Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

sábado, 30 de junio de 2018

La rétention à vide, clé du yoga

Avant le yoga postural, lequel s'impose vraiment à partir du XVIIe siècle, le yoga est centré sur le prânâyama, l'art de la maîtrise du souffle. Or, ces pratiques sont centréés sur la rétention. De nos jours, on pratique plutôt la rétention à plein. Mais la Hatha Yoga Pradîpikâ en dix chapitres, qui est une version peu connue de ce texte autrement célèbre, présente la rétention à vide comme la voie royale vers l'état de pure présence : On délivrera le mental de tout point d'appui grâce à une rétention après l'expir. Au moyen de cet exercice, on atteindra l'état de râdja yoga. (Hatha Yoga Pradîpikâ en dix chapitres, IV, 67) "Délivrer le mental" ou affranchir l'attention des supports qui la captive est une expression typiquement bouddhiste. Comme je l'ai écrit ailleurs, le bouddhisme a joué un rôle important à l'origine du Hatha Yoga. Le résultat de cet exercice est le "yoga royal" (râja yoga), un état ou toutes les facultés sont pleinement actives, dont le corps et les cinq sens, sauf le bavardage intérieur, qui cesse. C'est un état où le corps est actif mais où le mental se tait. C'est le but du Hatha Yoga, et c'est aussi la pratique contemplative appelée le geste de Shiva (shiva-mudrâ), le secret du Tantra, dont le Hatha Yoga est un aspect, une méthode. La rétention après l'expir peut être naturelle : l'attention se pose sur l'expir comme un surfeur chevauche une vague, jusqu'au silence, jusqu'à l'attention ouverte, la présence pure. Cette rétention peut aussi se faire volontairement, par un blocage de la gorge. Pourquoi privilégier la fin de l'expir ? Le Tantra voit dans l'expir la résorption cosmique, le soleil qui consume le monde. L'expir invite au lâcher-prise. Mais il y a une raison supplémentaire. Comme indiqué dans cet article scientifique, un gaz particulier s'accumule dans les cavités nasales durant la rétention. Ce gaz, le monoxyde d'azote ordinairement toxique a, dans ce contexte, de nombreuses vertus. Certes, il se forme aussi lors d'une rétention à plein. Mais lors de l'expir qui la suit, le gaz est éjecté et perdu pour l'organisme. Tandis qu'après une rétention à vide, l'inspir permet de l'ingérer et de bénéficier de ses propriétés. Il est aussi, semble-t-il, l'une des raisons pour lesquelles la respiration nasale est privilégiée en yoga, de façon générale. Dans tous les cas - écoute du souffle naturel ou pratique contrôlée - l'expir et la rétention qui le suit sont des clés du Hatha Yoga, lequel est la méthode permettant d'atteindre l'état de Râja Yoga, ou état de profond silence intérieur, quelque soient l'état du corps et de l'esprit. - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Avant le yoga postural, lequel s'impose vraiment à partir du XVIIe siècle, le yoga est centré sur le prânâyama , l'art de la maîtrise du...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Pourquoi il ne faut pas confondre causation et corrélation

Deux phénomènes peuvent avoir une cause commune, sans que l'un soit la cause de l'autre, comme deux branches, par exemple. Ou comme le fait de s'endormir avec ses chaussures aux pieds et celui de se réveiller avec une gueule de bois... On confond souvent corrélation (un phénomène semble lié à un autre) et causation (il y a une relation de cause à effet entre deux phénomènes), ce qui donne un sophisme du type post hoc, ergo propter hoc : "après cela, donc à cause de cela". Exemple courant dans les milieux New Age : "Je suis persécuté. Or, les génies ont souvent été persécutés. Donc je suis un génie". Ou : "Des théories révolutionnaires ont été rejetées par l'Establishment parce qu'elle les dérangeaient. Or, ma (pseudo)théorie est rejetée par le (méchant) Establishment. Donc ma théorie est révolutionnaire !" Etc, etc. Voici un site en anglais, rigolo, qui recense toutes sortes de corrélations plus ou moins pittoresques. Et une excellent video d'Epenser sur ce sujet : Notons, au passage et pour les philosophes, qu'Outpala Déva accuse les philosophes bouddhistes de confondre corrélation et causation quand ces derniers définissent la relation de cause à effet comme : "Ceci étant, cela advient" : "(Une succession) régulière, dotée d’un « avant » et d’un « après » (que les Bouddhistes formulent ainsi) : « Ceci étant, cela advient », existe aussi pour des (choses) qui n’ont aucune relation de cause à effet, comme, par exemple, l’apparition (successive) des (constellations) des Pléiades et du Taureau." (Îshvarapratyabhijnâvritti ad II, IV, 14) Comment établir une relation de cause à effet ? Principalement, en croisant les données. Dans ce passage, le philosophe de la Reconnaissance suggère que seule une activité, donc une conscience, peut construire des relations de cause à effet. Au fond, tout est relation. Or, la relation est synthèse, c'est-à-dire acte de conscience, d'un être conscient à la fois permanent (contre les Bouddhistes) et dynamique (contre le Védânta). C'est en ce sens que "tout est conscience". - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Deux phénomènes peuvent avoir une cause commune, sans que l'un soit la cause de l'autre, comme deux branches, par exemple. Ou comm...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

La Luna de calle 96 este | Imagen astronomía diaria - Observatorio

El 28 de junio, una Luna muy llena conocida por algunos como Luna de fresa se elevó sobre el Upper East Side de Manhattan. Cerca del horizonte, el disco lunar amarillo cálido quedaba un poco amortiguado por la línea de visión que atravesaba una atmósfera densa y brumosa. Aun así, en esta astrofotografía urbana encajaba bastante bien con el tráfico y las luces de la calle 96. La telefoto se hizo apuntando al sureste de Central Park. Por supuesto, la Luna de la calle 96 era la Luna llena más cercana al solsticio de verano de este año en el hemisferio norte. - Artículo*: Alex Dantart - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
El 28 de junio, una Luna muy llena conocida por algunos como Luna de fresa se elevó sobre el Upper East Side de Manhattan. Cerca del horizonte, el disco lunar amarillo cálido quedaba un poco amortiguado por la línea de visión que atravesaba una atmósfera densa y brumosa. Aun así, en esta astro...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Jordi Savall: pasión, cuerda y melodía « MusicaAntigua.com

Jordi Savall, el mejor violagambista del mundo, es un hispanista cultural de primera, como muestran sus romances de El Quijote, su aproximación a las músicas del tiempo de la reina Isabel I o la celebración del V Centenario del descubrimiento de América. Es un buscador del Siglo de Oro, cabreado con la España oficial –por ninguna interdependencia, que yo sepa–, pero también entregado (sobretodo) a sus ricas tradiciones. Lleva casi medio siglo recuperando músicas del pasado o, mejor dicho, convirtiendo el pasado en presente a través del instrumento y la melodía. Es de los que valen por encima de sus aduladores. Charles Rosen recuerda que cuando él era niño, los diarios de Nueva York echaban pestes de cada nueva entrega de Ígor Stravinski, a pesar de que todo el mundo sabía que era el compositor​ vivo más grande. Rosen culpa naturalmente a los críticos a los que crucifica con un ejemplo de Paderwski: “cuando yo no practico un día, se dan cuenta mis dedos; cuando no practico dos días, se dan cuenta mis amigos; cuando no practico tres días, se da cuenta todo el mundo, pero hasta que no practico cuatro días no se dan cuenta los críticos. Aparentemente, la anécdota no pega con el espíritu sosegado de Jordi Savall, amante del dialogo sereno frente al estallido, pero extremadamente riguroso con la estética, como amante del canto recóndito de las Sibilas a las que recoge dentro de su obra. En música se dan estos atributos mágicos, que no son nada propios de magos sino de estudiosos y practicantes hasta el infinito. Al no aceptar el premio Nacional de Música, Savall (¿exagerado no?) demostró su profunda indignación por la política cultural del país y se permitió hacer frente al difícil exministro Wert porque como instrumentista, director y compositor ha obtenido las más altas distinciones en Francia, Alemania, Austria y otros países por su dedicación a la música antigua. Savall pasa desapercibido, pero su música siempre está ahí. Bucea durante décadas en la cuerda del XVI y, cuando menos te lo esperas, te envía una andanada de belleza como los óleos vaporosos de Murillo que tanto nos sirven para identificar el estilo de un tiempo. En la España de Felipe II se popularizó el cántico delicadísimo de vihuela de Diego de Pisarro o Antonio de Cabezón y detrás de ellos una larga lista de músicos rastreados en su momento por el afán investigador de Américo Castro, que se basó en la guía parnasiana de Francisco de la Torre. Es así cómo, desde el mismo corazón del Barroco, llegaron las letras, las evocaciones de la palabra, a menudo nacidas de Cervantes cuando exprimía el idealismo de Alonso Quijano y su dama pretendida, Dulcinea, frente a la mirada lapidaria, casi iracunda, del escudero, Sancho, tratando de limitar los efluvios del Caballero de la Triste Figura por una simple campesina, poco agraciada. ¿Pero y la música? ¿Cómo recrear un tiempo sin escuchar sus melodías? ¿Cómo conocer España sin el minueto de Boccherini en la Corte mucho más cercana de Carlos III, el monarca reformista, culto y melómano? Pues así es como se engrandece el trabajo impagable de Savall en el país de los Austrias o en los tiempos de Alfonso X, el Sabio. De entre los citados, añadiendo a compositores del Barroco (casi desconocidos como no sea en los auditorios académicos), el estilo de Bartolomé Escobedo, Cristóbal de Morales, Francisco Guerrero o Tomás Luis de Vitoria, sale Savall. Casi siempre en silencio y alejado del tumulto, este gran músico habla a través de la cuerda. Utiliza el lenguaje de la pasión cuando se cruza con la melodía. Él no lo aceptaría, pero pertenece a la tradición anti-sinfónica que tan bien expresada quedó en la anécdota de Claude Debussy, cuando en plena interpretación de una sinfonía dijo ”ahora que hemos entrado en el desarrollo, puedo salir y fumarme un cigarrillo”. Beethoven despertó tanta ansiedad destructiva como Mozart, pero el genio de Salzburgo está eternamente perdonado por su grandeza emparentada con su espíritu itinerante. Beethoven lo estaría si se hubiese conservado el friso inmenso de Gustav Klimt expuesto y desmontado en la Künstlerhaus vienesa donde se fundó la unión de artistas conocida como la Secesión, al final del XIX.. Escrito por Josep Maria Cortés | cronicaglobal.elespanol.com - Artículo*: MusicaAntigua - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Jordi Savall, el mejor violagambista del mundo, es un hispanista cultural de primera, como muestran sus romances de El Quijote, su aproximación a las músicas del tiempo de la reina Isabel I o la celebración del V Centenario del descubrimiento de América.

