Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

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Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
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La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

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Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

sábado, 30 de septiembre de 2023

Les symboles (Ananda K. Coomaraswamy)


Les symboles[1] et les signes, qu’ils soient verbaux, musicaux, dramatiques ou plastiques, sont des moyens de communication. Les références des symboles renvoient aux idées et celles des signes aux choses. Un même terme peut être symbole ou signe selon son contexte : la croix par exemple, est un symbole lorsqu’elle représente la structure de l’univers, mais un signe lorsqu’elle représente un carrefour. Les symboles et les signes ne peuvent être ni naturels (vrais, par propriété innée) ni conventionnels (arbitraires et accidentels) traditionnels ou privés. Avec le langage des signes, employé à titre indicatif dans un langage profane et dans un art réaliste et abstrait, nous n’aurons plus à nous en préoccuper dans le cadre actuel. Par « art abstrait » nous incluons un art moderne qui évite volontairement la représentation, par opposition à « l’art principiel », le langage naturellement symbolique de la tradition.

Le langage de l’art traditionnel – écriture, épopée, folklore, rituel et tous les métiers connexes – est symbolique ; et étant une langue de symboles naturels, ni d’invention privée, ni établie par accord conciliaire ou par simple coutume, est une langue universelle. Le symbole est l’incarnation matérielle, dans le son, la forme, la couleur ou le geste selon le cas, de la forme imitable d’une idée à communiquer, laquelle forme imitable est la cause formelle de l’œuvre d’art elle-même. C’est pour l’idée, et non pour lui-même, que le symbole existe : une forme réelle doit être soit symbolique – de sa référence, soit simplement une forme inintelligible pour avoir été aimée ou détestée selon le goût. La plus grande partie de l’esthétique moderne suppose (comme l’impliquent les mots « esthétique » et « empathie ») que l’art consiste ou devrait consister entièrement en de telles formes intelligibles, et que l’appréciation de l’art consiste ou devrait consister en des réactions émotionnelles appropriées.

On suppose en outre que tout ce qui a une valeur permanente dans les œuvres d’art traditionnel est du même type et totalement indépendant de leur iconographie et de leur signification. Nous avons, en effet, le droit de dire que nous choisissons de ne considérer que les surfaces esthétiques des arts anciens, orientaux ou populaires, mais si nous faisons cela, nous ne devons pas en même temps nous tromper nous-mêmes pour supposer que l’histoire de l’art, c’est-à-dire par « histoire » une explication en fonction des quatre causes, peut être connue ou écrite à partir d’un point de vue limité. Pour comprendre la composition, par exemple, c’est-à-dire, l’enchaînement d’une danse ou la disposition des masses dans une cathédrale ou une icône, il faut comprendre la relation « logique » des parties ; tout comme pour comprendre une phrase, il ne suffit pas d’admirer les sons mélodieux, mais il est nécessaire de se familiariser avec la signification des mots séparés et la logique de leurs combinaisons.

Le simple « amateur d’art » ne vaut guère mieux qu’une pie, qui décore son nid avec ce qui lui plaît le plus, et se contente d’une expérience purement « esthétique ». Jusqu’à présent, il faut reconnaître que, bien que dans les œuvres d’art moderne, il n’y ait rien de plus que la personne privée de l’artiste, derrières les surfaces esthétiques, la théorie selon laquelle les œuvres d’art traditionnel ont été produites et appréciées prend pour acquis que l’appel à la beauté ne dépend pas seulement des sens, mais à travers les sens à l’intellect ; ici « La beauté a à voir avec la connaissance » ; et ce que nous avons connu et compris, est « une idée immatérielle » (Hermès Trismégiste), une « image qui n’est pas dans les couleurs » (Laṇkāvatāra Sūtra), « la doctrine qui se cache derrière le voile des vers étranges » (Dante), « l’archétype de l’image, et non l’image elle-même » (Saint Basile de Césarée). « C’est par leurs idées que nous jugeons à quoi devraient ressembler les choses ». (Saint Augustin).

Il est évident que les symboles et les concepts – les œuvres d’art sont des choses « conçues », comme le dit Saint Thomas d’Aquin, per verbum in intellectu – ne peuvent servir à rien pour ceux qui n’ont pas encore, au sens platonicien « oublié ». Ni Zeus ni les étoiles, comme le dit Plotin, ne se souviennent ou même n’apprennent ; « la mémoire est pour ceux qui ont oublié », c’est-à-dire pour nous, dont « la vie est un sommeil et un oubli. » Le besoin de symboles et de rites symboliques ne surgit que lorsque l’homme est expulsé du jardin d’Éden ; comme moyen par lequel un homme peut être rappelé à des étapes ultérieures de sa descente de l’intellectuel et du contemplatif aux niveaux de référence physique et pratique.

Nous avons assurément « oublié » bien plus que ceux qui ont eu le premier besoin de symboles, et nous en tirons plus qu’il n’en faut pour inférer l’immortel par ses analogies mortelles ; et rien ne pouvait en être une meilleure preuve que nos propres prétentions à être supérieures à toutes les opérations rituelles et à pouvoir approcher la vérité directement. Il s’agissait de panneaux de signalisation de la Voie, qui étaient employés à l’origine,  comme une trace de la Lumière Cachée, poursuivie par des chasseurs d’une carrière supra-sensorielle, alors que les thèmes de l’art traditionnel sont devenus nos « ornements ». Dans ces formes abstraites, plus on les retrace dans le passé, on les trouve encore existantes dans les « superstitions » populaires, les rites agricoles et les motifs de l’art populaire, plus on y reconnaît un équilibre polaire de formes perceptibles et d’informations imperceptibles ; mais comme le dit Andrae (dans Die ionische Säule, Schlusswort), elles sont de plus en plus vides de contenu le long du chemin qui vient vers nous, de plus en plus dénaturées avec les progrès de la « civilisation », pour devenir ce que nous appelons des « formes d’art », comme s’il s’agissait d’un besoin esthétique, comme celui de notre pie, qui les avait fait naître. Lorsque la signification et le but ont été oubliés ou ne sont rappelés que par les initiés seuls, le symbole ne conserve qu’une valeur décorative que nous associons à l’ « art ».

