagliare gli anfratti più oscuri, ma al tempo stesso più vivifici del genio tutelare ispanico. Un genio che si manifesta in tutta la sua immediatezza folgorante nell’arte pittorica (Goya), nel canto (Pastora Pavón) e nella danza, fino a giungere ai rituali collettivi dell’anima spagnola: la corrida e, soprattutto, il grande «spettacolo nazionale» della morte, paragonabile unicamente — rileva García Lorca — a quello di un altro Paese che dell’influenza ispanica ha risentito grandemente, per ragioni storiche e culturali: il Messico dove ancora oggi è così venerata la Madonna nella sua accezione terrifica di Santa Muerte. Quel Messico il cui archetipo dominante nell’era contemporanea venne individuato da Octavio Paz nella figura sradicata del «pachuco», che «nella persecuzione, attinge la sua autenticità, il suo vero essere, la sua nudità suprema, di paria, di emarginato». Quel Messico in cui: «La contemplazione dell’orrore e persino la familiarità e il compiacimento nel trattarlo costituiscono […] uno dei tratti salienti […]. Le immagini di Cristo lordo di sangue delle chiese di paese, l’umore macabro, le veglie funebri, l’usanza di mangiare il 2 novembre pani e dolci fatti a forma di ossa e teschi sono abitudini, ereditate da indigeni e spagnoli, inseparabili dal nostro essere. Il nostro culto della morte è culto della vita, nello stesso modo in cui l’amore, che è fama di vita, è brama di morte.» Octavio Paz (1914 – 1998) Dal canto suo, il daimon ispanico, afferma García Lorca, è da rintracciarsi in tutte le sue variegate espressioni (andalusa, gitana, ecc) nel duende: «In tutta l’Andalusia — scrive — la gente parla costantemente del duende e lo scopre appena compare con istinto efficace». Il significato del termine non viene mai esplicitato dall’Autore; è però risaputo che nel dialetto andaluso duende ha innazitutto il significato di «folletto», ma si può tradurre anche come «broccato» o «stoffa pregiata». Nella duplicità concettuale del termine esiste dunque da una parte una dimensione per così dire di elevazione, di eccellenza rispetto alla norma, e dall’altra una più oscura, più panica: «Tutto ciò che ha suoni neri ha duende […] Questi suoni neri sono il mistero, le radici che affondano nel limo che tutti noi conosciamo, che tutti ignoriamo, ma da dove proviene ciò che è sostanziale nell’arte.» Nell’ottica di García Lorca, ad ogni modo, la dicotomia del termine si armonizza coerentemente fra i suoi due opposti: solo colui che ha dentro di sé il duende (nel senso panico del termine) può aspirare all’eccellenza, ad elevarsi sui suoi simili, ciò non dipendendo dalla sua individualità, ma piuttosto dall’aver risvegliato in sé una sorta di forza primordiale che, “possedendo” l’artista (poeta, danzatrice, cantante, ecc) lo conduce oltre i suoi limiti, oltre i limiti stabiliti per il resto del consorzio umano. Infatti «il duende è un potere e non un agire, è un lottare e non un pensare»; «non è questione di facoltà, bensì di autentico stile vivo; ovvero di sangue; cioè, di antichissima cultura, di creazione in atto». Il duende è, secondo lo scrittore, lo «spirito della terra […] potere misterioso che tutti sentono e nessun filosofo spiega». Allargando la visuale su altri lidi geografici e altri autori, è da rilevarsi come il concetto di «spirito della terra» sia stato utilizzato trent’anni dopo (equivalenti a un ciclo di Saturno, governatore dei cicli cosmici), da un altro titano della letteratura novecentesca, il tedesco Ernst Jünger, il quale nella sua opera Al muro del tempo (An der Zeitmauer, 1959) ne dava la seguente definizione: «una forza terrena non ulteriormente spiegabile, il cui pendant all’interno del mondo fisico è dato dall’elettricità» [§67], da immaginarsi «come una corrente animata che attraversa il mondo e lo pervade, senza esserne ancora separata» [§79]. Ernst Jünger (1895 -1998) Pur essendo questa “corrente energetica” impersonale, come García Lorca anche Jünger esplicita che «lo spirito della terra diventa magico solo nel momento in cui ritorna», in cui «lo vediamo coagularsi, cristallizzarsi e indurirsi» [§67]: compito dell’uomo — o, per meglio dire, dell’individuo differenziato — è riportarlo alla vita da quello che egli definisce «fondo originario», scavando nelle profondità del proprio essere: il che vuol dire nei recessi della propria individualità ma anche in quelli della propria eredità genetica, del proprio sangue, della propria madreterra. In questo modo, secondo Jünger, lo spirito della terra può ritornare «negli uomini e nelle istituzioni», di modo che «culti, opere d’arte, città possono assumere carattere magico» [§67]. Su ciò si potrebbero individuare ulteriori parallelismi: per esempio con James Hillman (Saggio su Pan, Il sogno e il mondo infero, ma anche Il codice dell’anima, dove quest’ultima viene intesa come un nucleo imperscrutabile che, possedendo l’individuo nella sua interiorità più profonda, si manifesta al mondo sin dalla più tenera età); o, in alternativa, con Elemire Zolla (Discesa all’Ade e resurrezione e Il dio dell’ebrezza, dove peraltro al duende di García Lorca è riservato