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

UN TIEMPO ABIERTO, LIBRE Y COMPASIVO

“La vida contemplativa debe proporcionar un ámbito, un espacio de libertad, de silencio, en el que se permita a las posibilidades emerger y a las nuevas opciones, más allá de la rutina elegida, hacerse manifiestas. La vida contemplativa debería crear una nueva experiencia del tiempo, no como subterfugio ni inmovilidad, sino como temps vierge, tiempo virginal, no un vacío que llenar ni un - Artículo*: Manuel - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
“ La vida contemplativa debe proporcionar un ámbito, un espacio de libertad, de silencio, en el que se permita a las posibilidades em...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

viernes, 29 de junio de 2018

Pick your Poison - Classical Wisdom Weekly

The AK-47 of the Ancient Near East By Cam Rea The Scythian bow was the AK-47 of the Ancient Near East and the weapon of choice to dominate the battlefield. Even though the bow was uniquely designed to deliver the utmost damage, the arrow itself was even nastier! Scythians created their arrowheads for maximum penetration of the opponent’s armor. Beyond that, Scythian arrowheads were extremely poisonous. But before we pick our poison, we must pick our point. The Scythian arrowhead The Scythian arrowhead, also known as a “Scythian point,” was a trilobate shape, designed like a rocket or bullet with three blades extending from the body. Some of the arrowheads had protruding barbs, while others lacked this painful extra. The trilobate was usually made of bronze, while the shaft used to deliver the arrowhead was made of reed or wood and was roughly 30 inches long. The design and craftsmanship employed was brilliant, for its aerodynamic body made it extremely practical to use against the finest and toughest of armor. The Scythian point originated around the 7th century BCE, suggesting that Scythians developed the weapon in order to pierce Assyrian armor, as Scythians and Cimmerians were indeed at war with Assyria on and off during that time period. Now, this was not the only arrowhead style or material used by the Scythians, for some arrowheads were made of bone, stone, iron, or bronze. As for shape, some looked like small spearheads, while others were leaf-shaped, which may have been used for hunting. The discussed trilobite shape, however, was most likely used for combat purposes. Besides the lethal design of the Scythian trilobite point, another nasty feature was the poison. Not only were these ancient fighters experts at archery, but also in biological warfare. Fortunately, or unfortunately depending on how you see it, the Scythians had a wide variety of deadly poisons to choose from. The not so friendly reptiles inhabiting the area included the steppe viper, Caucasus viper, European adder, and the long-nose/sand viper. Map of Scythia and the Persian Empire Truly, the Scythians had a vast arsenal of snake venoms of all degrees at their disposal. The book titled, “On Marvelous Things Heard,” by Pseudo-Aristotle, which was a work written by his followers, if not written in part by Aristotle himself, mentions the Scythian handling of snakes and how to extract their poison: “They say that the Scythian poison, in which that people dips its arrows, is procured from the viper. The Scythians, it would appear, watch those that are just bringing forth young, and take them, and allow them to putrefy for some days.” After several days passed, the Scythian shaman would then take the venom and mix it with other ingredients. One of these concoctions required human blood: “But when the whole mass appears to them to have become sufficiently rotten, they pour human blood into a little pot, and, after covering it with a lid, bury it in a dung-hill. And when this likewise has putrefied, they mix that which settles on the top, which is of a watery nature, with the corrupted blood of the viper, and thus make it a deadly poison.” The Roman author Aelian also mentions this process, saying, “The Scythians are even said to mix serum from the human body with the poison that they smear upon their arrows.” Both accounts show that the Scythians were able to excite the blood in order to separate it from the yellow watery plasma. Once the mixture of blood and dung had putrefied, the shaman would take the serum and excrement and mix it in with the next ingredient, venom, along with the decomposed viper. Once the process was complete, the Scythians would place their arrowheads into this deadly mixture ready for use. The historian Strabo mentions a second use of this deadly poison: “The Soanes use poison of an extraordinary kind for the points of their weapons; even the odour of this poison is a cause of suffering to those who are wounded by arrows thus prepared.” So the arrowhead was poisonous, but why stop there? Sometimes they ensured that the barbs on the arrowhead were also coated with the deadly concoction. The Roman poet Ovid, who was exiled to the Black Sea, got a good look at these poisonous plus arrows and reported them as “native arrow-points have their steel barbs smeared with poison, carry a double hazard of death.” He also described the poisonous ingredient as “yellow with vipers gall.” To get a better understanding of this “double death,” Renate Rolle elaborates further on the barbed arrowheads: “These arrowheads, fitted with hooks and soaked in poison, were particularly feared, since they were very difficult to remove from the wound and caused the victim great pain during the process.” A very grim picture, without question. To be struck by an arrowhead with barbs or hooks, poisoned with putrefied remains, would indeed be horrific. Scythian–ancient nomadic Iranian–warriors on the steppe With all these different poisons used by the Scythians, they had to know how to tell what was what in their gorytus, or case for holding the bow and quiver of arrows. The length of the gorytas was relatively shorter than the bow itself, leaving the weapon partially exposed. It also had a metal covering for the arrows, most likely to protect the archer from scraping his skin across the poisonous arrowheads. The Scythians would paint their arrow shafts in the color of red or black, while others had zigzag and diamond patterns decorating them. Not so coincidentally, these various patterns painted upon the arrow shafts were the same patterns found upon the various vipers used by the Scythians as their agents of death. Vipers with a zigzag or diamond pattern upon their backs were the most poisonous of all. Clearly, the painted design was a way for the archer to tell which poison he was using. Additionally, the decorated arrow shafts, when fired at the enemy, likely had a psychological effect, for they must have looked like snakes flying through the air, while the barbs protruding from the point appeared like fangs to the enemy. So now that the Scythians had their gorytus, stacked with a fierce weapon and deadly arrows, it was just a matter of choosing which chemical killer to use on the enemy. The post Pick your Poison appeared first on Classical Wisdom Weekly. - Artículo*: plato - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
The AK-47 of the Ancient Near East By Cam Rea The Scythian bow was the AK-47 of the Ancient Near East and the weapon of choice to dominate the battlefield.

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

H.P. Lovecraft: “La Poesia e gli Dei”