Plus que cela, nous nions que la forme de l’art n’ait jamais eu d’autre qualité que décorative ; et depuis longtemps, nous commençons à tenir pour acquis que la forme de l’art doit avoir pour origine une « observation de la nature », afin de la critiquer en conséquence (« C’était avant qu’ils ne sachent quoi que ce soit sur l’anatomie », ou « avant qu’ils ne comprennent la perspective ») en termes de progrès, et pour combler ses lacunes, comme l’ont fait les Grecs hellénistiques avec la palmette de lotus quand ils en ont fait une élégante feuille d’Acanthe, ou la Renaissance quand elle a  imposé un idéal de « vérité à la nature » à un ancien art de la typologie formelle. Nous interprétons le mythe et l’épopée à partir du même point de vue, ne voyant dans les miracles et le Deus ex machina qu’une tentative plus ou moins maladroite de la part du poète d’améliorer la présentation des faits ; nous demandons « l’histoire », et nous nous efforçons d’exiger un noyau historique par le processus apparemment simple et vraiment naïf d’élimination de toutes les merveilles, sans jamais nous rendre compte que le mythe est un tout, dont les merveilles sont autant une partie intégrante que les faits supposés ; oubliant que toutes ces merveilles ont une signification totalement indépendante de leur possibilité ou impossibilité en tant qu’événements historiques.

(Traduction Max Dardevet)

[1] Un dérivé de sumballo (grec) en particulier dans les sens de « corréler », « traiter les choses différemment comme si elles étaient similaires », et (passif) « correspondre », ou « compter ».

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Le symbolisme du Temple chrétien


Une des causes de la décadence religieuse de notre époque surtout en Occident, c’est que les représentants religieux s’appliquent à définir et à expliquer la religion en langue inappropriées à sa nature. Son langage véritable est le symbolisme. Seule la connaissance des symboles peut en ouvrir le contenu réel et authentique. Par contre, les définitions philosophiques, rationnelles, les formulations juridiques, les dissertations morales, les conceptions sociales et les analyses scientifiques, semblables à des profanes, demeurent en dehors de ses portes sacrées, la dévalorisant même devant la conscience de l’homme.

Considérant ici comme acquise la valeur du symbole je me permettrai, néanmoins, afin d’éviter tout malentendu, de rappeler quelques idées bases.

La science, disons officielle, ainsi que la philosophie rationnelle, étudient le monde suivant une méthode analytique, tournée vers une certaine synthèse. La science sacrée, ou plutôt l’art symbolique, procède par méthode analogique pour atteindre la connaissance de l’unité parfaite. Cette dernière méthode est fondée sur l’analogie, la réciprocité, la corrélation symbolique des phénomènes de l’univers. Nous constatons, si l’on peut dire, une analogie horizontale et une analogie verticale.

L’analogie horizontale relie, par exemple, les couleurs et les sons, les nombres et les lettres, nous donnant la possibilité de dire la couleur des sons, la sonorité des couleurs ou de restituer à chaque lettre un nombre correspondant et une forme géométrique à une phrase ou à une parole. Ces manifestations si diverses : couleurs, sons, lettres, nombres, sans aucun rapport apparent entre eux, fraternisent par analogie, et dissimulent dans leur couche profonde l’unité.

L’analogie verticale nous enseigne que l’existence du monde inférieur est à l’image du supérieur. Le visible reflète l’invisible, le sensible et le grossier ne sont que parce qu’ils expriment le spirituel et le subtil. Donc, la nature matérielle apparaît comme un signe des réalités psychiques qui, à leur tour, sont des symboles de la vie spirituelle et cette dernière ne subsiste que par sa ressemblance avec le divin. La méthode analogique, traversant les couches hiérarchiques des symboles, nous conduit à la connaissance de Celui dont l’Apôtre Paul dira : « Tout est de Lui, tout est par Lui, tout est en Lui ».

L’art symbolique ou, si l’on veut, l’initiation symbolique (car elle s’acquiert difficilement, exige un long labeur, plus long peut-être que l’apprentissage de l’humanité dans la science rationnelle et là réside le danger des bricoleurs symbolistes), extrait l’unité intérieure et profonde de la multiplicité des phénomènes, des harmonies insoupçonnées du cosmos, harmonies par lesquelles nous approchons la pensée divine. Et le Métropolite Philarète de Moscou, voyant l’univers comme une bible-Icône, pourra écrire : « Lire les paroles muettes de Dieu inscrites dans la nature ». L’art symbolique a aussi pour but l’organisation des éléments et la transfiguration du monde. La théologie orthodoxe nous apprend que le symbole est le signe extérieur et visible de la réalité intérieure et invisible, l’image de la Proto-Image, et que lorsque nous contemplons l’image nous entrons en contact avec la Proto-Image. Mais la même théologie enseigne que les symboles, les signes, les images sont simultanément des véhicules de forces supérieures, des temples de l’esprit, le visible contenant l’invisible. Donc le symbole exprime et contient ; cette double puissance nous initie à la vraie gnose et transforme notre nature. Ainsi, le feu symbolise et recèle l’amour, de même, le serpent symbolise la sagesse et en est le porteur ; certes, le feu n’aime pas et le serpent de lui-même ne peut rayonner la sagesse divine, mais l’amour et la sagesse habitent en eux comme en des temples, et cette réalité poussée à l’extrême a pu produire la déviation du totémisme et de l’idolâtrie.