un capitolo), Colin Wilson (L’outsider) o Fernando Pessoa. Da parte nostra, ci limitiamo a citare ancora una volta il già menzionato Octavio Paz, che forse aveva in mente qualcosa di simile al «fondo originario» e allo «spirito della terra» jüngeriano quando scrisse: «Far ritorno alla morte originale sarà tornare alla vita di prima della vita, alla vita di prima della morte: al limbo, alle viscere materne.» Come il duende di García Lorca che «opera sul corpo della ballerina come il vento sulla sabbia», anche lo spirito della terra jüngeriano «non dimora entro spazi privilegiati e chiusi. Piuttosto è lecito immaginare che si condensi e palesi in determinati luoghi, o anche in certi uomini, così come l’energia elettrica può rendere luminose alcune parti di un materiale» [§67]. Parimenti, l’arrivo del duende, come si evince dal testo del drammaturgo spagnolo, è segnalato da un repentino «cambiamento radicale di ogni forma» e da una possessione sovrumana che è da collegarsi, nella tradizione occidentale, con l’entusiasmo dionisiaco e l’incontro meridiano con il Grande Dio Pan. Per mezzo di tale esperienza panica, dice García Lorca, il duende «s’incarica di far soffrire per mezzo del dramma, su forme vive, e prepara le scale per un’evasione dalla realtà che ci circonda»: «ferisce, e nella guarigione di questa ferita, che mai rimargina, risiede l’insolito, l’inventato dell’opera umana.» Testi citati: HILLMAN, James: Il codice dell’anima. Adelphi, Milano 1997 HILLMAN, James: Saggio su Pan. Adelphi, Milano 1977 HILLMAN, James: Il sogno e il mondo infero. Adelphi, Milano 2003 GARCÍA LORCA, Federico: Gioco e teoria del duende. Adelphi, Milano 2007 JÜNGER, Ernst: Al muro del tempo. Adelphi, Milano 2000 PAZ, Octavio: Il labirinto della solitudine. SE, Milano 2013 WILSON, Colin: L’outsider. Atlantide, Roma 2016 ZOLLA, Elemire: Il dio dell’ebbrezza. Antologia dei moderni dionisiaci. Einaudi, Torino 1998 ZOLLA, Elemire: Discesa all’Ade e resurrezione. Adelphi, Milano 2002 Federico García Lorca (1898 – 1936) Federico García Lorca “Gioco e teoria del duende” […] Chi si trova nella pelle di toro che si estende tra il Júcar, il Guadalete, il Sil o il Pisuerga (non voglio citare le onde di criniera di leone che agita il Plata), sente dire con una certa frequenza: «Questo ha molto duende». Manuel Torres, grande artista del popolo andaluso, diceva a uno che cantava: «Hai voce, conosci gli stili, ma non ce la farai mai, perché non hai duende». In tutta l’Andalusia, roccia di Jaén e conchiglia di Cadice, la gente parla costantemente del duende e lo scopre appena compare con istinto efficace. Il meraviglioso cantaor El Lebrijano, creatore della debla, diceva: «I giorni che canto con duende non conosco rivali»; un giorno La Malena, la vecchia ballerina gitana, sentendo suonare da Brailowsky un frammento di Bach esclamò: «Olé! Questo sì che ha duende!» e si annoiò con Gluck, con Brahms e con Darius Milhaud. E Manuel Torres, l’uomo di maggior cultura nel sangue che io abbia conosciuto, ascoltando dallo stesso Falla il suo Notturno del Generalife, pronunciò questa splendida frase: «Tutto ciò che ha suoni neri ha duende». Non c’è verità più grande. Questi suoni neri sono il mistero, le radici che affondano nel limo che tutti noi conosciamo, che tutti ignoriamo, ma da dove proviene ciò che è sostanziale nell’arte. Suoni neri, disse il popolano spagnolo, e in ciò concordò con Goethe che, parlando di Paganini, ci fornisce la definizione del duende: «Potere misterioso che tutti sentono e che nessun filosofo spiega». Così, dunque, il duende è un potere e non un agire, è un lottare e non un pensare. Ho sentito dire da un vecchio maestro di chitarra: «Il duende non sta nella gola; il duende sale interiormente dalla pianta dei piedi». Vale a dire, non è questione di facoltà, bensì di autentico stile vivo; ovvero di sangue; cioè, di antichissima cultura, di creazione in atto. Questo «potere misterioso che tutti sentono e nessun filosofo spiega» è, insomma, lo spirito della terra, lo stesso duende che abbracciò il cuore di Nietzsche, il quale lo cercava nelle sue forme esteriori sul ponte di Rialto o nella musica di Bizet, senza trovarlo e senza sapere che il duende da lui inseguito era saltato dai misteriosi greci alle ballerine di Cadice o al dionisiaco grido strozzato della seguiriya di Silverio. Così, dunque, non voglio che si confonda il duende col demonio teologico del dubbio contro il quale Lutero, a Norimberga, scagliò con sentimento bacchico una bottiglietta d’inchiostro, né col diavolo cattolico, distruttore e poco intelligente, che si traveste da cagna per entrare nei conventi, né con la scimmia parlante che l’astuto turcimanno di Cervantes porta con sé nella commedia della gelosia e delle selve di Andalusia. No. Il duende di cui parlo – misterioso e trasalito – discende da quell’allegrissimo demonio di Socrate, marmo e sale, che lo graffiò indignato il giorno che prese la cicuta; e dall’altro malinconico diavoletto di Cartesio, piccolo come mandorla verde, il quale, stufo di cerchi e di linee, se ne andò per i canali a sentir cantare i marinai