Scritto in collaborazione con Anna H. Crofts, “Poetry and the Gods” (1920) coniuga l’ideale lovecraftiano dell’Immaginazione Poetica alla devozione di stampo romantico per gli Dèi antichi Se buona parte della narrativa di H.P. Lovecraft può dirsi fondata su sogni o ad essi ispirata [cfr. “Oniricon”: H.P. Lovecraft, il Sogno e l’Altrove], esistono alcuni casi in cui i sogni sono stati “presi a prestito”: un esempio in questo senso è Poetry and the Gods, un racconto che deriva da una visione dell’aspirante poetessa Anna Helen Crofts e a cui Lovecraft provvide a dare forma narrativa. Il racconto apparve su “The United Amateur” del settembre 1920 a firma Anna Helen Crofts ed Henry Paget-Lowe. immagine: William Russell Flint, “Theocritus’ Idyll XVIII / Chorus and Musicians”, 1913. Howard Phillips Lovecraft La poesia e gli dei in collaborazione con Anna Helen Crofts Un’umida e scura sera di aprile, poco dopo la fine della Grande Guerra, Marcia si trovò sola con strani pensieri e desideri, aspirazioni che fino a quel momento non aveva mai nutrito e che la portarono lontano dall’ampio salotto novecento, presero il volo verso oriente e la lasciarono negli uliveti d’Arcadia che aveva visto soltanto in sogno. Marcia era entrata in salotto distratta, aveva spento i candelieri e si era appoggiata a un morbido divano accanto a una lampada solitaria, dalla quale un cerchio di luce verde pioveva sul tavolo di lettura come un raggio di luna rasserenante spuntato tra le foglie, nei pressi di un tempio antico. Vestita in modo semplice, con un abito da sera nero e scollato, Marcia sembrava esternamente un tipico prodotto della civiltà moderna, ma aveva l’impressione che un abisso la separasse dall’ambiente prosaico che la circondava. Era colpa della strana casa in cui viveva, quella dimora del gelo dove i rapporti fra le persone erano sempre tesi e i familiari poco più che estranei? Si trattava di questo o di un più grande, inspiegabile dislocamento nel tempo e nello spazio per cui era nata troppo tardi, troppo presto o troppo lontana dalla sede ideale del suo spirito per armonizzare con le brutture della realtà contemporanea? Per scacciare il malumore che l’avvolgeva sempre più cupo ad ogni minuto, Marcia prese una rivista e cercò un attimo di sollievo in una pagina di poesia. La poesia era sempre stata un toccasana per il suo spirito turbato, anche se non tutta aveva quell’effetto. Persino nei versi più sublimi le pareva di scorgere, a volte, un che di artificioso e soffocante, come polvere su una finestra da cui si guarda un magnifico tramonto. Sfogliando distrattamente le pagine, come in cerca di un tesoro che le sfuggiva, all’improvviso trovò qualcosa che la liberò dal malumore. Un osservatore in grado di leggerle il pensiero avrebbe concluso che Marcia, finalmente, avesse trovato un’immagine o una fantasia che l’avvicinassero più di ogni altra alla sua meta ideale; in realtà era solo un componimento in vers libre, quel pietoso compromesso poetico che si stacca dalla prosa ma non arriva alla divina melodia dei numeri. I suoi pregi erano un vigore e una spontaneità degni di un bardo che vive in estasi, che gode e cerca la bellezza non ancora svelata. Privo di regolarità, aveva la musica delle parole alate e spontanee, un’armonia che mancava totalmente ai versi formali e rispettosi delle convenzioni cui Marcia era abituata. Man mano che leggeva, l’ambiente reale scomparve e intorno a lei aleggiò la nebbia dei sogni, quel velo purpureo e tempestato di stelle che si libera dal tempo e in cui si ritrovano gli dei e i sognatori. Luna che brilli sul Giappone, O bianca luna-farfalla! Dove i Budda dalle palpebre socchiuse Sognano al richiamo del cùculo… Le ali bianche delle farfalle di luna Guizzano nelle strade della città E riducono al silenzio gl’inutili stoppini delle lanterne sonore in mano alle fanciulle. Luna dei tropici, Bocciolo ricurvo Che schiudi lentamente i tuoi petali nel tepore dei cieli… L’aria è fragrante di odori, Languidi suoni caldi… Un flauto diffonde nella notte musica come frinire d’insetti Sotto il curvo petalo di luna nei cieli. Luna che brilli sulla Cina, Stanca luna del fiume del cielo, Il fremito della luce tra i salici è come il lampo di mille pesci d’argento Tra scogliere oscure; Le piastrelle sulle tombe, i templi abbandonati Splendono come ondine increspate Mentre il cielo è attraversato da nubi come scaglie di drago. Avvinta dai sogni, la lettrice mandò un grido alle stelle della poesia, un grido di piacere per il sopraggiungere di una nuova età di canto, la rinascita di Pan. Con gli occhi socchiusi ripeté le parole la cui melodia segreta faceva pensare a cristalli sul fondo d’un ruscello, prima dell’alba: cristalli invisibili ma pronti a brillare ai primi raggi di sole. Luna che brilli sul Giappone, O bianca luna-farfalla! Luna dei tropici, Bocciolo ricurvo Che schiudi lentamente i tuoi petali nel tepore dei cieli. L’aria è fragrante di odori, Languidi suoni caldi… Luna che brilli sulla Cina, Stanca luna del fiume del cielo… Dalle nebbie del sogno emerse la figura di un giovane splendente, un dio. Aveva il copricapo e i sandali alati, in mano teneva il caduceo ed era bello come niente lo è sulla terra. Agitò tre volte, davanti alla dormiente, la bacchetta donatagli da Apollo in cambio del guscio musicale a nove corde, poi cinse la fronte di Marcia con una corona di mirto e rose. Hermes parlò, in adorazione: «O ninfa più bionda delle sorelle di Ciene che hanno capelli d’oro, più delle atlantidi che abitano in cielo, amata da Afrodite e benedetta da Pallade Atena, tu hai scoperto il segreto degli dei che risiede nel canto e nella bellezza. O profetessa più bella della Sibilla cumana quando Apollo la incontrò la prima volta, tu hai detto la verità sulla nuova èra che sta per venire, perché in questo momento, sul monte Menalo, Pan sospira e si muove nel sonno, ansioso di svegliarsi e vedere intorno a sé i fauni cinti di rose e gli antichi satiri. Il desiderio ti ha permesso di indovinare ciò che nessun mortale, tranne pochi che il mondo respinge, ormai ricorda: che gli dei non sono mai morti, ma dormivano e sognavano il sogno degli dei nei giardini delle Esperidi, ricchi di loto e situati oltre il tramonto. Ora si avvicina il tempo del risveglio, quando freddezza e bruttezza scompariranno e Zeus siederà di nuovo sull’Olimpo. Già il mare intorno a Pafo si agita e produce una schiuma che solo i cieli antichi hanno visto, e di notte sul monte Elicona i pastori sentono strani mormoni e note che a malapena ricordano. Campi e boschi brillano al crepuscolo del riverbero di bianche figure che danzano, e l’Oceano originario cede alla luna visioni sconcertanti. Gli dei sono pazienti e hanno dormito a lungo, ma nessun uomo o gigante può sfidarli per l’eternità. Nel Tartaro soffrono i Titani e sotto il possente Etna gemono i figli di Urano e Gea. Si avvicina il giorno in cui l’uomo dovrà rispondere dell’averli rinnegati per secoli, ma nel sonno gli dei hanno imparato ad essere gentili e non lo scaglieranno nell’abisso fatto per i negatori della divinità. No, la loro vendetta colpirà le tenebre, la bruttezza e l’errore che hanno sconvolto la mente dell’uomo; e sotto la guida del barbuto Saturno i mortali sacrificheranno di nuovo a lui, e vivranno nella bellezza e nel piacere. Stanotte conoscerai il favore degli dei e vedrai, sul Parnaso, i sogni che per secoli essi hanno mandato sulla terra per dimostrare che non erano morti. Perché i poeti sono i sogni degli dei e in ogni epoca c’è stato qualcuno che ha cantato, ignaro, il messaggio e la promessa che viene dai giardini del loto oltre il tramonto». Poi Hermes prese in braccio la ragazza che sognava e la portò con sé nei cieli. Dolci brezze che soffiavano dalla torre di Eolo li spinsero sui mari tiepidi e profumati finché giunsero in presenza di Zeus, il quale tiene corte sui due colli del Parnaso e siede su un trono d’oro che a destra è fiancheggiato da Apollo e le Muse, a sinistra da Dioniso incoronato d’edera e dalle baccanti rosse di piacere. Marcia non aveva mai visto un tale splendore, né da sveglia né in sogno, ma il fulgore della scena non era insopportabile come sarebbe accaduto sull’alto Olimpo perché, in quella corte minore, il padre degli dei aveva attenuato le sue glorie per consentirne la vista ai mortali. Davanti all’ingresso coperto d’alloro della grotta Coricia sedevano sei nobili figure dall’aspetto umano ma il portamento divino. La sognatrice li riconobbe dai ritratti che tante volte aveva visto e capì di trovarsi in presenza nientemeno che del divino Meonide, dell’abissale Dante, dell’immortale Shakespeare, dell’esploratore del caos, Milton, del cosmico Goethe e del prediletto Keats. Erano questi i messaggeri mandati dagli dei a dire che Pan non era morto ma solo addormentato, perché è con la poesia che il divino parla all’umano. Poi disse il Tonante: «O figlia… poiché tu appartieni alla mia stirpe infinita e sei dunque mia figlia… guarda sui troni d’avorio gli augusti messaggeri che gli dei hanno mandato sulla terra, affinché nelle parole e negli scritti degli uomini vi fosse ancora una traccia di bellezza superiore. Altri bardi sono stati giustamente incoronati dagli uomini, ma questi li ha premiati Apollo in persona e io li ho separati da tutti perché, pur essendo mortali, sanno parlare la lingua degli dei. Abbiamo sognato a lungo nei giardini del loto oltre l’occidente, comunicando solo nei sogni, ma si avvicina il tempo in cui non taceremo più. È un momento di risveglio e cambiamento: ancora una volta Fetonte ha guidato il carro del sole troppo in basso, bruciando i campi e prosciugando i torrenti; in Gallia ninfe solitarie e con i capelli in disordine piangono vicino a fontane che non danno acqua e si aggirano intorno ai fiumi arrossati dal sangue dei mortali. Ares e i suoi seguaci si sono scatenati con follia divina e sono tornati: Deimos e Phobos fremevano di piacere della violenza. La terra è in lutto e le facce degli uomini somigliano a quelle delle erinni quando Astrea fuggì nei cieli e le onde scatenate per nostra volontà sommersero il mondo con l’eccezione di questa vetta. In questo caos, pronto ad annunciare il suo arrivo ma a nascondere la sua effettiva venuta, lotta il nostro ultimo messaggero, i cui sogni contengono tutte le immagini che i suoi predecessori hanno sognato in passato. È lui che abbiamo scelto per plasmare in un tutto unico la bellezza del mondo primigenio e per scrivere parole in cui echeggino la saggezza e l’armonia del passato. Quest’uomo annuncerà il nostro ritorno e canterà i giorni avvenire in cui fauni e driadi popoleranno di nuovo i boschi di un tempo. La nostra scelta è stata guidata da quelli che siedono su troni d’avorio davanti alla grotta Coricia: nei loro canti sentirai note sublimi che ti permetteranno di riconoscere il supremo messaggero quando arriverà. Ascolta le voci dei poeti che canteranno per te uno ad uno; risentirai ognuna di quelle note nella poesia futura, la poesia che darà pace e piacere alla tua anima ma che dovrai cercare per lunghi e aridi anni. Ascolta con attenzione perché ogni corda che vibra nascosta riapparirà quando tornerai sulla terra, proprio come Alfeo che, dopo aver inabissato le sue acque nel cuore dell’Ellade, riappare nella lontana Sicilia per corteggiare la limpida Aretusa». Allora si alzò Omero, decano dei poeti, che presa la lira cantò il suo inno ad Afrodite. Marcia non conosceva una parola di greco ma il messaggio non fu inascoltato, perché il ritmo misterioso era ciò che parlava agli uomini e agli dei e non aveva bisogno d’interprete. Lo stesso avvenne per Dante e Goethe, le cui parole incomprensibili si diffusero nell’aria con un timbro che era facile sentire e amare. Ma alla fine l’ascoltatrice udì dei versi familiari: era il Cigno dell’Avon, un tempo dio fra gli uomini e ancora dio fra gli dei. Scrivi, scrivi che dalla sanguinosa maledizione della guerra Il mio amato signore, tuo figlio, possa sfuggire: Che rimanga a casa in pace, mentre io da lontano Onoro il suo nome con zelo e con fervore. Ancora più familiari suonarono gli accenti di Milton, non più cieco, che declamò in immortale armonia: O lascia che a mezzanotte io veda La tua lanterna su una torre solitaria, Dove io possa guardare l’Orsa Col tre volte grande Mercurio, E risvegliare lo spirito di Piatone Per svelare i mondi e le vaste regioni Contenute nella mente immortale: essa ha dimenticato La sua permanenza in questa prigione di carne. * * * Lascia che a volte venga la splendida tragedia Avvolta nel pallio e munita di scettro A parlare di Tebe o della stirpe di Pelope, A raccontare la vicenda di Troia divina. Per ultima si levò la voce giovanile di Keats, vicino più di tutti i messaggeri al popolo magnifico dei fauni: Le melodie che abbiamo già ascoltato sono dolci, Ma quelle che non abbiamo ascoltato sono più dolci ancora: Quindi continuate a suonare, care zampogne… * * * Quando la vecchiaia devasterà questa generazione Tu rimarrai in mezzo a dolori che non sono solo i nostri, Amico dell’uomo al quale dicesti: «La bellezza è verità, la verità bellezza. È tutto Quel che saprai sulla terra, Tutto quello che avrai bisogno di sapere»ß. Quando il poeta s’interruppe il vento che soffiava dall’Egitto portò con sé un lamento: poiché ogni notte, vicino al Nilo, Aurora piange l’uccisione del suo Memnone. La dea dalle dita rosate venne ai piedi di Zeus tonante, e inginocchiatasi gridò: «Padre, è tempo che io apra le porte d’oriente». E Febo, passata la lira a Calliope (sua sposa fra le Muse), si preparò a partire per il ricchissimo Palazzo del Sole ornato di colonne, dove spronò gli stalloni aggiogati al carro d’oro del Giorno. Così Zeus scese dal trono scolpito e pose la mano sulla testa di Marcia, dicendo: «Figlia, l’alba è vicina ed è bene che tu torni a casa prima che i mortali si sveglino. Non piangere se la vita ti sembra vuota, presto l’ombra delle false fedi si disperderà e gli dei cammineranno ancora una volta fra gli uomini. Cerca senza stancarti il nostro messaggero, perché in lui troverai pace e conforto. Le sue parole guideranno i tuoi passi verso la felicità, e nei sogni di bellezza di lui il tuo spirito troverà ciò che agogna». Appena Zeus ebbe finito di parlare, il giovane Hermes prese dolcemente la ragazza e la portò verso le stelle che impallidivano, a occidente e su mari invisibili. * * * Sono passati molti anni da quando Marcia sognò gli dei e il conclave sul Parnaso. Stasera siede nel salotto di allora, ma non è sola. La vecchia inquietudine è scomparsa, perché al suo fianco c’è un uomo il cui nome splende di fama: il giovane poeta dei poeti ai cui piedi giace il mondo intero. Da un manoscritto legge versi che nessuno finora ha mai udito, ma che quando si spargeranno nel mondo restituiranno agli uomini i sogni e le speranze perduti molti secoli fa, quando Pan si addormentò in Arcadia e i grandi dei si ritirarono nei giardini del loto oltre la terra delle Esperidi. Nelle sottili cadenze e nelle melodie nascoste del poeta lo spirito della giovane si è finalmente placato, perché riecheggiano le note sublimi del trace Orfeo, le stesse che commuovevano sassi e alberi sulle rive dell’Ebro. Il cantore tace e chiede con ansia un verdetto, ma che cosa può dire Marcia se non che è musica “degna degli dei”? E mentre lei parla torna la visione del Parnaso e il suono lontano di una voce divina che dice: «Le sue parole guideranno i tuoi passi verso la felicità, e nei sogni di bellezza di lui il tuo spirito troverà ciò che agogna». (Poetry and the Gods, 1920) - Artículo*: Marco Maculotti - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Scritto in collaborazione con Anna H. Crofts, “Poetry and the Gods” (1920) coniuga l’ideale lovecraftiano dell’Immaginazione Poetica alla devozione di stampo romantico per g…

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

La metafísica musical del vihuelista Enríquez de Valderrábano « MusicaAntigua.com

Enríquez de Valderrábano es uno de los siete grandes vihuelistas españoles del siglo XVI español. Junto con Narváez, Mudarra, Milán, Fuenllana, Daza y Pisador, constituye la esencia de un género único que floreció en nuestro país mientras que por el resto de Europa se extendía desde Italia la moda del laúd. Y, sin embargo, la estilizada vihuela guarda muchas similitudes con el barrigudo laúd, tanto en la forma de interpretarse mediante punteado y no rasgueado, como porque constituyó un instrumento destinado a gente cultivada y con conocimientos musicales. Otra similitud entre ambos cordófonos es que dieron lugar a la publicación de numerosos libros de cifra con piezas para ser tocadas. En el caso español, todos los vihuelistas arriba citados publicaron un libro de música para el instrumento, empezando por Diego Pisador, en 1532, hasta los tres volúmenes de El Parnaso de Esteban Daza que ven la luz en 1576. Valderrábano publica el suyo en 1547 y lo titula Silva de Sirenas. Se trata de uno de los más variados en cuanto a contenido e incluye obras sacras y profanas, escritas para vihuela sola, para dos vihuelas y para canto y vihuela. En total 169 piezas entre adaptaciones de obras existentes y otras originales. Entre estas últimas, nos encontramos un importante abanico de géneros, como son las fugas, los contrapuntos, fantasías, diferencias, sonetos, baxas, pavanas, vacas, Conde Claros, discantes, canciones, proverbios, romances y también los villancicos para vihuela sola y para canto y vihuela. Como era costumbre en el Renacimiento, el autor comienza el libro con un prólogo o introducción donde explica conceptos filosóficos y espirituales relacionados con la música y su origen, citando a pensadores clásicos, como Pitágoras, Platón, Aristóteles o Boecio. Enríquez de Valderrábano expone su visión metafísica del arte en la dedicatoria al conde de Miranda y en el texto que hace las veces de prólogo. Comienza hablando de Sócrates y de cómo este asociaba la música al equilibrio entre el intelecto y los sentidos, “las potentias sensitivas e intellectivas”. Menciona también a Platón, de quien nos dice que la música nos fue dada “para templar y moderar los affectos y passiones del alma”. Y de ahí nos lleva Valderrábano al origen del título de su libro, pues a su juicio, la música procede de “siete Sirenas que ay en el alma”, que no son otra cosa que virtudes que a través de la concordia y la armonía despiertan el espíritu permitiéndole conocer “las cosas divinas y humanas”. Así como el ser humano es la criatura más perfecta de la creación, nos dice Enríquez de Valderrábano que la vihuela es el más perfecto instrumento de cuerda o en sus palabras, “la más perfecta consonancia de cuerdas”. En el prólogo que sigue a la dedicatoria a don Francisco de Zúñiga, el compositor relata cómo la vihuela le conquistó en su juventud de niño (“me arrebató los sentidos y me traxo en pos de sí”) y cómo trabajó durante muchos años por aprender a dominar el instrumento, siendo el resultado de dicho esfuerzo el libro para cifra que presenta. Algo más adelante hace referencia a las esferas celestes. Antiguamente se creía que la Tierra era el centro de varias esferas de distintos tamaños en las que estaban incrustados los planetas y las estrellas. El movimiento de estas esferas decía Pitágoras que generaba un sonido armónico, la música de las esferas, y relata Valderrábano que los sabios de la antigüedad inventaron la vihuela para imitar ese sonido tan dulce. La música se remonta a la misma creación, pues dice el autor que Dios la utilizó para dotar de “armonía y concierto” a la Tierra y a los demás elementos a su alrededor (el sol, los planetas y las estrellas). También con música se gobierna la esfera humana, pues esta rige los cuatro elementos aristotélicos -aire, fuego, agua y tierra- que determinan el ánimo del hombre. La música nos ayuda a estar en contacto con Dios, dado que “por la música, pues, conoscemos a Dios, con Música de choros le honrramos y sanctificamos, ca con ella quiere Dios ser alabado y glorificado”. Gracias a la música aumenta la devoción de los fieles. Al ser utilizada en el culto religioso, tiene efectos positivos sobre la caridad, la piedad y la contemplación de los creyentes: “ca con la música se enciende el spíritu, y se levantan los ánimos en alabança y conoscimiento de su criador”. El vihuelista vuelve a citar a Platón en la defensa de las virtudes de la música para la personalidad humana ya que hace “a los hombres apuestos, concertados, mansos, tratables, limpios, humanos, humildes, osados, animosos, de buena condición y conversatión, y finalmente engendra otras muchas y grandes virtudes en sus amadores, de do nacen las buenas y loables costunbres”. Después de describir las costumbres musicales de la antigüedad, mencionando a no pocos filósofos y escritores y relatando anécdotas curiosas (“de Sócrates refiere Cicerón, que en la postrera hedad deprendió a tañer vihuela”), Enríquez de Valderrábano finaliza este prólogo a Silva de Sirenas con una exaltada defensa de la vihuela, a la que sitúa por encima de cualquier otro instrumento. De ella emana la música más perfecta, suave y dulce y la que más conmueve al oyente, resultando imposible expresar con palabras toda la gloria que merece: “Muchas cosas podría traer en loor de la música y de la vihuela, pero déxolo, porque todo lo que se puede dezir y está dicho della no yguala al loor y gloria que merece, aunque nadie la vitupere.” - Artículo*: Pablo Rodríguez Canfranc - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Junto con Narváez, Mudarra, Milán, Fuenllana, Daza y Pisador, constituye la esencia de un género único que floreció en nuestro país mientras que por el resto de Europa se extendía desde Italia la moda del laúd.