Les symboles du plan inférieur sont équivoques, à double-sens : le feu représente l’amour et la haine, le serpent suggère indifféremment le Christ et le Diable, mais en leur couche profondément supérieure, l’opposition est dépassée. Le mal n’est qu’existant et non ontologique.

Ces quelques rappels du symbolisme en soi, nous permettent de parler du symbolisme du temple chrétien. Nous ne pourrons ici qu’esquisser le problème. Le sujet est si large et si peu connu qu’il nous faudra ne considérer que l’essentiel, l’urgent, car nous constatons avec tristesse que la majorité des églises construites actuellement, bien que se réclamant de la renaissance de l’art sacré, ne tiennent nullement compte des lois-bases, des a.b.c. du symbolisme du temple chrétien selon la tradition royale. Trois axiomes et quelques exemples formeront le contenu de cet exposé.

Le premier axiome est !a triade inséparable ; temple-homme-cosmos.

La tradition primordiale et universelle nous indique la corrélation jusqu’à identification, du cosmos, de l’homme et du temple. Ces trois réalités ne sont que les visages d’une seule idée. Si le cosmos et le corps humain sont des temples divins, le cosmos et le temple sont construits à l’image du corps humain. Le temple est un cosmos symbolique et le corps humain un microcosme.

Toutes les traditions antiques ne comprirent pas cette inséparabilité des trois. La Grèce connaît l’intime relation du cosmos et de l’homme, c’est elle qui nous fournit les termes de macro et microcosme. Mais les temples grecs ne laissent pas apercevoir clairement le rapport du temple avec le cosmos et l’homme. C’est l’Égypte, peut-être, qui fut la plus proche de la synthèse des trois.

La tradition hébraïque complète la vision grecque et saint Paul la place au centre de son enseignement. En effet, le peuple d’Israël et l’apôtre ne parlent pas de microcosme et de macrocosme, ni de la corrélation subordonnée de l’homme avec l’univers organisé mais ils renversent les valeurs : c’est le cosmos qui est à l’image du corps humain, Adam étant le prototype du monde et le corps glorieux du Christ la forme parfaite, le canon de beauté de la nature transfigurée. On pourrait définir cette doctrine par les termes : micro-anthropos (l’homme individu) et macro-anthropos (la totalité de la création). De plus, les prophètes, Ezéchiel par exemple, nous communiquent que le monde est à l’image du temple céleste. Ce n’est plus le temple qui reflète le cosmos mais la création, conçue à l’image du temple de Dieu. Ainsi, devons-nous regarder le cosmos comme un anthropos et un temple divin, et le corps humain comme un microcosme et le temple de l’esprit. Le temple lui-même, enfin, doit contenir symboliquement le corps parfait de l’homme et le rythme cosmique. Si les églises se vident, si elles ne répondent plus aux exigences du moment, c’est parce que, d’une part, l’homme moderne ne sait plus discerner avec toute la puissance symbolique le temple dans le cosmos et dans l’homme et, d’autre part, l’homme et le cosmos dans le sanctuaire.

Etant donné cet axiome primordial et universel, le temple chrétien : épanouissement, couronnement et récapitulation des traditions antiques (la grâce ne s’oppose pas à la nature, elle la couronne ; le Christ est venu accomplir et non abolir les lois) doit dans son architecture, sa décoration et son ameublement exprimer les trois parties de cette triade dans leur égalité.

Le deuxième axiome est le double caractère divine-humain du temple.

La caractéristique du temple chrétien, c’est qu’il répond à deux exigences : loger Dieu et donner les cadres nécessaires à l’assemblée des fidèles. Cette double condition réalise le double commandement, l’amour de Dieu et l’amour du prochain. Dans les différentes langues, le temple chrétien est défini par deux groupes de termes : le premier indiquant qu’il est la maison de Dieu et le second qu’il est la salle de rassemblement des fidèles autour du Christ. « Tserkov, kirche, church », du mot grec : kirikia (maison du Seigneur) et basilique, « bisserica » (palais royal), appartiennent à la première catégorie. Ecclésia, église (assemblée, réunion), « sobor » (concile), appartiennent à la deuxième. Notons que les mêmes mots sont employés aussi bien pour désigner le lieu de culte que l’église-société. Ces deux séries de termes, chacune incomplète en soi, témoignent que du point de vue de la tradition catholique universelle, le temple chrétien est simultanément le palais de l’Invisible et le lieu de réunion des croyants.