ubriachi. Ogni uomo, ogni artista, rievocherà Nietzsche; ogni scala che sale nella torre della propria perfezione è il prezzo della lotta che sostiene con un duende, non con un angelo, come si è detto, né con la sua musa. È necessario operare tale fondamentale distinzione per la radice dell’opera. L’angelo guida e regala come san Raffaele, difende ed evita come san Michele e previene come san Gabriele. L’angelo abbaglia, ma vola oltre la testa dell’uomo, è al di sopra, dirama la sua grazia e l’uomo, senza sforzo alcuno, realizza la propria opera, la propria simpatia o la propria danza. L’angelo della via di Damasco, quello che entrò per le fessure di un balconcino di Assisi, o quello che segue i passi di Enrico Susson, ordina e non v’è modo di opporsi alla sua luce, perché agita le ali d’acciaio nell’ambiente del predestinato. La musa detta e, in talune occasioni, soffia. Può abbastanza poco, perché è già lontana e così stanca (io l’ho vista due volte) che dovetti metterle mezzo cuore di marmo. I poeti di musa odono voci e non sanno dove, ma sono della musa che li nutre e, talvolta, se li beve. […] l’angelo dà luce e la musa dà forme (da loro apprese Esiodo). Pane d’oro o piega di tuniche, il poeta riceve regole nel suo boschetto di alloro. Di contro, il duende bisogna svegliarlo nelle più recondite stanze del sangue. […] La vera lotta è quella con il duende. Si conoscono le vie per cercare Dio, dal rude modo dell’eremita a quello sottile del mistico. Con una torre come santa Teresa, o con tre vie come san Giovanni della Croce. […] Per cercare il duende non v’è mappa né esercizio. Si sa soltanto che brucia il sangue come un topico di vetri, che prosciuga, che respinge tutta la dolce geometria appresa, che rompe gli stili, che fa sì che Goya, maestro nei grigi, negli argenti e nei rosa della migliore pittura inglese, dipinga con le ginocchia e i pugni in orribili neri di bitume; o che spoglia Don Cinto Verdaguer con il freddo dei Pirenei, o porta Jorge Manrique ad attendere la morte nella landa di Ocaña, o copre con un vestito verde da saltimbanco il delicato corpo di Rimbaud, o mette gli occhi da pesce morto al conte di Lautréamont nell’alba del boulevard. I grandi artisti della Spagna meridionale, gitani o flamenchi, sia che cantino, ballino o suonino, sanno che non è possibile nessuna emozione senza l’arrivo del duende. Essi ingannano la gente e possono dare sensazioni di duende senza averlo, come vi ingannano tutti i giorni autori o pittori o stilisti letterari privi di duende; basta, però, prestare un minimo di attenzione, e non lasciarsi guidare dall’indifferenza, per scoprire la trappola e metterli in fuga col loro rozzo artificio. Una volta, la cantaora andalusa Pastora Pavón, «La bambina dei pettini», cupo genio ispanico, pari in capacità fantastica a Goya o a Rafael il Gallo, cantava in una taverna di Cadice. Giocava con la sua voce d’ombra, con la sua voce di stagno fuso, con la sua voce coperta di muschio, e se la intrecciava nella chioma o la bagnava nella camomilla o la perdeva in gineprai oscuri e lontanissimi. Ma niente; era inutile. Gli ascoltatori restavano zitti. […] Pastora Pavón finì di cantare nel silenzio. Solo, e con sarcasmo, un uomo piccolino, di quegli ometti ballerini che escono all’improvviso dalle bottigliette di acquavite, disse con voce grave: «Viva Parigi!», come a dire: «Qui non ci interessano le capacità, né la tecnica, né la maestria. È altro ciò che ci interessa». Allora la bambina dei pettini si alzò come una folle, gobba come una prefica medievale, trangugiò d’un sol sorso un gran bicchiere d’acquavite come fuoco, e si sedette a cantare senza voce, senza fiato, senza sfumature, con la gola riarsa, ma… con duende. Era riuscita a uccidere l’intera impalcatura della canzone per cedere il posto a un duende furioso e rovente, amico dei venti carichi di sabbia, che induceva gli ascoltatori a stracciarsi le vesti quasi al medesimo ritmo dei negri antillani del rito ammassati dinnanzi all’immagine di santa Barbara. La bambina dei pettini dovette squarciarsi la voce, perché sapeva che gli ascoltatori erano dei raffinati che non chiedevano forme, bensì midollo di forme, musica pura dal corpo leggero per potersi mantenere in aria. Dovette privarsi di facoltà e di sicurezze; ossia, allontanare la sua musa e rimanere indifesa, affinché il suo duende venisse e si degnasse di lottare a viva forza. E come cantò! La sua voce non giocava più, era un fiotto di sangue degno del suo dolore e della sua sincerità, e si apriva come una mano di dieci dita sui piedi inchiodati, ma pieni di tempesta, di un Cristo di Juan de Juni. Il sopraggiungere del duende presuppone sempre un cambiamento radicale di ogni forma rispetto a vecchi piani, dà sensazioni di freschezza del tutto inedite, con una qualità di rosa appena creata, di miracolo, che produce un entusiasmo quasi religioso. […] Naturalmente, quando si raggiunge tale evasione ciascuno ne avverte gli effetti: l’iniziato, vedendo come lo stile vince una materia povera, e l’ignorante, in quel ‘non so che’ di un’emozione autentica. […] Il duende può comparire