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

H.P. Lovecraft: “La Poesia e gli Dei”

Scritto in collaborazione con Anna H. Crofts, “Poetry and the Gods” (1920) coniuga l’ideale lovecraftiano dell’Immaginazione Poetica alla devozione di stampo romantico per gli Dèi antichi Se buona parte della narrativa di H.P. Lovecraft può dirsi fondata su sogni o ad essi ispirata [cfr. “Oniricon”: H.P. Lovecraft, il Sogno e l’Altrove], esistono alcuni casi in cui i sogni sono stati “presi a prestito”: un esempio in questo senso è Poetry and the Gods, un racconto che deriva da una visione dell’aspirante poetessa Anna Helen Crofts e a cui Lovecraft provvide a dare forma narrativa. Il racconto apparve su “The United Amateur” del settembre 1920 a firma Anna Helen Crofts ed Henry Paget-Lowe. immagine: William Russell Flint, “Theocritus’ Idyll XVIII / Chorus and Musicians”, 1913. Howard Phillips Lovecraft La poesia e gli dei in collaborazione con Anna Helen Crofts Un’umida e scura sera di aprile, poco dopo la fine della Grande Guerra, Marcia si trovò sola con strani pensieri e desideri, aspirazioni che fino a quel momento non aveva mai nutrito e che la portarono lontano dall’ampio salotto novecento, presero il volo verso oriente e la lasciarono negli uliveti d’Arcadia che aveva visto soltanto in sogno. Marcia era entrata in salotto distratta, aveva spento i candelieri e si era appoggiata a un morbido divano accanto a una lampada solitaria, dalla quale un cerchio di luce verde pioveva sul tavolo di lettura come un raggio di luna rasserenante spuntato tra le foglie, nei pressi di un tempio antico. Vestita in modo semplice, con un abito da sera nero e scollato, Marcia sembrava esternamente un tipico prodotto della civiltà moderna, ma aveva l’impressione che un abisso la separasse dall’ambiente prosaico che la circondava. Era colpa della strana casa in cui viveva, quella dimora del gelo dove i rapporti fra le persone erano sempre tesi e i familiari poco più che estranei? Si trattava di questo o di un più grande, inspiegabile dislocamento nel tempo e nello spazio per cui era nata troppo tardi, troppo presto o troppo lontana dalla sede ideale del suo spirito per armonizzare con le brutture della realtà contemporanea? Per scacciare il malumore che l’avvolgeva sempre più cupo ad ogni minuto, Marcia prese una rivista e cercò un attimo di sollievo in una pagina di poesia. La poesia era sempre stata un toccasana per il suo spirito turbato, anche se non tutta aveva quell’effetto. Persino nei versi più sublimi le pareva di scorgere, a volte, un che di artificioso e soffocante, come polvere su una finestra da cui si guarda un magnifico tramonto. Sfogliando distrattamente le pagine, come in cerca di un tesoro che le sfuggiva, all’improvviso trovò qualcosa che la liberò dal malumore. Un osservatore in grado di leggerle il pensiero avrebbe concluso che Marcia, finalmente, avesse trovato un’immagine o una fantasia che l’avvicinassero più di ogni altra alla sua meta ideale; in realtà era solo un componimento in vers libre, quel pietoso compromesso poetico che si stacca dalla prosa ma non arriva alla divina melodia dei numeri. I suoi pregi erano un vigore e una spontaneità degni di un bardo che vive in estasi, che gode e cerca la bellezza non ancora svelata. Privo di regolarità, aveva la musica delle parole alate e spontanee, un’armonia che mancava totalmente ai versi formali e rispettosi delle convenzioni cui Marcia era abituata. Man mano che leggeva, l’ambiente reale scomparve e intorno a lei aleggiò la nebbia dei sogni, quel velo purpureo e tempestato di stelle che si libera dal tempo e in cui si ritrovano gli dei e i sognatori. Luna che brilli sul Giappone, O bianca luna-farfalla! Dove i Budda dalle palpebre socchiuse Sognano al richiamo del cùculo… Le ali bianche delle farfalle di luna Guizzano nelle strade della città E riducono al silenzio gl’inutili stoppini delle lanterne sonore in mano alle fanciulle. Luna dei tropici, Bocciolo ricurvo Che schiudi lentamente i tuoi petali nel tepore dei cieli… L’aria è fragrante di odori, Languidi suoni caldi… Un flauto diffonde nella notte musica come frinire d’insetti Sotto il curvo petalo di luna nei cieli. Luna che brilli sulla Cina, Stanca luna del fiume del cielo, Il fremito della luce tra i salici è come il lampo di mille pesci d’argento Tra scogliere oscure; Le piastrelle sulle tombe, i templi abbandonati Splendono come ondine increspate Mentre il cielo è attraversato da nubi come scaglie di drago. Avvinta dai sogni, la lettrice mandò un grido alle stelle della poesia, un grido di piacere per il sopraggiungere di una nuova età di canto, la rinascita di Pan. Con gli occhi socchiusi ripeté le parole la cui melodia segreta faceva pensare a cristalli sul fondo d’un ruscello, prima dell’alba: cristalli invisibili ma pronti a brillare ai primi raggi di sole. Luna che brilli sul Giappone, O bianca luna-farfalla! Luna dei tropici, Bocciolo ricurvo Che schiudi lentamente i tuoi petali nel tepore dei cieli. L’aria è fragrante di odori, Languidi suoni caldi… Luna che brilli sulla Cina, Stanca luna del fiume del cielo… Dalle nebbie del sogno emerse la figura di un giovane splendente, un dio. Aveva il copricapo e i sandali alati, in mano teneva il caduceo ed era bello come niente lo è sulla terra. Agitò tre volte, davanti alla dormiente, la bacchetta donatagli da Apollo in cambio del guscio musicale a nove corde, poi cinse la fronte di Marcia con una corona di mirto e rose. Hermes parlò, in adorazione: «O ninfa più bionda delle sorelle di Ciene che hanno capelli d’oro, più delle atlantidi che abitano in cielo, amata da Afrodite e benedetta da Pallade Atena, tu hai scoperto il segreto degli dei che risiede nel canto e nella bellezza. O profetessa più bella della Sibilla cumana quando Apollo la incontrò la prima volta, tu hai detto la verità sulla nuova èra che sta per venire, perché in questo momento, sul monte Menalo, Pan sospira e si muove nel sonno, ansioso di svegliarsi e vedere intorno a sé i fauni cinti di rose e gli antichi satiri. Il desiderio ti ha permesso di indovinare ciò che nessun mortale, tranne pochi che il mondo respinge, ormai ricorda: che gli dei non sono mai morti, ma dormivano e sognavano il sogno degli dei nei giardini delle Esperidi, ricchi di loto e situati oltre il tramonto. Ora si avvicina il tempo del risveglio, quando freddezza e bruttezza scompariranno e Zeus siederà di nuovo sull’Olimpo. Già il mare intorno a Pafo si agita e produce una schiuma che solo i cieli antichi hanno visto, e di notte sul monte Elicona i pastori sentono strani mormoni e note che a malapena ricordano. Campi e boschi brillano al crepuscolo del riverbero di bianche figure che danzano, e l’Oceano originario cede alla luna visioni sconcertanti. Gli dei sono pazienti e hanno dormito a lungo, ma nessun uomo o gigante può sfidarli per l’eternità. Nel Tartaro soffrono i Titani e sotto il possente Etna gemono i figli di Urano e Gea. Si avvicina il giorno in cui l’uomo dovrà rispondere dell’averli rinnegati per secoli, ma nel sonno gli dei hanno imparato ad essere gentili e non lo scaglieranno nell’abisso fatto per i negatori della divinità. No, la loro vendetta colpirà le tenebre, la bruttezza e l’errore che hanno sconvolto la mente dell’uomo; e sotto la guida del barbuto Saturno i mortali sacrificheranno di nuovo a lui, e vivranno nella bellezza e nel piacere. Stanotte conoscerai il favore degli dei e vedrai, sul Parnaso, i sogni che per secoli essi hanno mandato sulla terra per dimostrare che non erano morti. Perché i poeti sono i sogni degli dei e in ogni epoca c’è stato qualcuno che ha cantato, ignaro, il messaggio e la promessa che viene dai giardini del loto oltre il tramonto». Poi Hermes prese in braccio la ragazza che sognava e la portò con sé nei cieli. Dolci brezze che soffiavano dalla torre di Eolo li spinsero sui mari tiepidi e profumati finché giunsero in presenza di Zeus, il quale tiene corte sui due colli del Parnaso e siede su un trono d’oro che a destra è fiancheggiato da Apollo e le Muse, a sinistra da Dioniso incoronato d’edera e dalle baccanti rosse di piacere. Marcia non aveva mai visto un tale splendore, né da sveglia né in sogno, ma il fulgore della scena non era insopportabile come sarebbe accaduto sull’alto Olimpo perché, in quella corte minore, il padre degli dei aveva attenuato le sue glorie per consentirne la vista ai mortali. Davanti all’ingresso coperto d’alloro della grotta Coricia sedevano sei nobili figure dall’aspetto umano ma il portamento divino. La sognatrice li riconobbe dai ritratti che tante volte aveva visto e capì di trovarsi in presenza nientemeno che del divino Meonide, dell’abissale Dante, dell’immortale Shakespeare, dell’esploratore del caos, Milton, del cosmico Goethe e del prediletto Keats. Erano questi i messaggeri mandati dagli dei a dire che Pan non era morto ma solo addormentato, perché è con la poesia che il divino parla all’umano. Poi disse il Tonante: «O figlia… poiché tu appartieni alla mia stirpe infinita e sei dunque mia figlia… guarda sui troni d’avorio gli augusti messaggeri che gli dei hanno mandato sulla terra, affinché nelle parole e negli scritti degli uomini vi fosse ancora una traccia di bellezza superiore. Altri bardi sono stati giustamente incoronati dagli uomini, ma questi li ha premiati Apollo in persona e io li ho separati da tutti perché, pur essendo mortali, sanno parlare la lingua degli dei. Abbiamo sognato a lungo nei giardini del loto oltre l’occidente, comunicando solo nei sogni, ma si avvicina il tempo in cui non taceremo più. È un momento di risveglio e cambiamento: ancora una volta Fetonte ha guidato il carro del sole troppo in basso, bruciando i campi e prosciugando i torrenti; in Gallia ninfe solitarie e con i capelli in disordine piangono vicino a fontane che non danno acqua e si aggirano intorno ai fiumi arrossati dal sangue dei mortali. Ares e i suoi seguaci si sono scatenati con follia divina e sono tornati: Deimos e Phobos fremevano di piacere della violenza. La terra è in lutto e le facce degli uomini somigliano a quelle delle erinni quando Astrea fuggì nei cieli e le onde scatenate per nostra volontà sommersero il mondo con l’eccezione di questa vetta. In questo caos, pronto ad annunciare il suo arrivo ma a nascondere la sua effettiva venuta, lotta il nostro ultimo messaggero, i cui sogni contengono tutte le immagini che i suoi predecessori hanno sognato in passato. È lui che abbiamo scelto per plasmare in un tutto unico la bellezza del mondo primigenio e per scrivere parole in cui echeggino la saggezza e l’armonia del passato. Quest’uomo annuncerà il nostro ritorno e canterà i giorni avvenire in cui fauni e driadi popoleranno di nuovo i boschi di un tempo. La nostra scelta è stata guidata da quelli che siedono su troni d’avorio davanti alla grotta Coricia: nei loro canti sentirai note sublimi che ti permetteranno di riconoscere il supremo messaggero quando arriverà. Ascolta le voci dei poeti che canteranno per te uno ad uno; risentirai ognuna di quelle note nella poesia futura, la poesia che darà pace e piacere alla tua anima ma che dovrai cercare per lunghi e aridi anni. Ascolta con attenzione perché ogni corda che vibra nascosta riapparirà quando tornerai sulla terra, proprio come Alfeo che, dopo aver inabissato le sue acque nel cuore dell’Ellade, riappare nella lontana Sicilia per corteggiare la limpida Aretusa». Allora si alzò Omero, decano dei poeti, che presa la lira cantò il suo inno ad Afrodite. Marcia non conosceva una parola di greco ma il messaggio non fu inascoltato, perché il ritmo misterioso era ciò che parlava agli uomini e agli dei e non aveva bisogno d’interprete. Lo stesso avvenne per Dante e Goethe, le cui parole incomprensibili si diffusero nell’aria con un timbro che era facile sentire e amare. Ma alla fine l’ascoltatrice udì dei versi familiari: era il Cigno dell’Avon, un tempo dio fra gli uomini e ancora dio fra gli dei. Scrivi, scrivi che dalla sanguinosa maledizione della guerra Il mio amato signore, tuo figlio, possa sfuggire: Che rimanga a casa in pace, mentre io da lontano Onoro il suo nome con zelo e con fervore. Ancora più familiari suonarono gli accenti di Milton, non più cieco, che declamò in immortale armonia: O lascia che a mezzanotte io veda La tua lanterna su una torre solitaria, Dove io possa guardare l’Orsa Col tre volte grande Mercurio, E risvegliare lo spirito di Piatone Per svelare i mondi e le vaste regioni Contenute nella mente immortale: essa ha dimenticato La sua permanenza in questa prigione di carne. * * * Lascia che a volte venga la splendida tragedia Avvolta nel pallio e munita di scettro A parlare di Tebe o della stirpe di Pelope, A raccontare la vicenda di Troia divina. Per ultima si levò la voce giovanile di Keats, vicino più di tutti i messaggeri al popolo magnifico dei fauni: Le melodie che abbiamo già ascoltato sono dolci, Ma quelle che non abbiamo ascoltato sono più dolci ancora: Quindi continuate a suonare, care zampogne… * * * Quando la vecchiaia devasterà questa generazione Tu rimarrai in mezzo a dolori che non sono solo i nostri, Amico dell’uomo al quale dicesti: «La bellezza è verità, la verità bellezza. È tutto Quel che saprai sulla terra, Tutto quello che avrai bisogno di sapere»ß. Quando il poeta s’interruppe il vento che soffiava dall’Egitto portò con sé un lamento: poiché ogni notte, vicino al Nilo, Aurora piange l’uccisione del suo Memnone. La dea dalle dita rosate venne ai piedi di Zeus tonante, e inginocchiatasi gridò: «Padre, è tempo che io apra le porte d’oriente». E Febo, passata la lira a Calliope (sua sposa fra le Muse), si preparò a partire per il ricchissimo Palazzo del Sole ornato di colonne, dove spronò gli stalloni aggiogati al carro d’oro del Giorno. Così Zeus scese dal trono scolpito e pose la mano sulla testa di Marcia, dicendo: «Figlia, l’alba è vicina ed è bene che tu torni a casa prima che i mortali si sveglino. Non piangere se la vita ti sembra vuota, presto l’ombra delle false fedi si disperderà e gli dei cammineranno ancora una volta fra gli uomini. Cerca senza stancarti il nostro messaggero, perché in lui troverai pace e conforto. Le sue parole guideranno i tuoi passi verso la felicità, e nei sogni di bellezza di lui il tuo spirito troverà ciò che agogna». Appena Zeus ebbe finito di parlare, il giovane Hermes prese dolcemente la ragazza e la portò verso le stelle che impallidivano, a occidente e su mari invisibili. * * * Sono passati molti anni da quando Marcia sognò gli dei e il conclave sul Parnaso. Stasera siede nel salotto di allora, ma non è sola. La vecchia inquietudine è scomparsa, perché al suo fianco c’è un uomo il cui nome splende di fama: il giovane poeta dei poeti ai cui piedi giace il mondo intero. Da un manoscritto legge versi che nessuno finora ha mai udito, ma che quando si spargeranno nel mondo restituiranno agli uomini i sogni e le speranze perduti molti secoli fa, quando Pan si addormentò in Arcadia e i grandi dei si ritirarono nei giardini del loto oltre la terra delle Esperidi. Nelle sottili cadenze e nelle melodie nascoste del poeta lo spirito della giovane si è finalmente placato, perché riecheggiano le note sublimi del trace Orfeo, le stesse che commuovevano sassi e alberi sulle rive dell’Ebro. Il cantore tace e chiede con ansia un verdetto, ma che cosa può dire Marcia se non che è musica “degna degli dei”? E mentre lei parla torna la visione del Parnaso e il suono lontano di una voce divina che dice: «Le sue parole guideranno i tuoi passi verso la felicità, e nei sogni di bellezza di lui il tuo spirito troverà ciò che agogna». (Poetry and the Gods, 1920) - Artículo*: Marco Maculotti - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Scritto in collaborazione con Anna H. Crofts, “Poetry and the Gods” (1920) coniuga l’ideale lovecraftiano dell’Immaginazione Poetica alla devozione di stampo romantico per g…