Dans l’Ancien Testament, il n’en était pas ainsi. Le tabernacle de Moïse, les temples de Salomon et de la vision d’Ezéchiel étaient exclusivement réservés à la manifestation de la Gloire divine et au repos de son Nom. Les assemblées solennelles d’Israël se tenaient généralement à la porte de Jérusalem. Les repas de Pâques ne se prenaient pas à l’ Église, comme l’eucharistie, mais dans des réunions familiales ou des lieux choisis et appropriés. De même pour les temples païens, construits en vue de loger les idoles des divinités auxquelles le peuple rendait visite et apportait des offrandes. L’ Église de la Nouvelle Alliance souda en un seul bloc les deux principes, mélangeant, suivant l’expression de saint Cyprien : « Le vin divin avec l’eau de l’humanité ». Cette forme chrétienne de la construction du temple pose une série de nouvelles exigences. L’antique symbolisme n’est pas supprimé, il s’enrichit. L’équilibre entre les deux destinations, divine et humaine, devient la préoccupation fondamentale du bâtisseur. De même que le premier commandement précède le deuxième, l’idée de la Maison-Dieu doit venir avant celle de la Maison- Église. La Maison- Église n’est plus l’endroit où les fidèles vont en pèlerins, visiteurs ou orants mais leur maison propre. Deux hérésies sont alors à éviter : négliger le côté ecclésial en se contentant de bâtir le tabernacle de la Présence divine, ou ne se préoccuper que de la salle de réunion des fidèles. Cette dernière tendance est apparue chez les protestants et parmi les constructeurs des églises modernes du monde catholique romain. Subjugués par les problèmes sociaux, l’église-société, l’église et les masses, ils ont cherché à concevoir l’architecture et le décor dépouillés non tant pour accueillir l’Invisible que pour grouper les croyants autour de la table de communion ou de la parole du prédicateur. « La participation des laïcs au Sacrifice », ce mot d’ordre légitime s’accomplit au détriment de la participation redoutable de la puissance divine au Sacrifice, de sa Présence palpable parmi nous. Et ils sont entraînés non pas à sacraliser le social mais à affaiblir le sens du Sacré en le socialisant. La Présence divine ne se répand plus dans la totalité du temple ; elle n’envahit plus son architecture, ses lignes, ses formes, ses couleurs, ses parfums et ses lumières, comme dans la vraie maison du Seigneur : elle est délicatement limitée à l’hostie consacrée ou à la parole de l’évangile. La Présence divine préside démocratiquement sans nous foudroyer, elle devient le « point d’attraction » de la réunion.

Ce deuxième axiome, le temple lieu de Dieu et lieu de réunion, appelle des précisions. Lorsque nous annonçons la Présence de Dieu en son temple, il nous faut écarter une nouvelle hérésie : loger le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs en oubliant sa cour céleste, Dieu, en effet, se repose avec ses saints et ses myriades de phalanges incorporelles. Le temple doit s’offrir à la plénitude spirituelle, à la « pliroma » céleste symboliquement représentée. Même le tabernacle dépouillé de Moïse était gardé par les chérubins aux six ailes.

Semblablement, l’ecclésia ne peut se limiter qu’à la seule réunion des fidèles, représentant l’humanité. Le monde visible et invisible, la nature, les quatre éléments, le ciel et la terre, tout est invité à s’y rencontrer, d’où cette nécessité de peindre des icônes, des fresques, des saints, des anges, de décorer l’église avec des fleurs, des animaux, d’employer pour le rite l’eau, le feu, la terre, l’air, d’imager le soleil et la lune, d’indiquer la présence des vivants et des morts. C’est aussi indispensable que les sièges et les prie-Dieu confortables, la visibilité des cérémonies ou une bonne acoustique. Cette réunion plénière, cosmique et humaine doit être coordonnée hiérarchiquement, suivant les prescriptions traditionnelles et canoniques, et non un mélange fait à l’aventure. Sur ce point, il règne une grande confusion dans les esprits modernes ; ayant perdu la vision symbolique du monde, leur art sacré est victime du rationalisme, de l’esthétisme, de l’utilitarisme etc.

Le troisième axiome est que le temple chrétien est « le ciel sur la terre », « l’anticipation du monde transfiguré ».

Nous avons vu que l’église se construit à l’image de l’homme et du cosmos en les symbolisant, qu’elle est le lieu de rencontre de Dieu avec sa création et, enfin, qu’elle est aussi la salle de rassemblement des fidèles. Il nous reste maintenant à développer le troisième axiome.

L’ Église, déclarent les Pères, est « le Ciel sur la Terre », la matière spiritualisée, l’anticipation du monde transfiguré, la pré-existence des « cieux nouveaux et de la terre nouvelle ». De ce principe découlera son art tout à fait original, distinct des autres, l’art qui spiritualise, sublime, transforme l’homme et la nature. Le temple, ainsi que le rite sacré se déroulant en son enceinte, sont la déification de la créature qui « gémit dans l’attente de la liberté glorieuse des enfants de Dieu ». Le temple n’est pas un élan du monde déchu vers un Dieu lointain. C’est l’endroit même où Dieu, le ciel, les hauteurs sont descendus sur notre terre de douleur pour la mettre en liesse et lui donner la vie débordante et divine. Le sacrement de la Dédicace, selon le rite romain, exprime cette pensée avec une exactitude orthodoxe. Par contre, les quatorze stations du Chemin de croix sur les murs de l’église, héritage de la période baroque, et qui a presque expulsé les douze croix, symboles des douze portes de la Jérusalem céleste, les douze signes du zodiaque sanctifiés par les douze apôtres, les douze pierres précieuses de l’Apocalypse du monde rénové, sont totalement étrangères à la tradition. La place des quatorze stations est sur le chemin conduisant au temple, comme nous le voyons encore dans certaines campagnes. Le portail du temple franchi, nous entrons dans la Résurrection.

Ayant posé ces trois axiomes, je me permettrai de donner quelques exemples pratiques de leur application.

Les lignes et les formes géométriques, ainsi que les rapports, que ce soit suivant le nombre d’or ou d’autres nombres de symétrie (le mot symétrie pris ici dans le sens traditionnel), jouent le premier rôle dans le symbolisme de la construction du temple. Elles expriment les plans et les prédestinations divines. La présence de Dieu pénétrant toute créature sera figurée par un demi-cercle reposant sur un carré, ou une coupole posée sur un cube ; ceci est la forme type du temple de laquelle sortiront des variations multiples. Le demi-cercle soudé au carré et la demie-sphère posée sur un cube, achèvent mentalement à l’intérieur du carré ou du cube la sphère ou le cercle complets. Ils sont le ciel descendu sur terre, la Présence réelle et invisible de la Divinité dans la création.