in tutte le arti, ma dove lo si trova con maggiore facilità, com’è naturale, è nella musica, nella danza e nella poesia recitata, giacché queste necessitano di un corpo vivo che le interpreti, poiché sono forme che nascono e muoiono di continuo ed elevano i propri contorni su di un preciso presente. Spesso il duende di un musicista passa al duende dell’interprete e, altre volte, quando il musicista o il poeta non sono tali, il duende dell’interprete, e ciò è interessante, crea una nuova meraviglia che, all’apparenza, altro non è se non la forma primitiva. È il caso della induendata Eleonora Duse, la quale cercava opere fallite per portarle al successo grazie alla sua capacità inventiva, o il caso di Paganini, riferito da Goethe, che sapeva trarre melodie profonde da autentiche volgarità, o il caso di una deliziosa ragazza di Puerto de Santa María, che io vidi cantare e ballare l’orribile canzonetta italiana Ohi Marí!, con dei ritmi e dei silenzi e un’intenzione che trasformavano la paccottiglia italiana in un duro, eretto serpente d’oro. Ciò che in realtà avveniva in quei casi era un qualcosa di nuovo che nulla aveva a vedere con quanto esisteva prima; veniva immesso sangue vivo e scienza in corpi vuoti d’ogni espressione. […] Il duende […] non giunge se non coglie possibilità di morte, se non sa che deve far la ronda alla sua casa, se non è sicuro di dover cullare quei rami che tutti portiamo e che non hanno, che non avranno consolazione. Con un’idea, con un suono o con un gesto, il duende si compiace dei bordi del pozzo in aperta lotta con il creatore. Angelo e musa scappano con violino o ritmo, e il duende ferisce, e nella guarigione di questa ferita, che mai rimargina, risiede l’insolito, l’inventato dell’opera umana. La virtù magica del componimento poetico consiste nell’essere sempre induendato per battezzare con acqua oscura tutti coloro che lo guardano, poiché con duende è più facile amare, comprendere, ed è una certezza l’essere amati, l’essere compresi, e questa lotta per l’espressione e per la comunicazione dell’espressione a volte acquisisce, in poesia, caratteri mortali. […] Abbiamo detto che il duende ama il bordo, la ferita, e si avvicina ai luoghi dove le forme si fondono in un anelito superiore alle loro espressioni visibili. In Spagna (come nei popoli orientali, per i quali la danza è espressione religiosa) il duende ha un potere illimitato sui corpi delle ballerine di Cadice, elogiate da Marziale, sui petti di coloro che cantano, elogiati da Giovenale, e in tutta la liturgia della corrida, autentico dramma religioso in cui, al pari della messa, si adora, e ci si sacrifica, a un Dio. Sembra come se l’intero duende del mondo classico si radunasse in questa festa perfetta, esponente della cultura e della grande sensibilità di un popolo che scopre nell’uomo le sue migliori ire, le sue migliori bili, il suo miglior pianto. Né nel ballo spagnolo né nella corrida si diverte alcuno; il duende s’incarica di far soffrire per mezzo del dramma, su forme vive, e prepara le scale per un’evasione dalla realtà che ci circonda. Il duende opera sul corpo della ballerina come il vento sulla sabbia. Trasforma con magico potere una ragazza in paralitica della luna, o riempie di rossori verginali un vecchio straccione che chiede l’elemosina per le osterie, dà con una chioma odore di porto notturno, e in ogni momento opera sulle braccia con espressioni che sono madri della danza di tutti i tempi. Ma mai è possibile ripetersi, ed è molto interessante sottolinearlo. Il duende non si ripete, come non si ripetono le forme del mare in burrasca. […] La Spagna è l’unico paese dove la morte è lo spettacolo nazionale, dove la morte suona lunghi clarini al sopraggiungere della primavera, e la sua arte è sempre retta da un duende acuto che le ha conferito differenza e qualità d’invenzione. […] Ogni arte ha, com’è naturale, un duende di forma e modo diversi, ma tutti affondano le radici in un punto da cui sgorgano i suoni neri di Manuel Torres, materia ultima e fondo comune scosso da brivido incontrollabile di legno, suono, tela e vocabolo. Suoni neri dietro i quali stanno da tempo in tenera intimità i vulcani, le formiche, gli zefiri e la grande notte che si cinge la vita con la via lattea. Il duende… Ma dov’è il duende? Dall’arco vuoto entra un’aria mentale che soffia con insistenza sulle teste dei morti, alla ricerca di nuovi paesaggi e accenti ignorati; un’aria con odore di saliva di bimbo, di erba pesta e velo di medusa che annuncia il costante battesimo delle cose appena create. - Artículo*: Marco Maculotti - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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Sul “duende” di García Lorca e lo “spirito della terra” di Ernst Jünger