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Enlace: Mundo Tradicional. Aproximación al sufismo, de Manuel Plana

Aproximación al sufismo, por Manuel Plana - Artículo*: sidnur - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Aproximación al sufismo, por Manuel Plana

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Los sonidos de los objetos y su movimiento cambian las percepciones del tamaño de nuestro cuerpo — Noticias de la Ciencia y la Tecnología (Amazings® / NCYT®)

El sonido y el movimiento de los objetos que utilizamos influyen en la percepción que tenemos sobre el tamaño de nuestro cuerpo, según un nuevo estudio de un equipo internacional liderado por una investigadora de la Universidad Carlos III de Madrid (UC3M) (España). El trabajo, publicado en la... - Artículo*: - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Noticias científicas y tecnológicas, artículos y entrevistas sobre el mundo de la ciencia

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Enlace: Mundo Tradicional. Aproximación al sufismo, de Manuel Plana

Aproximación al sufismo, por Manuel Plana - Artículo*: sidnur - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Aproximación al sufismo, por Manuel Plana

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

La metafísica musical de Enríquez de Valderrábano « MusicaAntigua.com

Enríquez de Valderrábano es uno de los siete grandes vihuelistas españoles del siglo XVI español. Junto con Narváez, Mudarra, Milán, Fuenllana, Daza y Pisador, constituye la esencia de un género único que floreció en nuestro país mientras que por el resto de Europa se extendía desde Italia la moda del laúd. Y, sin embargo, la estilizada vihuela guarda muchas similitudes con el barrigudo laúd, tanto en la forma de interpretarse mediante punteado y no rasgueado, como porque constituyó un instrumento destinado a gente cultivada y con conocimientos musicales. Otra similitud entre ambos cordófonos es que dieron lugar a la publicación de numerosos libros de cifra con piezas para ser tocadas. En el caso español, todos los vihuelistas arriba citados publicaron un libro de música para el instrumento, empezando por Diego Pisador, en 1532, hasta los tres volúmenes de El Parnaso de Esteban Daza que ven la luz en 1576. Valderrábano publica el suyo en 1547 y lo titula Silva de Sirenas. Se trata de uno de los más variados en cuanto a contenido e incluye obras sacras y profanas, escritas para vihuela sola, para dos vihuelas y para canto y vihuela. En total 169 piezas entre adaptaciones de obras existentes y otras originales. Entre estas últimas, nos encontramos un importante abanico de géneros, como son las fugas, los contrapuntos, fantasías, diferencias, sonetos, baxas, pavanas, vacas, Conde Claros, discantes, canciones, proverbios, romances y también los villancicos para vihuela sola y para canto y vihuela. Como era costumbre en el Renacimiento, el autor comienza el libro con un prólogo o introducción donde explica conceptos filosóficos y espirituales relacionados con la música y su origen, citando a pensadores clásicos, como Pitágoras, Platón, Aristóteles o Boecio. Enríquez de Valderrábano expone su visión metafísica del arte en la dedicatoria al conde de Miranda y en el texto que hace las veces de prólogo. Comienza hablando de Sócrates y de cómo este asociaba la música al equilibrio entre el intelecto y los sentidos, “las potentias sensitivas e intellectivas”. Menciona también a Platón, de quien nos dice que la música nos fue dada “para templar y moderar los affectos y passiones del alma”. Y de ahí nos lleva Valderrábano al origen del título de su libro, pues a su juicio, la música procede de “siete Sirenas que ay en el alma”, que no son otra cosa que virtudes que a través de la concordia y la armonía despiertan el espíritu permitiéndole conocer “las cosas divinas y humanas”. Así como el ser humano es la criatura más perfecta de la creación, nos dice Enríquez de Valderrábano que la vihuela es el más perfecto instrumento de cuerda o en sus palabras, “la más perfecta consonancia de cuerdas”. En el prólogo que sigue a la dedicatoria a don Francisco de Zúñiga, el compositor relata cómo la vihuela le conquistó en su juventud de niño (“me arrebató los sentidos y me traxo en pos de sí”) y cómo trabajó durante muchos años por aprender a dominar el instrumento, siendo el resultado de dicho esfuerzo el libro para cifra que presenta. Algo más adelante hace referencia a las esferas celestes. Antiguamente se creía que la Tierra era el centro de varias esferas de distintos tamaños en las que estaban incrustados los planetas y las estrellas. El movimiento de estas esferas decía Pitágoras que generaba un sonido armónico, la música de las esferas, y relata Valderrábano que los sabios de la antigüedad inventaron la vihuela para imitar ese sonido tan dulce. La música se remonta a la misma creación, pues dice el autor que Dios la utilizó para dotar de “armonía y concierto” a la Tierra y a los demás elementos a su alrededor (el sol, los planetas y las estrellas). También con música se gobierna la esfera humana, pues esta rige los cuatro elementos aristotélicos -aire, fuego, agua y tierra- que determinan el ánimo del hombre. La música nos ayuda a estar en contacto con Dios, dado que “por la música, pues, conoscemos a Dios, con Música de choros le honrramos y sanctificamos, ca con ella quiere Dios ser alabado y glorificado”. Gracias a la música aumenta la devoción de los fieles. Al ser utilizada en el culto religioso, tiene efectos positivos sobre la caridad, la piedad y la contemplación de los creyentes: “ca con la música se enciende el spíritu, y se levantan los ánimos en alabança y conoscimiento de su criador”. El vihuelista vuelve a citar a Platón en la defensa de las virtudes de la música para la personalidad humana ya que hace “a los hombres apuestos, concertados, mansos, tratables, limpios, humanos, humildes, osados, animosos, de buena condición y conversatión, y finalmente engendra otras muchas y grandes virtudes en sus amadores, de do nacen las buenas y loables costunbres”. Después de describir las costumbres musicales de la antigüedad, mencionando a no pocos filósofos y escritores y relatando anécdotas curiosas (“de Sócrates refiere Cicerón, que en la postrera hedad deprendió a tañer vihuela”), Enríquez de Valderrábano finaliza este prólogo a Silva de Sirenas con una exaltada defensa de la vihuela, a la que sitúa por encima de cualquier otro instrumento. De ella emana la música más perfecta, suave y dulce y la que más conmueve al oyente, resultando imposible expresar con palabras toda la gloria que merece: “Muchas cosas podría traer en loor de la música y de la vihuela, pero déxolo, porque todo lo que se puede dezir y está dicho della no yguala al loor y gloria que merece, aunque nadie la vitupere.” - Artículo*: Pablo Rodríguez Canfranc - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Enríquez de Valderrábano es uno de los siete grandes vihuelistas españoles del siglo XVI español. Junto con Narváez, Mudarra, Milán, Fuenllana, Daza y Pisador, constituye la esencia de un género único que floreció en nuestro país mientras que por el resto de Europa se extendía desde Itali...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Messier 24: Nube estelar de Sagitario | Imagen astronomía diaria - Observatorio