Les rapports entre les courbes et les lignes droites, leur balancement équitable, nous introduisent au sein d’une théologie géométrique agissant sur notre nature. Prenons deux exemples :

A) Les coupoles elliptiques, allongées, placées les unes sur les autres en forme pyramidale, des temples hindous, marquent l’élévation et le progrès de l’esprit vers le divin mais leur expression linéaire ignore la puissance de l’Incarnation divine, la pénétration de la matière par sa vertu. Les lignes droites de base des temples hindous ne servent que de point de départ à l’élévation spirituelle

B) Les lignes gothiques élancées vers le ciel, renferment une prière montant en flèche, un élan ascétique de la cité chrétienne vers le trône du Très-Haut ; elles s’éloignent de la vision des cieux descendus sur terre, de la déification de la matière.

Au contraire, l’art roman par ses rapports de lignes et de formes, préserve plus fidèlement la Présence divine parmi nous.

Nous avons constaté que le temple est à l’image de l’homme ; cet axiome assied le plan de l’église sur trois parties : le Saint des Saints ou abside — la tête, la nef et le centre de l’église — le cœur et la poitrine, le narthex et le fond de l’église — le ventre et les pieds. Les églises en forme de croix couchée, soulignent par leurs deux branches les mains de l’homme. Les rites sacrés se déroulent donc sur le corps symbolique de l’homme. La purification, le baptême, la confession s’effectuent dans la partie inférieure ; les bénitiers sont les vestiges des fontaines de purification qui étaient souvent élevées dans la cour précédant l’église et que l’on retrouve encore en Orient et à Rome. Le mystère de la parole et de l’eucharistie se déploie dans les deux autres parties, son rythme est la circulation liturgique entre le Saint des Saints ou l’intelligence, et la nef ou le cœur. Il est nécessaire que le célébrant quitte parfois le sanctuaire pour circuler parmi les fidèles. Une messe entièrement célébrée derrière le « banc de communion », amène la séparation du cœur et de l’intelligence. Car si « l’offrande raisonnable » est présentée dans le sanctuaire-tête, la semence transformante de la parole sacrée est jetée dans la nef-cœur et poitrine, au milieu de l’assistance.

Le temple, symbole du corps humain, a une particularité : ce n’est pas l’architecture qui l’exprime mais son plan. L’église est bâtie sur l’homme couché, le corps de l’homme est donc le fondement de la bâtisse. Ce plan dégage deux mystères qui n’en forment qu’un.

Le corps humain couché, c’est le corps du plus beau des fils de l’homme, le corps parfait du Christ, la base de l’Église, mais ce corps humain étendu a aussi un sens eschatologique. C’est dans l’humanité rachetée et par elle que se préparent la transfiguration des cieux et de la terre, la résurrection universelle. Le corps couché du plan de l’église est celui d’un mort (la liturgie est célébrée sur les reliques des martyrs) qui doit se redresser au Jour du Seigneur, d’où le célèbre symbolisme du renouveau de l’univers, la vision de la ligne horizontale qui se dresse verticalement et met en mouvement tout le statique de l’Univers. Les montagnes bondiront comme les béliers, les arbres exécuteront leur danse en frappant des mains, tandis que l’agitation psychique d’une âme troublée trouvera la sérénité et la paix d’une pierre précieuse, la paix laissée par le Christ aux apôtres. Le mystère de la conversion, du renversement du monde, le dernier qui devient le premier et le premier le dernier, le haut qui descend et le bas qui monte, le visible qui rejoint l’invisible et l’invisible qui apparaît, la matière qui se spiritualise, l’esprit qui devient palpable, toutes ces conversions sont inscrites dans le plan de l’église.

La cadence des services divins de l’année liturgique ayant au centre le Christ, est intimement liée à la destinée de l’humanité mais aussi au rythme cosmique et céleste. Le style des icônes et des objets sacrés ne peut, par conséquent, être spiritualiste, réaliste, rationnel ou esthétique mais conforme à l’art iconographique traditionnel.

N’oublions pas que le temple construit sans tenir compte des principes de la tradition royale, en déformant le sens symbolique du moindre détail décompose l’âme au lieu de l’édifier. L’ignorance de l’art symbolique sacré est un sacrilège et ses conséquences désastreuses, incalculablement.

Je remercie le Congrès du Symbolisme de m’avoir permis de faire cet exposé. Je souhaite que sa bienveillance soit le début de la renaissance de l’initiation symbolique. Mais le travail est rude et le gâchis plus grand qu’on ne l’imagine.

JEAN, Évêque de Saint-Denis.

* P.O N°8 : 4° trimestre 1969 ; p.51-57

*Le symbolisme du temple chrétien. Par monsieur l’Archiprêtre Eugraph Kovalevsky.

Archiprêtre orthodoxe

Source : https://eglise-catholique-orthodoxe-de-france.fr/saintloup/2020/01/06/le-symbolisme-du-temple-chretien/

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👨‍🏫 Rafa Millán (Madrid, 1976), es psicólogo (licenciado por la Universidad Autónoma de Madrid), filósofo (máster en la Universidad Complutense de Madrid), escritor (Cómo ser Sufí y morir en el intento, ed. Guante Blanco; Sobre las enfermedades mentales, ed. Manuscritos; Diario de un cocainómano, ed. Temas de Hoy), y colaborador habitual en prensa y medios desde 2001. Psicólogo sanitario (con su propia consulta desde 2008). Practicante del sufismo desde 2007. Dirige talleres de psicología y encuentros y meditaciones sufíes. Ha sido ilusionista profesional. Creador del canal de YouTube “Psicología y Espiritualidad” junto a su mujer, la escritora Mardía Herrero. Es padre de 5 hijos.