Qualche nota sulle corrispondenze fra il duende, «spirito occulto della dolorante Spagna» secondo Federico García Lorca, e lo «spirito della terra» jüngeriano, con qualche sprazzo di Octavio Paz. In appendice, un corposo estratto del testo del poeta spagnolo. di Marco Maculotti copertina: Francisco Goya, “La sepoltura della sardina” “Gioco e teoria del duende” fu una delle quattro conferenze cubane che l’appena trentaduenne Federico García Lorca tenne nel 1930. Tre anni più tardi venne messa in prosa e data alle stampe. Per mezzo di detta conferenza e della conseguente trascrizione per il pubblico di lettori, il noto poeta e drammaturgo spagnolo si prefiggeva di tratteggiare con magistrale maestria lo «spirito occulto della dolorante Spagna», andandone a scandagliare gli anfratti più oscuri, ma al tempo stesso più vivifici del genio tutelare ispanico. Un genio che si manifesta in tutta la sua immediatezza folgorante nell’arte pittorica (Goya), nel canto (Pastora Pavón) e nella danza, fino a giungere ai rituali collettivi dell’anima spagnola: la corrida e, soprattutto, il grande «spettacolo nazionale» della morte, paragonabile unicamente — rileva García Lorca — a quello di un altro Paese che dell’influenza ispanica ha risentito grandemente, per ragioni storiche e culturali: il Messico dove ancora oggi è così venerata la Madonna nella sua accezione terrifica di Santa Muerte. Quel Messico il cui archetipo dominante nell’era contemporanea venne individuato da Octavio Paz nella figura sradicata del «pachuco», che «nella persecuzione, attinge la sua autenticità, il suo vero essere, la sua nudità suprema, di paria, di emarginato». Quel Messico in cui: «La contemplazione dell’orrore e persino la familiarità e il compiacimento nel trattarlo costituiscono […] uno dei tratti salienti […]. Le immagini di Cristo lordo di sangue delle chiese di paese, l’umore macabro, le veglie funebri, l’usanza di mangiare il 2 novembre pani e dolci fatti a forma di ossa e teschi sono abitudini, ereditate da indigeni e spagnoli, inseparabili dal nostro essere. Il nostro culto della morte è culto della vita, nello stesso modo in cui l’amore, che è fama di vita, è brama di morte.» Octavio Paz (1914 – 1998) Dal canto suo, il daimon ispanico, afferma García Lorca, è da rintracciarsi in tutte le sue variegate espressioni (andalusa, gitana, ecc) nel duende: «In tutta l’Andalusia — scrive — la gente parla costantemente del duende e lo scopre appena compare con istinto efficace». Il significato del termine non viene mai esplicitato dall’Autore; è però risaputo che nel dialetto andaluso duende ha innazitutto il significato di «folletto», ma si può tradurre anche come «broccato» o «stoffa pregiata». Nella duplicità concettuale del termine esiste dunque da una parte una dimensione per così dire di elevazione, di eccellenza rispetto alla norma, e dall’altra una più oscura, più panica: «Tutto ciò che ha suoni neri ha duende […] Questi suoni neri sono il mistero, le radici che affondano nel limo che tutti noi conosciamo, che tutti ignoriamo, ma da dove proviene ciò che è sostanziale nell’arte.» Nell’ottica di García Lorca, ad ogni modo, la dicotomia del termine si armonizza coerentemente fra i suoi due opposti: solo colui che ha dentro di sé il duende (nel senso panico del termine) può aspirare all’eccellenza, ad elevarsi sui suoi simili, ciò non dipendendo dalla sua individualità, ma piuttosto dall’aver risvegliato in sé una sorta di forza primordiale che, “possedendo” l’artista (poeta, danzatrice, cantante, ecc) lo conduce oltre i suoi limiti, oltre i limiti stabiliti per il resto del consorzio umano. Infatti «il duende è un potere e non un agire, è un lottare e non un pensare»; «non è questione di facoltà, bensì di autentico stile vivo; ovvero di sangue; cioè, di antichissima cultura, di creazione in atto». Il duende è, secondo lo scrittore, lo «spirito della terra […] potere misterioso che tutti sentono e nessun filosofo spiega». Allargando la visuale su altri lidi geografici e altri autori, è da rilevarsi come il concetto di «spirito della terra» sia stato utilizzato trent’anni dopo (equivalenti a un ciclo di Saturno, governatore dei cicli cosmici), da un altro titano della letteratura novecentesca, il tedesco Ernst Jünger, il quale nella sua opera Al muro del tempo (An der Zeitmauer, 1959) ne dava la seguente definizione: «una forza terrena non ulteriormente spiegabile, il cui pendant all’interno del mondo fisico è dato dall’elettricità» [§67], da immaginarsi «come una corrente animata che attraversa il mondo e lo pervade, senza esserne ancora separata» [§79]. Ernst Jünger (1895 -1998) Pur essendo questa “corrente energetica” impersonale, come García Lorca anche Jünger esplicita che «lo spirito della terra diventa magico solo nel momento in cui ritorna», in cui «lo vediamo coagularsi, cristallizzarsi e indurirsi» [§67]: compito dell’uomo — o, per meglio dire, dell’individuo differenziato — è riportarlo alla vita da quello che egli definisce «fondo originario», scavando nelle profondità del proprio essere: il che vuol dire nei recessi della propria individualità ma anche in quelli della propria eredità genetica, del proprio sangue, della propria madreterra. In questo modo, secondo Jünger, lo spirito della terra può ritornare «negli uomini e nelle istituzioni», di modo che «culti, opere d’arte, città possono assumere carattere magico» [§67]. Su ciò si potrebbero individuare ulteriori parallelismi: per esempio con James Hillman (Saggio su Pan, Il sogno e il mondo infero, ma anche Il codice dell’anima, dove quest’ultima viene intesa come un nucleo imperscrutabile che, possedendo l’individuo nella sua interiorità più profonda, si manifesta al mondo sin dalla più tenera età); o, in alternativa, con Elemire Zolla (Discesa all’Ade e resurrezione e Il dio dell’ebrezza, dove peraltro al duende di García Lorca è riservato un capitolo), Colin Wilson (L’outsider) o Fernando Pessoa. Da parte nostra, ci limitiamo a citare ancora una volta il già menzionato Octavio Paz, che forse aveva in mente qualcosa di simile al «fondo originario» e allo «spirito della terra» jüngeriano quando scrisse: «Far ritorno alla morte originale sarà tornare alla vita di prima della vita, alla vita di prima della morte: al limbo, alle viscere materne.» Come il duende di García Lorca che «opera sul corpo della ballerina come il vento sulla sabbia», anche lo spirito della terra jüngeriano «non dimora entro spazi privilegiati e chiusi. Piuttosto è lecito immaginare che si condensi e palesi in determinati luoghi, o anche in certi uomini, così come l’energia elettrica può rendere luminose alcune parti di un materiale» [§67]. Parimenti, l’arrivo del duende, come si evince dal testo del drammaturgo spagnolo, è segnalato da un repentino «cambiamento radicale di ogni forma» e da una possessione sovrumana che è da collegarsi, nella tradizione occidentale, con l’entusiasmo dionisiaco e l’incontro meridiano con il Grande Dio Pan. Per mezzo di tale esperienza panica, dice García Lorca, il duende «s’incarica di far soffrire per mezzo del dramma, su forme vive, e prepara le scale per un’evasione dalla realtà che ci circonda»: «ferisce, e nella guarigione di questa ferita, che mai rimargina, risiede l’insolito, l’inventato dell’opera umana.» Testi citati: HILLMAN, James: Il codice dell’anima. Adelphi, Milano 1997 HILLMAN, James: Saggio su Pan. Adelphi, Milano 1977 HILLMAN, James: Il sogno e il mondo infero. Adelphi, Milano 2003 GARCÍA LORCA, Federico: Gioco e teoria del duende. Adelphi, Milano 2007 JÜNGER, Ernst: Al muro del tempo. Adelphi, Milano 2000 PAZ, Octavio: Il labirinto della solitudine. SE, Milano 2013 WILSON, Colin: L’outsider. Atlantide, Roma 2016 ZOLLA, Elemire: Il dio dell’ebbrezza. Antologia dei moderni dionisiaci. Einaudi, Torino 1998 ZOLLA, Elemire: Discesa all’Ade e resurrezione. Adelphi, Milano 2002 Federico García Lorca (1898 – 1936) Federico García Lorca “Gioco e teoria del duende” […] Chi si trova nella pelle di toro che si estende tra il Júcar, il Guadalete, il Sil o il Pisuerga (non voglio citare le onde di criniera di leone che agita il Plata), sente dire con una certa frequenza: «Questo ha molto duende». Manuel Torres, grande artista del popolo andaluso, diceva a uno che cantava: «Hai voce, conosci gli stili, ma non ce la farai mai, perché non hai duende». In tutta l’Andalusia, roccia di Jaén e conchiglia di Cadice, la gente parla costantemente del duende e lo scopre appena compare con istinto efficace. Il meraviglioso cantaor El Lebrijano, creatore della debla, diceva: «I giorni che canto con duende non conosco rivali»; un giorno La Malena, la vecchia ballerina gitana, sentendo suonare da Brailowsky un frammento di Bach esclamò: «Olé! Questo sì che ha duende!» e si annoiò con Gluck, con Brahms e con Darius Milhaud. E Manuel Torres, l’uomo di maggior cultura nel sangue che io abbia conosciuto, ascoltando dallo stesso Falla il suo Notturno del Generalife, pronunciò questa splendida frase: «Tutto ciò che ha suoni neri ha duende». Non c’è verità più grande. Questi suoni neri sono il mistero, le radici che affondano nel limo che tutti noi conosciamo, che tutti ignoriamo, ma da dove proviene ciò che è sostanziale nell’arte. Suoni neri, disse il popolano spagnolo, e in ciò concordò con Goethe che, parlando di Paganini, ci fornisce la definizione del duende: «Potere misterioso che tutti sentono e che nessun filosofo spiega». Così, dunque, il duende è un potere e non un agire, è un lottare e non un pensare. Ho sentito dire da un vecchio maestro di chitarra: «Il duende non sta nella gola; il duende sale interiormente dalla pianta dei piedi». Vale a dire, non è questione di facoltà, bensì di autentico stile vivo; ovvero di sangue; cioè, di antichissima cultura, di creazione in atto. Questo «potere misterioso che tutti sentono e nessun filosofo spiega» è, insomma, lo spirito della terra, lo stesso duende che abbracciò il cuore di Nietzsche, il quale lo cercava nelle sue forme esteriori sul ponte di Rialto o nella musica di Bizet, senza trovarlo e senza sapere che il duende da lui inseguito era saltato dai misteriosi greci alle ballerine di Cadice o al dionisiaco grido strozzato della seguiriya di Silverio. Così, dunque, non voglio che si confonda il duende col demonio teologico del dubbio contro il quale Lutero, a Norimberga, scagliò con sentimento bacchico una bottiglietta d’inchiostro, né col diavolo cattolico, distruttore e poco intelligente, che si traveste da cagna per entrare nei conventi, né con la scimmia parlante che l’astuto turcimanno di