A diferencia de la mayoría de entradas del famoso catálogo de objetos de Charles Messier, M24 no es una galaxia brillante ni un cúmulo estelar ni una nebulosa. Es un vacío entre las nubes de polvo interestelar que permite observar las estrellas distantes del brazo espiral Sagitario de la Vía Láctea. Cuando lo miras con binoculares o con un pequeño telescopio, estás mirando estrellas que se encuentran a 10.000 años luz o más en una ventana de unos 300 años luz. Las luminosas estrellas de M24 -llamado a veces la pequeña nube estelar de Sagitari- llenan el lado izquierdo de este precioso paisaje estelar. El campo de visión telescópica cubre 4 grados o la anchura de ocho lunas llenas en la constelación Sagitario y contiene numerosas nubes y nebulosas de polvo pequeñas y densas del centro de la Vía Láctea, como las emisiones rojizas procedentes de IC 1284, cerca de la parte superior de la fotografía. - Artículo*: Alex Dantart - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
A diferencia de la mayoría de entradas del famoso catálogo de objetos de Charles Messier, M24 no es una galaxia brillante ni un cúmulo estelar ni una nebulosa. Es un vacío entre las nubes de polvo interestelar que permite observar las estrellas distantes del brazo espiral Sagitario de la Vía L....

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

El cuerpo y el espíritu de la Torá — Arsgravis - Arte y simbolismo - Universidad de Barcelona