👩‍🏫 Marta Herrero Gil, Mardía (Madrid, 1981), escritora y profesora, es Doctora en Literatura, Máster en Ciencias de las Religiones, Licenciada en Historia (Premio Extraordinario Fin de Carrera) y en Filología. Ha publicado 39 semanas y media. Un embarazo sufí (Mandala, 2016), y El paraíso de los escritores ebrios (Amargord, 2007), es articulista en la revista del Instituto Cervantes Rinconete, donde ha publicado más de 60 artículos, de los cuales 13 versan sobre la vida y la obra de Santa Teresa; y colabora en otros medios académicos y divulgativos. Participa en charlas y encuentros para hablar de sufismo, mística cristiana (en especial sobre santa Teresa), teorías del imaginario y maternidad sagrada. Ha dado clases de Literatura en la Universidad Complutense.

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CÓMO SER SUFÍ Y MORIR EN EL INTENTO: https://youtu.be/GwNjZhe8eFI

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Víkingur Ólafsson - J.S. Bach: Goldberg Variations, BWV 988: Aria


Listen to and order Víkingur Ólafsson`s new album ‘Goldberg Variations’ here: https://dg.lnk.to/vikingur-goldberg

Celebrated for his visionary interpretations of J.S. Bach, Víkingur Ólafsson, one of the greatest pianists and musical minds of today, now embraces Bach’s monumental Goldberg Variations. Ólafsson devotes his entire next season to touring the work globally across six continents, while October 2023 marks the anticipated album release on Deutsche Grammophon. “I have dreamed of recording this work for 25 years,” says the Icelandic pianist.

The album follows Ólafsson’s hugely successful DG recording of works by the composer, Johann Sebastian Bach (2018), which won BBC Music magazine’s Album of the Year, Opus Klassik’s Solo Recital award, numerous other recording of the year accolades and led to him being named Gramophone magazine’s Artist of the Year. Now Ólafsson brings his unique musical vision, and an affecting, meticulous recorded sound to Bach’s masterpiece. It marks the first time Ólafsson records a complete work and he begins with one of the most demanding in the piano repertoire.

Ólafsson dedicates his 2023-24 season to a Goldberg Variations world tour, performing the work across six continents throughout the year. He brings Bach’s masterpiece to major concert halls including London’s Southbank Centre, New York’s Carnegie Hall, Wiener Konzerthaus, Philharmonie de Paris, Tokyo’s Suntory Hall, Philharmonie Berlin, Harpa Concert Hall, Sydney Opera House, LA’s Walt Disney Hall, Sala São Paulo, Shanghai Symphony Hall, Tonhalle Zurich, KKL Luzern, Alte Oper Frankfurt, Mupa Budapest and Teatro Colón, to name a few.

“The Goldberg Variations contain some of the most virtuosic keyboard music ever written, some of the most astonishingly brilliant uses of counterpoint in the repertoire and countless instances of exalted poetry, abstract contemplation and deep pathos – all within immaculately shaped structures of formal perfection. In 30 variations, built on the humble harmonic framework of a simple, graceful aria, Bach turns limited material into boundless variety like no one before or since. He is the greatest keyboard virtuoso of his time.” comments Víkingur Ólafsson.

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José María Marco y Nuria Richart entrevistan a Paloma Hernández. FORJA 223


«Fortunata y Jacinta» es un programa de análisis filosófico que aborda algunas de las problemáticas históricas que dan forma a nuestro presente en marcha: España como sociedad política en crisis, ¿cómo, por qué y en beneficio de qué o de quiénes?

Escribe, dirige, edita, produce y presenta Paloma Hernández (Fortunata y Jacinta) quien trabaja desde las coordenadas del Materialismo Filosófico, sistema iniciado por Gustavo Bueno y continuado por los investigadores de la Escuela de Filosofía de Oviedo desde mediada la década de 1970.

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viernes, 29 de septiembre de 2023

“L’Angelo dell’Abisso”: aperte le prevendite della nuova edizione


Aperte da oggi le prevendite della seconda edizione de L’Angelo dell’Abisso. Apollo, il Mito Polare e l’Apocalisse. Spedizioni da novembre.

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A B S T R A C T

Quale ruolo storico, quale visione del mondo e concezione del cosmo ebbero coloro che gli auctores classici definirono «iatromanti», sciamani ed estatici adepti del dio iperboreo Apollo, maestro della coincidentia oppositorum e ispiratore della «follia divina» e dell’arte della mantica? Perché nell’imponente affresco della Cappella Sistina raffigurante il Giudizio Universale Michelangelo dipinse, nel volto del Cristo-Giudice, i lineamenti dell’antico dio ellenico della Luce e della Profezia che San Giovanni Evangelista nel Libro dell’Apocalisse definì l’«Angelo dell’Abisso»? E infine cosa c’entra la Fine dei Tempi con la IV Egloga di Virgilio, gli «Oracoli Sibillini», la «Linea Sacra di San Michele» e le innumerevoli leggende sulle «Isole Beate» poste agli estremi confini settentrionali e occidentali del mondo, come l’Iperborea apollinea, l’Ogigia dove il dio Saturno aspetta in uno stato di vita-nella-morte il ritorno dell’Età dell’Oro di cui è sovrano, le Esperidi e l’invisibile Avalon, l’«Isola delle Mele» dove si sono occultati i Tuatha dé Danann, la stirpe divina e «splendente» di cui parla la tradizione celtica?