Cervantes porta con sé nella commedia della gelosia e delle selve di Andalusia. No. Il duende di cui parlo – misterioso e trasalito – discende da quell’allegrissimo demonio di Socrate, marmo e sale, che lo graffiò indignato il giorno che prese la cicuta; e dall’altro malinconico diavoletto di Cartesio, piccolo come mandorla verde, il quale, stufo di cerchi e di linee, se ne andò per i canali a sentir cantare i marinai ubriachi. Ogni uomo, ogni artista, rievocherà Nietzsche; ogni scala che sale nella torre della propria perfezione è il prezzo della lotta che sostiene con un duende, non con un angelo, come si è detto, né con la sua musa. È necessario operare tale fondamentale distinzione per la radice dell’opera. L’angelo guida e regala come san Raffaele, difende ed evita come san Michele e previene come san Gabriele. L’angelo abbaglia, ma vola oltre la testa dell’uomo, è al di sopra, dirama la sua grazia e l’uomo, senza sforzo alcuno, realizza la propria opera, la propria simpatia o la propria danza. L’angelo della via di Damasco, quello che entrò per le fessure di un balconcino di Assisi, o quello che segue i passi di Enrico Susson, ordina e non v’è modo di opporsi alla sua luce, perché agita le ali d’acciaio nell’ambiente del predestinato. La musa detta e, in talune occasioni, soffia. Può abbastanza poco, perché è già lontana e così stanca (io l’ho vista due volte) che dovetti metterle mezzo cuore di marmo. I poeti di musa odono voci e non sanno dove, ma sono della musa che li nutre e, talvolta, se li beve. […] l’angelo dà luce e la musa dà forme (da loro apprese Esiodo). Pane d’oro o piega di tuniche, il poeta riceve regole nel suo boschetto di alloro. Di contro, il duende bisogna svegliarlo nelle più recondite stanze del sangue. […] La vera lotta è quella con il duende. Si conoscono le vie per cercare Dio, dal rude modo dell’eremita a quello sottile del mistico. Con una torre come santa Teresa, o con tre vie come san Giovanni della Croce. […] Per cercare il duende non v’è mappa né esercizio. Si sa soltanto che brucia il sangue come un topico di vetri, che prosciuga, che respinge tutta la dolce geometria appresa, che rompe gli stili, che fa sì che Goya, maestro nei grigi, negli argenti e nei rosa della migliore pittura inglese, dipinga con le ginocchia e i pugni in orribili neri di bitume; o che spoglia Don Cinto Verdaguer con il freddo dei Pirenei, o porta Jorge Manrique ad attendere la morte nella landa di Ocaña, o copre con un vestito verde da saltimbanco il delicato corpo di Rimbaud, o mette gli occhi da pesce morto al conte di Lautréamont nell’alba del boulevard. I grandi artisti della Spagna meridionale, gitani o flamenchi, sia che cantino, ballino o suonino, sanno che non è possibile nessuna emozione senza l’arrivo del duende. Essi ingannano la gente e possono dare sensazioni di duende senza averlo, come vi ingannano tutti i giorni autori o pittori o stilisti letterari privi di duende; basta, però, prestare un minimo di attenzione, e non lasciarsi guidare dall’indifferenza, per scoprire la trappola e metterli in fuga col loro rozzo artificio. Una volta, la cantaora andalusa Pastora Pavón, «La bambina dei pettini», cupo genio ispanico, pari in capacità fantastica a Goya o a Rafael il Gallo, cantava in una taverna di Cadice. Giocava con la sua voce d’ombra, con la sua voce di stagno fuso, con la sua voce coperta di muschio, e se la intrecciava nella chioma o la bagnava nella camomilla o la perdeva in gineprai oscuri e lontanissimi. Ma niente; era inutile. Gli ascoltatori restavano zitti. […] Pastora Pavón finì di cantare nel silenzio. Solo, e con sarcasmo, un uomo piccolino, di quegli ometti ballerini che escono all’improvviso dalle bottigliette di acquavite, disse con voce grave: «Viva Parigi!», come a dire: «Qui non ci interessano le capacità, né la tecnica, né la maestria. È altro ciò che ci interessa». Allora la bambina dei pettini si alzò come una folle, gobba come una prefica medievale, trangugiò d’un sol sorso un gran bicchiere d’acquavite come fuoco, e si sedette a cantare senza voce, senza fiato, senza sfumature, con la gola riarsa, ma… con duende. Era riuscita a uccidere l’intera impalcatura della canzone per cedere il posto a un duende furioso e rovente, amico dei venti carichi di sabbia, che induceva gli ascoltatori a stracciarsi le vesti quasi al medesimo ritmo dei negri antillani del rito ammassati dinnanzi all’immagine di santa Barbara. La bambina dei pettini dovette squarciarsi la voce, perché sapeva che gli ascoltatori erano dei raffinati che non chiedevano forme, bensì midollo di forme, musica pura dal corpo leggero per potersi mantenere in aria. Dovette privarsi di facoltà e di sicurezze; ossia, allontanare la sua musa e rimanere indifesa, affinché il suo duende venisse e si degnasse di lottare a viva forza. E come cantò! La sua voce non giocava più, era un fiotto di sangue degno del suo dolore e della sua sincerità, e si apriva come una mano di dieci dita sui piedi inchiodati, ma pieni di tempesta, di un Cristo di Juan de Juni. Il sopraggiungere del duende presuppone sempre un cambiamento