Presentación de Claude Froidebise [1] Nuestra propuesta es seguir, con discernimiento, la lectura de las notas tomadas durante las clases de hebreo impartidas por Emmanuel d’Hoohgvorst. El Pensamiento de Dios ha escogido a los profetas para manifestarse aquí abajo, éstos han expresado el misterio con delicadeza, pero con nuestro ordinario modo de expresarnos. ¿Quién estará atento? Igualmente, ¿quién busca amorosamente la almendra bajo la corteza de la tierra? Quien abriera una manzana, escribió Nicolas Valois, encontraría en ella el esperma, en cuyo centro está la simiente capaz de producir un manzano.[2] ¿Quién presenta a la Vida de lo alto un vestido que le convenga aquí abajo? Una encantadora canción tradicional francesa cuenta que “en las escaleras de palacio hay una muchacha muy hermosa. Tiene tantos amantes que no sabe a cuál escoger. Un pequeño zapatero fue el preferido. Un día que la calzaba, se lo pidió”. “La idolatría es confundir las apariencias de la cosa de Dios con la cosa misma, y es permanecer extraviado por las cortezas que esconden la almendra substancial y pura de la vida imperecede­ra”. (L. Cattiaux, El Mensaje Reencontrado IV, 73; a partir de aquí citado como MR). El cuerpo y el espíritu de la Torá (Zohar III, 152 a) Rabí Simeón dijo, desgracia para el hombre que dijo que la Torá vino para exponer historias según un sentido simple y con palabras profanas , pues si así fuera, seríamos capaces incluso actualmente, de hacer una Torá a partir de palabras profanas que sería extremadamente alabada. Si la intención fuera la de expresar los asuntos del mundo, hay entre estos escritos sobre el mundo, palabras muy elevadas. Si así fuera, ¿las seguiríamos y haríamos con ellas una Torá parecida? Pero todas las palabras de la Torá son palabras sublimes y secretos elevados. Ven y ve, el mundo de arriba y el mundo de abajo son pesados con un mismo peso, Israel abajo y los ángeles superiores, arriba. Está escrito respecto a los ángeles superiores: “Hace de los soplos sus ángeles y de un fuego ardiente sus servidores” (Sl 104, 4) En el momento en que descienden, se revisten de los vestidos de este mundo. Y si no se revistieran de un vestido de la naturaleza de este mundo, no podrían permanecer en este mundo y el mundo no los soportaría. Si es así respecto a los ángeles, con cuánta más razón respecto a la Torá que los ha creado y que ha creado todos los mundos que subsisten gracias a ella. [3] Si no se revistiera con vestidos de este mundo cuando desciende a él, el mundo no la podría soportar. Por eso, la historia de la Torá es el vestido de la Torá. El que piense que este vestido es la Torá real y nada más, ¡qué muera y que no tenga parte en el mundo por venir! Por eso David dijo: “Descubre mis ojos y contemplaré las maravillas que provienen de tu Torá” (Sl 119, 18) Es decir, lo que está bajo los vestidos de la Torá. Ven y ve. Hay un vestido que todos lo ven, y cuando los estúpidos ven un a un hombre con un vestido que les parece hermoso ya no consideran el resto. Mientras que lo importante de ese vestido es el cuerpo, y la importancia del cuerpo es el alma. Del mismo modo, la Torá tiene un cuerpo. Son los mandamientos de la Torá que se llaman el cuerpo de la Torá. El cuerpo está recubierto de vestidos que son las historias de este mundo. Los estúpidos de este mundo solo consideran los vestidos, que es la historia de la Torá, y no el resto, no consideran lo que hay debajo de este vestido. Los que saben más no tienen en cuenta el vestido sino el cuerpo que está debajo de este vestido. Los sabios servidores del Rey de lo Alto, los que están de pie sobre la montaña del Sinaí solo consideran el alma que es la raíz de todo, la Torá auténtica. Y en el tiempo por venir[4], estarán preparados para considerar el alma del alma de la Torá. Ven y ve. Así, incluso en lo alto hay un vestido y un cuerpo y un alma y un alma del alma. Los cielos y sus ejércitos son el vestido, la asamblea de Israel es el cuerpo que recibe el alma, que es el esplendor de Israel, por eso es el cuerpo del alma. El alma de la que hablamos es el esplendor de Israel pues es la Torá auténtica, y el alma del alma es el Santo Anciano, y todo está encerrado una dentro de la otra. Desgracia para los malvados que dicen que la Torá solo es una historia según el sentido simple y que consideran el vestido y no el resto. Felices los justos que consideran a la Torá como conviene. El vino solo puede estar en un recipiente, igualmente la Torá solo puede permanecer bajo este vestido. Y por eso solo hay que tener en cuenta lo que está debajo de este vestido y por eso todos estos significados y todas estas palabras son unos vestidos. Comentario de Emmanuel d’Hooghvorst La Torá no ha venido al mundo para hablarnos de cosas profanas, dice el Zohar. Estos textos son importantes porque nos muestran cómo debemos leer las Escrituras y qué sentido debemos darles. ¿Qué significa “el mundo de lo alto y el mundo de abajo son pesados con un mismo peso”? Para empezar, tengamos en cuenta que se trata del encuentro entre ángeles e Israel, no entre ángeles y hombres ordinarios. Y, ¿qué es Israel? Es el que ha luchado con el ángel de vida y lo ha vencido (Gn 32, 25 a 32). Al final de la lucha, Israel y el ángel van al mismo paso y tienen el mismo peso. Si realmente queremos ser interlocutores válidos para los ángeles es importante que formemos parte del Verus Israel, es decir, de los ángeles que están sobre la tierra. Este modo de considerar a los ángeles está bastante alejado de la imaginería habitual, ¡los ángeles en este mundo son Israel, e Israel en el otro mundo son los ángeles! La noción de peso alude a algo que no conoceremos si no es por experiencia. Se dice por ejemplo: “Nadie sabe el espesor de la capa de mugre que nos recubre, excepto el santo que la consume, y nadie conoce el peso de la luz que nos habita, excepto el sabio que la madura en secreto” (MR 20, 41). Nuestro estudio debe darnos el deseo de esta experiencia. Cuando leemos que, en su bajada, los ángeles se revisten con un vestido de este mundo, hay que comprender que este vestido es el hombre. El misterio marial indica que la unión de lo que está arriba con lo que está abajo solo puede hacerse por medio de la bendición. Y cuando se dice que sin este vestido el mundo no podría soportar la presencia del ángel, se ve el peligro de este encuentro. Es la historia de Tu-ti, que se había convertido en un adorador ferviente del Gran Dragón por lo que le pedía sin cesar que pudiera verle. Pero cuando el Gran Dragón se manifestó, Ti-ti huyó atemorizado[5]. Quizá sería mejor para nosotros recibir la visita de un israelita que la de un ángel, porque podríamos quedar reducidos a cenizas. Por eso, el ángel Gabriel le dijo a la Virgen María: “No temas María, pues has hallado gracia ante Dios. Y he aquí que quedarás preñada y darás a luz un hijo al que pondrás por nombre Jesús” (Lc 1, 30) El hombre visitado comienza por ser aniquilado por el fuego del ángel, he aquí el temor del Señor. Seguidamente, el ángel le da las fuerzas necesarias para mantenerse en pie. Se trata pues de casos totalmente excepcionales y particulares. El mundo se mantiene en pie gracias a estos sabios que han unido el ángel con Israel. Ellos conocen a los que buscan y pueden visitarlos en el tiempo fijado. Yo creo, como ya he dicho a menudo, que un sabio viene hacia nosotros. Pero como siempre, estos personajes vienen a lomos de un asno y ¡tardan mucho tiempo! Se nos enseña, pues, que la Torá tiene que vestirse con historias, símbolos, leyendas de este mundo, porque si se mostrara tal como es, el mundo no podría soportarla. Igualmente Cristo habló mediante parábolas. En efecto, dijo a sus discípulos: “Os he dicho estas cosas de manera figurada. La hora se acerca en la que ya no os hablaré de manera figurada, sino que os daré abiertamente una respuesta respecto al Padre” (Jn 16, 25) Y también: “Por eso les habló en parábolas, pues ven sin ver, escuchan sin escuchar ni comprender” (Mt 13, 13) O incluso: “A vosotros se os da el misterio del Reino de Dios, pero para los de fuera, se da en parábolas” (Mc 4, 11) Cristo siempre hablaba a la multitud mediante parábolas, y abiertamente a los discípulos “dentro de la casa”, y eso a fin de dejar a Dios el cuidado de escoger a quién revela sus misterios. Aquél que diga que no será escogido es un blasfemo, pues pronuncia una palabra falsa sobre la Torá. Louis Cattiaux escribía: “El que prejuzga la elección de Dios, se separa del amor de su Señor”. (MR 12, 1). Hay que tener la esperanza de la salvación, es decir esperar ser escogido por Dios. Si la Escritura se presentara a nosotros tal como es en los cielos, no podríamos soportarla. Existe, pues, una cierta indiscreción en descubrir estas maravillas, de aquí la inscripción que se hallaba en el templo de Atenea en Sais: “Soy todo lo que ha sido, todo lo que es y todo lo que será, y mi velo jamás lo ha levantado ningún mortal. El fruto que he engendrado es el sol”[6]. A propósito de este velo, leemos lo siguiente: “Jesús gritó con voz fuerte y entregó su espíritu. Y he aquí que el velo del templo se rasgó en dos, de arriba abajo, la tierra tembló las rocas se rompieron, las tumbas se abrieron y los cuerpos de muchos santos que dormían se despertaron”. (Mt 27, 50 y 51). Entonces fue cuando llegó la revelación para los discípulos de Cristo. Es como jugar con los dados trucados; siempre leemos los textos en el mal sentido. ¿Por qué estudiarlos entonces? Porque este estudio alimenta nuestra plegaria nuestro deseo de conocer el secreto. No hay que intentar conocerlo mediante la astucia. Que nuestro estudio sea protréptico, es decir, una exhortación a la sabiduría. Y, ¿cuáles son las condiciones para obtener esta elección? Creo que de entrada hay que tener el deseo de pureza y en segundo lugar tener un corazón generoso. “Alá no da la sabiduría sino a los que tienen corazón” (Corán 28, 14), es lo que encontramos en el libro de los Proverbios: “Guarda tu corazón más que cualquier otra cosa, pues de él nacen los manantiales de la vida” (Pr 4, 23) ¿Por qué el Santo, bendito sea, dio la Torá a Moisés? Porque sabía, dicen los comentarios, que Moisés amaba a sus hermanos y deseaba guiarlos fuera de Egipto. No pedía pues la Sabiduría para sí mismo, sino para los hijos de Israel. En la búsqueda de Dios, hay también una actitud de abandono. Después de haber rogado mucho, debemos reposar, a fin de que la reacción pueda darse. Este abandono consiste en dejarse guiar y dar gracias a Dios por todo lo que viene, es ponernos totalmente, con nuestros asuntos, en manos del Señor. Esta idea de abandono se encuentra, por ejemplo, en el hesicasmo que forma parte de la tradición de la Iglesia de Oriente[7] o, en Occidente, con el molinismo y el quietismo. El texto nos enseña que los mandamientos son el cuerpo de la Torá que está oculto bajo los vestidos de las historias de este mundo. Conocer el alma de los mandamientos es conocer la Torá. Por ello está dicho que aquél que cumple perfectamente un solo mandamiento, los cumple todos y que el más importante de entre todos ellos es el estudio de la Torá. Aquellos que, por ejemplo, respetaron el mandamiento del reposo dominical no sufrirán jamás ningún daño. Rabí Hilel resumía todo el judaísmo al decir: “No hagas a tu prójimo lo que a ti no te gustaría que te hicieran a ti, he aquí toda la Torá. El resto solo es un comentario. Ves y estudia”.[8] Del mismo modo Jesús respondió a los fariseos que le preguntaban cuál era el mayor mandamiento de la Ley: “Amarás al Señor, tu Dios, con todo tu corazón, toda tu alma y todo tu espíritu. Es el más grande y el primer mandamiento. Pero el segundo es parecido: Amarás a tu prójimo como a ti mismo. De estos dos mandamientos depende toda la Ley de los profetas”[9]. En efecto, todo procede de una única alma y el que la posee no necesita libros porque él mismo es el mandamiento. Llegado a este estado, el hombre está totalmente liberado. Se comprende porque este don es dado tan raramente; se necesita de alguien que esté en completo acuerdo con el Universo, a fin de no molestar la economía del mundo. El Zohar nos enseña también que: “Los sabios servidores del Rey de lo Alto estaban de pie sobre la montaña del Sinaí, y consideraban solo el alma, que es la raíz de todo, la Torá real. Y en el mundo por venir serán invitados a considerar el alma del alma de la Torá” En el Mensaje Reencontrado encontramos lo siguiente: “La sabiduría y la santidad en Dios no depende ni de las opiniones mundanas, ni de las obediencias generales ni particulares, ni de los ritos figurativos, ni de las situaciones sociales, ni de los patriotismos, ni del número de mujeres o de hijos, ni de la cantidad de bienes, sino más bien del conocimiento de la causa primera y del efecto último” (MR 17, 16) En la manifestación de Dios, la causa primera es la natividad, y el efecto último es la resurrección, pero hay alguna cosa antes y después de esto. Leemos en el libro del profeta Isaías lo siguiente: “El año de la muerte del rey Ozias, vi al Señor sentado sobre un trono alto y elevado, y los pliegues de su vestido llenaban el Templo. Los serafines estaban encima, seis alas, seis alas cada uno, con dos ocultaban su cara, y con dos ocultaban sus pies, y con dos, volaban. En una carta dirigida al Papa Dámaso, san Jerónimo escribió lo siguiente respecto a ello: “Con dos alas ocultaban su cara, y con dos ocultaban sus pies, y con dos volaban. No ocultaban su cara, sino la de Dios. ¿Quién, en efecto, puede conocer su origen? ¿Lo que era en la eternidad antes de que creara el mundo? (…). Y con dos ocultaban sus pies, tampoco los suyos sino los de Dios, ¿quién, en efecto, puede ver su fin? ¿Qué sucederá después de la consumación de los siglos? (…) “Y con dos volaban”: solo conocemos lo que está en medio, que nos está descubierto por la lectura de las Escrituras (…) “[10]. En el Mensaje Reencontrado encontramos también: “El fin es como el principio pero el medio nos ilumina. La Plegaria, la Estrella, la Piedra”. (MR 1, 2). En la traducción aramea[11] de la continuación del versículo de Isaías: “Y se respondían entre sí” está dicho. “Y uno recibía del otro”, indicando que se trata de un maestro y un discípulo que se transmiten uno al otro la santidad del Señor, de donde viene la continuación del versículo: “Y decían: Santo, Santo, Santo”. Existe, pues, dice nuestro texto como conclusión, una Torá sobre la tierra que tiene un vestido, un cuerpo y un alma, y hay una Torá sobre el cielo que tiene un vestido un cuerpo, un alma y el alma del alma. El vestido y el cuerpo de la Torá sobre la tierra son las historias y los mandamientos, y el alma de la Torá es la de estos mandamientos. Los cielos y los astros son los vestidos de la Torá en el cielo, la asamblea de Israel es el cuerpo, el Esplendor de Israel es el alma, y el Santo Anciano es el alma del alma. NOTAS [1] En el 2008, la revista belga Le Miroir d’Isis comenzó a publicar unas lecturas de textos hebreos comentadas por Emmanuel d’Hooghvorst que tuvieron lugar en Bruselas durante el último tercio del siglo XX, y que fueron recogidas, corregidas y ordenadas por Claude Froidebise. En una de las presentaciones a estas notas, él mismo advierte de su carácter personal: “no se trata de lo que verdaderamente dijo o escribió Emmanuel d’Hooghvorst”, sin embargo, y en eso creemos que reside su valor: “…en estas notas imperfectas descubriréis la expresión de la lectura tradicional de las Santas Escrituras, y adivinareis, así lo espero, el entusiasmo con el que participábamos en estas reuniones de lectura…” Por eso, queremos expresar aquí nuestro agradecimiento a Claude Froidebise por un trabajo que permitirá que las siguientes generaciones puedan participar de dicho entusiasmo. (Le Miroir d’Isis, nº 18, 2011; pp. 121-129). [2] N. Valois, Les cinq libres ou La clef du secret des secrets, Retz, Bibliotheca Hermetica, 1975, p. 248. Ver también las páginas 160, 218, etc. [3] Cf. Libro de la Sabiduría 9, 9: “Contigo está la Sabiduría que conoce tus obras, que estaba contigo cuando creaste el Cosmos”. [4] Se trata del tiempo mesiánico. [5] Se trata de un cuento zen de origen chino. Lo encontramos, por ejemplo en el libro de Henri Brunel, Les plus beaux contes zen, Calman-Levy, 2002, p. 136. [6] Citado por Plutarco, Obras morales, libro V. Proclo, Comentario sobre el Timeo de Platón, 30. [7] Hesicasmo viene de la palabra griega hesykia, tranquilidad, calma, reposo. [8] En el tratado Chabat 31a del Talmud de Babilonia, se cuenta una historia de un pagano que prometió convertirse si se le enseñaba toda la Torá durante el tiempo que pudiera sostenerse sobre un pie. Fue rechazado por Chamai, conocido por su severidad, pero Hilel, más clemente, le dio la respuesta que acabamos de mencionar. [9] Mt 22, 36 a 40. Los textos citados por Jesús son Dt 30, 6 y Lv 19, 19. [10] San Jerónimo, Cartas, t. I, Ad Damasum, 7. [11] Del Targum de Jonatán ben Uziel. La entrada El cuerpo y el espíritu de la Torá se publicó primero en Arsgravis - Arte y simbolismo - Universidad de Barcelona. - Artículo*: ArsGravis - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Presentación de un fragmento del ‘Sefer ha-Zohar’, el libro principal de la cábala, dedicado al cuerpo y el espíritu de la Torá, con un comentario al texto de Emmanuel d’Hooghvorst recogido y publicado por Claude Froidebise.

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

EL SECRETO DE ISRAEL

Vimos las semanas anteriores (https://ift.tt/2ttZ5wJ) y (https://wp.me/p2Xmky-Ir) lo que era un Jok, y señalamos que se trata de algo que trasciende toda lógica. La esencia del Jok se encuentra precisamente ahí, en el acto de trascender. Hay algo que si bien no es ningún Jok también trasciende toda lógica y es que un colectivo que representa algo menos del 0,2% de la población mundial haya sido galardonado con casi el 25% de los premios Nobel. ¿Qué nos enseñan la tradición y la guematria a propósito de esto? El que se haya tomado la molestia de leer hasta aquí habrá comprendido que estamos hablando del pueblo judío, del pueblo de Israel. El secreto de Israel se encuentra en el estudio. Es un pueblo que hace miles de años que se consagra al estudio de la Torah. ¿Cómo? Estudiando un texto y volviéndolo a estudiar. Según el tratado talmúdico de Jaguigá (9 b), no basta con estudiar 100 veces un texto para recordarlo, hay que hacerlo 101, o más. El número 101, una cifra altamente simbólica, señala que se ha rebasado el límite de lo humano, de lo material y que, con sólo un pequeño esfuerzo más, se entra en el de lo suprahumano, lo espiritual: se trata de un cambio de paradigma. Los sabios cabalistas, explican que 101 es exactamente la diferencia entre “recordar” y “olvidar”, y para demostrarlo recurren a la guematria de Lishkoaj (לשכוח), “olvidar”, y a la de Litsjor (לזכור), “recordar”. La primera es de 364, y la segunda de 263. La diferencia entre ambas nos arroja exactamente 101. ל = 30 ש = 300 כ = 20 ו = 6 ח = 8 ———— 364 ל = 30 ז = 7 כ = 20 ו = 6 ר = 200 ———– 263 364 – 263 = 101 Aquel que repasa 101 veces lo que ha estudiado “sirve a Dios”, como dice el Talmud: va por el buen camino. Aquel que sólo repasa 100 veces lo que ha estudiado, “no sirve a Dios”, o sea va por el mal camino. Si queremos ir más lejos, observaremos que 364, Lishkoaj (לשכוח), “olvidar” es la guematria de haSatan (השטן), “el Satán”. Es él el que provoca el olvido en el hombre, y no sólo el olvido de las cosas cotidianas, también el olvido metafísico. ה = 5 ש = 300 ט = 9 ן = 50 ———- 364 ¿Qué tiene que ver todo esto con Israel? Muy sencillo. Sabemos que la guematria de Israel es 541: י = 10 ש = 300 ר = 200 א = 1 ל = 30 ———— 541 Las matemáticas nos informan que el centésimo número primo es precisamente el 541. Por eso hay que dar un paso más y llegar al 101. Así se consigue el recuerdo, así se ganan los premios Nobel. Si damos un paso más y buscamos cuál es el siguiente número primo, el 101º, vemos que es el 547. Se trata de la guematria de Daat haJajam (דעת החכם), “el conocimiento del sabio”. ד = 4 ע = 70 ת = 400 ה = 5 ח = 8 כ = 20 ם = 40 ————- 547 JULI PERADEJORDI - Artículo*: Zohar - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
  Vimos las semanas anteriores ( y ( lo que era un Jok, y señalamos que se trata de algo que trasciende toda lógica. La esencia del Jok se encuentra precisamente ahí, en el acto de trascender.…