M A R C O    M A C U L O T T I

Nato a Cremona il 14 luglio 1988. Fondatore e direttore editoriale di Axis Mundi, rivista di storia delle religioni, antropologia del sacro, studî tradizionali, folklore, esoterismo e letteratura del fantastico e della omonima casa editrice Axis Mundi Edizioni. Nel 2021 Mimesis ha pubblicato il suo primo saggio lungo Carcosa svelata. Appunti per una lettura esoterica di True Detective. Nel 2022 dà alle stampe la prima edizione de L’Angelo dell’Abisso, vincitore del Premio Grancelli 2023 a Verona come migliore opera saggistica originale nell’ambito degli studi religiosi. Nel 2023 ha curato e redatto insieme ad altri autori Miti nordici. Dèi e tradizioni dell’Europa settentrionale, uscito per Diarkos Editrice.

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Simbolismo Cosmológico – Cuadrados Magicos


Sin duda en el mundo de las ciencias ocultas y el esoterismo hay algo que aparece, incluso para algunos de sus estudiosos modernos, bañado de grandes incógnitas, me refiero a los cuadrados mágicos.

Si bien estos presentan relaciones numéricas que no dejan indiferente a los matemáticos, incluso la elegancia de operaciones que se pueden realizar con ellos incluso maravilla. Pero ¿Cuál es la función de dichos cuadrados? ¿ son solo objetos de las más bajas supersticiones? ¿ a qué lógica obedece la elaboración de los mismos?

Hablar de cuadrados mágicos, es hablar de magia talismánica, siendo la magia no más que la apropiación por el hombre de ciertas fuerzas o energías misteriosas, bajo ciertas técnicas,  a fin de ponerla a sus servicios, mientras que un talismán sería un “artefacto” que permite vivificar en el hombre ciertas fuerzas o energías misteriosas y conducirlas para que tengan un impacto inmediato en el mundo de la contingencia, haciendo de este instrumento un medio para la acción de fuerzas del mundo intermedio en el universo espacio temporal de forma vertical. Es así que por lo general los cuadrados mágicos estaban asociados a aquello que los antiguos llamaban dioses, que luego degeneraron a genios planetarios y que hoy día son no mas que fuerzas del seol.

Por tanto, los cuadrados mágicos, como talismanes, eran imágenes con contenido simbólico asociado a dioses que muchas veces además se sumaban a otros sellos mágicos. Generalmente los cuadrados mágicos al estar asociado a los genios planetarios, siendo los planetas considerados como carros de cada uno de estos genios

 Los curiosos resultados producidos por la combinación de números en estos cuadrados atraen naturalmente a la mente, incluso a primera vista. Estos cuadrados presentando una analogía con la armonía y simetría que descubrieron, o buscaron descubrir los antiguos filósofos, en toda la creación. La admiración por estas maravillas numéricas era probablemente genuina entre los filósofos, quizás poseyendo significados hoy perdidos, pero las propiedades mágicas que les atribuían entre hechiceros y personas crédulas sólo podían ser creídas por un populacho ignorante y supersticioso.

Para avanzar en el posible significado cosmológico de estos cuadros debemos entonces citar a Cornelius Agrippa[1], famoso filosofo hermético y mago del siglo XVI, esta es parte de la descripción que hace de los siete  cuadrados mágicos .

<<Se afirma por magos, que hay ciertas tablas sagradas de los planetas dotadas de muchas y grandísimas virtudes de los cielos, por cuanto representan ese orden divino de los números celestes que no puede expresarse de otro modo que por las marcas de números y caracteres. El primero de ellos está asignado a Saturno, y consiste en un cuadrado de tres, que contiene los números particulares de nueve, y en cada línea, tres en todos los sentidos y por cada diámetro (diagonal), haciendo quince. Ahora la suma total de los números es cuarenta y cinco. Cada número representa una inteligencia para bien, o un espíritu para mal. De los mismos números se extrae el sello, o carácter, que debe ser grabado en una placa de plomo. Si esto se hace con un Saturno afortunado, es una salvaguardia para los nacimientos y los partos, pero si se hace con un Saturno desafortunado, obstaculiza las construcciones, las plantaciones y cosas por el estilo, y aparta a un hombre de honores y dignidades>>

Cuadrado Magico de Saturno

El número 45, deducido de este cuadrado, es en números redondos la raíz cuadrada de la órbita de Saturno. Y si se leen los números del cuadrado de derecha a izquierda en las tres filas, obtenemos 294, 753 y 618, todos los cuales son números místicos, por ejemplo 294 es el equivalente numérico de la palabra Ecclesia, la Iglesia o asamblea,  753 es el diámetro de un círculo cuya circunferencia es 2368, el equivalente a Iesus Christus  y 618 es el equivalente numérico de IHΣ, etc. Al leerlo perpendicularmente se obtienen otros números, que también tienen significados místicos. El número de círculos en el universo, contando desde la tierra hasta el empíreo es 15, por tanto este cuadro que parece encerrar por lo menos palabras significativas para los cristianos, deben ser llevados al mundo pagano de donde provienen, en este caso la ecclesia equivale a la asamblea de sabios o filósofos magos, el 2368 equivale a la triada platónica es decir el cosmos tripartito  Empireo, Eter y la tierra. En el caso del 618 al sumarle colel nos da el equivalente a Helios y Selene, es decir los dos opuestos sol y luna que ejemplifica la totalidad del cosmos, por tanto como símbolos los cuadrados mágicos estan obligados a encerrar significados sublimes como el Sagrado Nombre de nuestro Señor pero también los más básicos como los de los dioses o genios del mundo intermedio, conociendo la obra de Cornelio Agripa lo mas probable es que se refiriese a estos últimos en el mas claro de todos los esoterismo cosmológicos de corte demiúrgico [ver entrada Esoterismo cosmológico – Puntualizaciones] , considerando esto veamos que nos dice del resto de los cuadros.

<<La segunda se llama la tabla de Júpiter, que consiste en un cuaternario dibujado en sí mismo, que contiene 16 números particulares, y en cada línea y diámetro 4, haciendo 34. Ahora la suma de todos es 136… Dicen que, si se imprime en una placa de plata con Júpiter de regente, conduce a la riqueza, al favor, al amor y a la paz. Para disolver encantamientos se debe grabar en coral>>.