radicale di ogni forma rispetto a vecchi piani, dà sensazioni di freschezza del tutto inedite, con una qualità di rosa appena creata, di miracolo, che produce un entusiasmo quasi religioso. […] Naturalmente, quando si raggiunge tale evasione ciascuno ne avverte gli effetti: l’iniziato, vedendo come lo stile vince una materia povera, e l’ignorante, in quel ‘non so che’ di un’emozione autentica. […] Il duende può comparire in tutte le arti, ma dove lo si trova con maggiore facilità, com’è naturale, è nella musica, nella danza e nella poesia recitata, giacché queste necessitano di un corpo vivo che le interpreti, poiché sono forme che nascono e muoiono di continuo ed elevano i propri contorni su di un preciso presente. Spesso il duende di un musicista passa al duende dell’interprete e, altre volte, quando il musicista o il poeta non sono tali, il duende dell’interprete, e ciò è interessante, crea una nuova meraviglia che, all’apparenza, altro non è se non la forma primitiva. È il caso della induendata Eleonora Duse, la quale cercava opere fallite per portarle al successo grazie alla sua capacità inventiva, o il caso di Paganini, riferito da Goethe, che sapeva trarre melodie profonde da autentiche volgarità, o il caso di una deliziosa ragazza di Puerto de Santa María, che io vidi cantare e ballare l’orribile canzonetta italiana Ohi Marí!, con dei ritmi e dei silenzi e un’intenzione che trasformavano la paccottiglia italiana in un duro, eretto serpente d’oro. Ciò che in realtà avveniva in quei casi era un qualcosa di nuovo che nulla aveva a vedere con quanto esisteva prima; veniva immesso sangue vivo e scienza in corpi vuoti d’ogni espressione. […] Il duende […] non giunge se non coglie possibilità di morte, se non sa che deve far la ronda alla sua casa, se non è sicuro di dover cullare quei rami che tutti portiamo e che non hanno, che non avranno consolazione. Con un’idea, con un suono o con un gesto, il duende si compiace dei bordi del pozzo in aperta lotta con il creatore. Angelo e musa scappano con violino o ritmo, e il duende ferisce, e nella guarigione di questa ferita, che mai rimargina, risiede l’insolito, l’inventato dell’opera umana. La virtù magica del componimento poetico consiste nell’essere sempre induendato per battezzare con acqua oscura tutti coloro che lo guardano, poiché con duende è più facile amare, comprendere, ed è una certezza l’essere amati, l’essere compresi, e questa lotta per l’espressione e per la comunicazione dell’espressione a volte acquisisce, in poesia, caratteri mortali. […] Abbiamo detto che il duende ama il bordo, la ferita, e si avvicina ai luoghi dove le forme si fondono in un anelito superiore alle loro espressioni visibili. In Spagna (come nei popoli orientali, per i quali la danza è espressione religiosa) il duende ha un potere illimitato sui corpi delle ballerine di Cadice, elogiate da Marziale, sui petti di coloro che cantano, elogiati da Giovenale, e in tutta la liturgia della corrida, autentico dramma religioso in cui, al pari della messa, si adora, e ci si sacrifica, a un Dio. Sembra come se l’intero duende del mondo classico si radunasse in questa festa perfetta, esponente della cultura e della grande sensibilità di un popolo che scopre nell’uomo le sue migliori ire, le sue migliori bili, il suo miglior pianto. Né nel ballo spagnolo né nella corrida si diverte alcuno; il duende s’incarica di far soffrire per mezzo del dramma, su forme vive, e prepara le scale per un’evasione dalla realtà che ci circonda. Il duende opera sul corpo della ballerina come il vento sulla sabbia. Trasforma con magico potere una ragazza in paralitica della luna, o riempie di rossori verginali un vecchio straccione che chiede l’elemosina per le osterie, dà con una chioma odore di porto notturno, e in ogni momento opera sulle braccia con espressioni che sono madri della danza di tutti i tempi. Ma mai è possibile ripetersi, ed è molto interessante sottolinearlo. Il duende non si ripete, come non si ripetono le forme del mare in burrasca. […] La Spagna è l’unico paese dove la morte è lo spettacolo nazionale, dove la morte suona lunghi clarini al sopraggiungere della primavera, e la sua arte è sempre retta da un duende acuto che le ha conferito differenza e qualità d’invenzione. […] Ogni arte ha, com’è naturale, un duende di forma e modo diversi, ma tutti affondano le radici in un punto da cui sgorgano i suoni neri di Manuel Torres, materia ultima e fondo comune scosso da brivido incontrollabile di legno, suono, tela e vocabolo. Suoni neri dietro i quali stanno da tempo in tenera intimità i vulcani, le formiche, gli zefiri e la grande notte che si cinge la vita con la via lattea. Il duende… Ma dov’è il duende? Dall’arco vuoto entra un’aria mentale che soffia con insistenza sulle teste dei morti, alla ricerca di nuovi paesaggi e accenti ignorati; un’aria con odore di saliva di bimbo, di erba pesta e velo di medusa che annuncia il costante battesimo delle cose appena create. - Artículo*: Marco Maculotti - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
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