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Las instituciones europeas vulneran notablemente los derechos humanos - informe de la OMS

A las personas con discapacidad o problemas de salud mental que viven en instituciones se les niega el derecho a disfrutar de los placeres básicos de la vida. Así lo denuncia un nuevo informe publicado por la OMS/Europa, con el título "Salud mental, derechos humanos y estándares de atención" (Mental health, human rights and standars of care), en el que se proporciona una evaluación de la calidad de la atención que se ofrece a los adultos con discapacidades psicosociales e intelectuales en las instituciones de la Región Europea (...) - Artículo*: Default Administrator - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
A las personas con discapacidad o problemas de salud mental que viven en instituciones se les niega el derecho a disfrutar de los placeres básicos de la vida. Así lo denuncia un nuevo informe publicado por la OMS/Europa, con el título

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

jueves, 28 de junio de 2018

La vela de la fe

Bismillah "...Si has dicho: "No hay Dios más que Allah; Muhammad es el mensajero de Allah" y has creído en los cinco artículos de la fe, significa que has encendido la vela de la fe. Pero una vela no se queda encendida afuera; a menos que la pongas dentro de una lámpara, el viento la apagará. Por lo tanto, la vela de la fe, requiere de los cinco pilares del Islam. El primero de estos es: "no hay Dios más que Allah, Muhammad es el Mensajero de Allah", representa la cera ardiente. Los otros cuatro, que son necesarios para proteger la cera ardiente, son: la oración ritual, el ayuno, el zakat y la peregrinación. Pero se requiere más que eso. El vidrio de la linterna se puede romper, de modo que hay que atarle alambre alrededor para protegerlo. El alambre representa el buen carácter moral, llevar a cabo las oraciones, mantener el ayuno, dar limosnas o hacer la peregrinación, no tiene ningún mérito. Si no hay ningún alambre alrededor de la linterna, el vidrio se romperá y cuando el vidrio se rompa la vela se apagará, en otras palabras, la fe habrá desaparecido"... -Fragmento del Irshad, Sheik Muzafer Ozak Al Yerrahi (ra) - Artículo*: Sabiduria Sufi - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Bismillah "...Si has dicho: "No hay Dios más que Allah; Muhammad es el mensajero de Allah" y has creído en los cinco artículos de la f...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

APROXIMACIÓN AL SUFISMO (El viaje del Uno al Uno), por Manuel Plana

A menudo las tradiciones espirituales se comparan a sí mismas a una rueda, que a su vez es uno de los símbolos más universales de la manifestación cósmica... - Artículo*: Revista Mundo Tradicional - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
A menudo las tradiciones espirituales se comparan a sí mismas a una rueda, que a su vez es uno de los símbolos más universales de...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

web.teaediciones.com

- Artículo*: - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Hemos querido optimizar la inestimable presencia de dos de los co-adaptadores del Inventario de Evaluación de la Personalidad para Adolescentes, PAI-A en el webinar del 18 de julio con una breve e interesante entrevista en la que nos dan a conocer un poco más sobre la obra de la que son co-adaptad...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

Dalai Lama-Estudiar es Importante

Sin saber el significado del texto de la escritura, sino su sola recitación no es muy útil, no es muy efectivo solo recitándolo Usted puede tener algún tipo de merito pero eso no es suficiente Por eso, en lo que concierne al Budismo especialmente de acuerdo a la tradición Tibetana nosotros consideramos que el estudio es muy importante muy esencial, muy necesario - Artículo*: samsaraexit - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
Sin saber el significado del texto de la escritura, sino su sola recitación no es muy útil, no es muy efectivo solo recitándolo Usted puede tener algún tipo ...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

La contradiction est le cœur de la vie, le cœur du Tantra

La contradiction est une sorte de guerre. Celles que l'on porte en soi, ce sont donc des guerres internes. Elles peuvent être épuisantes, il est donc naturel que l'on cherche une issue. La maladie est une guerre organique. La guérison est une issue à cette guerre. Or, il y a deux manières de traiter les contradictions : 1 - La manière "ou bien... ou bien...". L'une des deux visions l'emporte sur l'autre. L'une est vraie, l'autre fausse. Ou alors, si l'on transpose dans le domaine affectif, l'une est bonne, désirable ; l'autre est mauvaise, à exclure. C'est une méthode simple et claire, en forme d'arbre. A chaque contradiction, on bifurque. 2 - La manière "à la fois...et...". L'une des deux vision est à la fois intégrée et dépassée par l'autre, ou bien par une troisième vision. Ca n'est pas la recherche d'un milieu médiocre, mais l'aspiration à une médiation meilleure, au sens noble du terme, aristocratique. Le platonisme a d'abord développé la première méthode, où la dialectique (art de dialoguer pour remonter du conditionné vers l'inconditionné) évolue comme une sève intelligente dans un arbre des possibles. Mais avec Proclus, un maître platonicien du IVe siècle, la dialectique s'oriente vers la seconde méthode : elle n'est plus binaire, mais ternaire. C'est ainsi que Proclus est le véritable inventeur, si l'on peut dire, du concept de Trinité. Il montre que la vie n'est pas juste une série de dilemmes, mais plutôt une montée en spirale dans laquelle les alternatives sont à la fois supprimées et conservées au sein d'une vision toujours plus vaste et plus inclusive. Au XIXe siècle, un théologien chrétien nommé Hegel va reprendre ces idées et tenter de bâtir un système totalement inclusif, une "philosophie intégrale". Il voit la dialectique inclusive à l'oeuvre en toute chose, comme une trace de la divine Trinité, pas seulement au plan de la pensée abstraite. Par exemple, la graine est supprimée mais aussi conservée dans la fleur, elle-même transcendée mais intégrée dans le fruit, et ainsi de suite, jusque dans l'Absolu, qui est la totalité ultime qui inclut tout : elle supprime tout, mais en incluant tout, un peu comme une sorte de digestion, ou comme dans les processus organiques. La pensée vraie comporte donc trois moments : thèse, antithèse, synthèse. C'est lui l'inspirateur de la fameuse méthode dialectique, terreur des apprentis-philosophes. Mais au-delà des souvenirs de Terminale et des affres du mois de Juin, la méthode dialectique au sens hégélien est très profonde. Elle montre que la contradiction, qui est une sorte de dualité, n'est pas moins riche que l'identité ou la simplicité. La contradiction n'est pas un accident de la vie, mais son cœur même. Prenez, je vous prie, quelques minutes pour lire ce passage incroyablement riche de La Science de la logique (Aubier, II, p. 81), oeuvre maîtresse du penseur prussien : "...c'est un des préjugés fondamentaux de la logique jusqu'alors en vigueur et du représenter habituel, que la contradiction ne serait pas une détermination aussi essentielle et immanente que l'identité" : pensez à ce qui se dit si souvent, aujourd'hui, dans le monde de la spiritualité : on met en avant la simplicité, l'essence, la clarté, l'identité, le Soi, la non-dualité, l'au-delà des concepts, l'immédiat, le "vécu"... et on dévalorise la dualité, la pensée, le concept. C'est ce préjugé...dualiste que Hegel questionne ici. Il poursuit : "pourtant s'il était question d'ordre hiérarchique et que les deux déterminations étaient à maintenir fermement comme des déterminations séparées, la contradiction serait à prendre pour le plus profond et le plus essentiel." Pourquoi donc ? Hegel répond que la contradiction, c'est la vie, c'est le réel en mouvement, concret : "Car, face à elle, l'identité [=la non-dualité, le ressenti pur, l'instant présent] est seulement la détermination de l'immédiat simple, de l'être mort [Soi=identité=simplicité=pauvreté=statique=mort]; tandis que la contradiction est la racine de tout mouvement et de toute vitalité ; c'est seulement dans la mesure où quelque chose a dans soi-même une contradiction qu'il se meut, a une tendance et une activité [...] Quelque chose est donc vivant seulement dans la mesure où il contient dans soi la contradiction et, à vrai dire, est cette force qui consiste à saisir dans soi et à supporter la contradiction." La contradiction n'est donc pas un "accident" de l'être immuable, mais le cœur véritable de l'être. Autrement dit, l'être immuable, l'unité pure si vous voulez, n'est pas l'ultime, mais seulement un moment vers l'ultime, une partie du Tout, une étape dans l'auto-réalisation de l'Absolu, une phase dans la respiration du Mystère. La grande santé, c'est "supporter la contradiction". La grande identité, c'est supporter en soi l'autre. Non au sens bobo de l'accueil inconditionnel de l'Autre idolâtré, mais au sens où la conscience est capacité à "supporter", au sens littéral, le Soi devenu autre, librement. C'est ce pouvoir singulier de la conscience de "supporter d'innombrables formes de différences" (ananta-bheda-sahishnutva, en sanskrit) qui caractérise la conscience, la Shakti. Et là, chers amis, nous sommes en plein Tantra. Non pas le tantra tardif, non le néo Tantra, mais le Tantra du Cachemire (non situé géographiquement, c'est là juste une étiquette conventionnelle), mais bien le Tantra qui est le Tout en train de se tisser, de s'écrire avec chaque instant qui jaillit. C'est le Tantra vraiment fascinant, excitant, enthousiasmant, revigorant. C'est le Tantra qui ne se limite pas à de la danse, au massage, ni au tambour, qui n'est pas une idéologie réactionnaire anti-intellectuelle adaptée aux supermarchés. C'est le Tantra comme chemin de vie vivante, c'est-à-dire intégrateur. Ça n'est pas le Tantra du "féminin sacré" castrateur, nourri de ressentiment contre un Occident "judéo-chrétien" mal compris et inconnu, mais c'est bien le Tantra nourris de connaissance, le Tantra cultivé qui prend son élan aussi dans son recul, qui embrasse dans son regard et, oui, son ressenti, de vastes pans du passé et même de l'avenir, pour les inclure. Car l'erreur, c'est de prendre la partie pour le Tout - l'instant présent, un moment passé idéalisé ou une utopie à venir exclusive, pour l'éternité. Voilà la vie en croissance, en développement ! Elle inclue le ressenti, l'écoute du corps, l'instant présent, le percept, la sensation simple. Mais non pas au prix du penser, du complexe, de l’intellectuel, du rationnel, du progrès, de l'abstrait. Si je rejette l'abstrait, en effet, mon "concret" ne sera qu'une abstraction de plus. Ma réaction ne sera qu'une réaction de plus. Une contradiction de plus. Un symptôme de plus. Une guerre de plus. C'est cela, le "shivaïsme du Cachemire". Et non une guerre contre les concepts au nom du "percept" devant lequel on se prosternerait comme devant une idole-à-tout-faire. C'est cela, la "Tradition" atemporelle, depuis Orphée jusqu'à Wilber, en passant par l'alchimie et la théosophie. C'est ce devenir organique qui transcende en incluant, qui dépasse en donnant lieu. La contradiction s'y présente comme un accident si l'on veut, mais comme un accident essentiel, une divine surprise. C'est aussi la création, la nouveauté, et la liberté. Bref, c'est ce que le grand penseur tantrique Abhinava Goupta nomme le "le Cœur", qui n'est pas mièvrerie néo tantrique, apparence de compassion et réel cynisme immature, mais moteur de la vie, pulsation qui est la vie. Tout ceci pour dire que la dissertation avec plan dialectique est l'exercice intellectuel le plus formateur, le plus puissant jamais inventé. La dissertation est une pratique de Tantra authentique. - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
La contradiction est une sorte de guerre. Celles que l'on porte en soi, ce sont donc des guerres internes. Elles peuvent être épuisant...

- Enlace a artículo -

Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL.

(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)