Cuadrado magico de Saturno

 El número 34 equivale a Babel (BL) dicho número es la raíz cuadrada de 1.156, este número equivale a Jerusalem (IRVSHLIM) pero también a  el ancho de una vesica de 2.004, este número equivale a la suma en griego de las cuatro palabras que corresponde a los cuatro elementos ( fuego, aire, agua, tierra), mismo vesica que tendría un valor de lado de 137 que es igual al lado de un cuadrado inscrito dentro de la Santa Oblación tomando la distancia del sol en 10; por lo tanto, es equivalente al número 1.480 que equivale al nombre Cristo pero también es equivalente a cábala QBLH y es equivalente al diámetro del hombre como microcosmos. Por tanto, desde el lado pagano este cuadro puede asimilarse a aspecto prometeicos o demiúrgicos.

<<La tercera tabla pertenece a Marte, que está hecha de un cuadrado de 5 que contiene 25 números, y de estos en cada lado y diámetro 5, que hacen 65, y la suma de todos es 325… Estos, con Marte siendo afortunado, estando grabado en una plancha de hierro o en una espada, hace al hombre poderoso en la guerra y en los juicios, pero si está grabado con Marte siendo desafortunado, en una placa de bronce rojo, estorba los edificios y causa discordias>>.

 Los números 5, 25. El número cinco tenía un significado peculiar para los pitagóricos, que definía al reino del hombre o pentactys, y se asociaba al pentalfa. Además, los griegos consideraban la pentalfa como el símbolo del Microcosmos, encontrándose pentalfas que en cada una de sus puntas llevan inscritas letras que al leerse dan la palabra  Hygeia 419 (Salud), del mismo modo lo describe  Juan Caramuel[2], en un curioso trabajo sobre arquitectura. Por otro lado 65 es el nombre HIKL, el cual se aplicaba al Templo de Salomón y es equivalente por Gematria a Adonai, cuyo nombre también produce 671. En cuanto a 325 se relaciona a la historia de los pilares de Seth, <<El lugar donde se dice que estuvieron las Columnas de Seth, se llama Siriad, que puede entenderse como el lugar de Anubis, que marcaba el sol solsticial o del solsticio de verano, y es por tanto la región de la morada del sol>>Siriad equivale a 325, y por gematría es igual a la palabra año

Cuadrado magico Marte

<<la cuarta tablilla es del sol, y está hecha de un cuadrado de 6, y contiene 36 números, de los cuales 6 en cada lado y diámetro, producen 111, y la suma de todos es 666… ​​Estando grabada en una placa de oro, hace que quien la lleva sea renombrado y amable, e iguala a un hombre con reyes y príncipes… pero con un sol estando desafortunado hace un tirano>>

Los números de este cuadrado son todos curiosamente apropiados para el sol. Ensu  relación al  arca se ha demostrado que mide 666 de su diámetro, ( ver entrada Simbolismo Cosmológico – El Arca ) , dicha cifra también es el diámetro de un círculo que tiene una circunferencia de 2093, el cual es el mismo valor de los lados del cuadrado descrito en la sagrada oblación, lo que es la clara relación con la muy extraña cifra 666 ( número del hombre). Nuevamente, 666 es el diámetro de un círculo de 2093 de circunferencia, y 2093 es 9 veces el diámetro de la órbita del sol( considerando la distancia del sol a la tierra), así como el diámetro del círculo que contiene el cuadrado cuyos lados son 1480 que es igual al nombre Christos pero también es la medida del microcosmos , la medida del cuerpo de Christos. Esta misma cifra tiene una relación no circunstancial con la luz.

Cuadrado magico del Sol

 <<La quinta tabla es de Venus, que consta de un cuadrado de 7 dibujado en sí mismo, es decir, de 49 números, de los cuales 7 de cada lado y diámetro hacen 175, y la suma de todos es 1.225. Estando esto grabado en una placa de plata, Venus, siendo afortunado, procura la concordia y el amor, y pone fin a la contienda, y conduce a la curación de todas las enfermedades melancólicas. … Pero si fuere de bronce con un afortunada Venus, produce lo contrario>>.

 En números redondos 49 es la raíz cuadrada de 2,368 equivale a la triada platónica es decir el cosmos tripartito  Empireo, Eter y la tierra.. Y 1,225 es la medida de una cruz cuyos brazos son 612 de largo y esta cifra es igual al nombre Zeus en griego.

Cuadrado magico de Venus

<<La sexta tabla es de Mercurio, resultante el cuadrado de 8 dibujado en sí mismo, que contiene 64 números, de los cuales 8 por cada lado y por ambos diámetros hacen 260, y la suma de todos, 2.080… Si es con Mercurio siendo afortunado, grabado sobre plata o estaño o latón amarillo, o escrito sobre pergamino virgen, hace que el portador sea agradecido y afortunado… y conduce a la memoria… y a la comprensión de las cosas ocultas>>.

 Los números producidos por este cuadrado son quizás los más notables de los siete, y esto parece sugerirlo el comentario de Cornelius Agrippa. El número 2.080, así asociado con Hermes, conecta a este dios con la Santa Oblación (ver entrada Simbolismo Cosmológico – Nombres, Cábala y El Canon de la Arquitectura)  y esto lo que parece confirma la opinión de los gnósticos, que se empeñaban en igualar a Mercurio a Cristo. El número 64 es el equivalente numérico de la palabra Aletheia, «Verdad». Y 260 es, además de 10 por 26, el diámetro de un círculo cuya área es igual a la de un cuadrado cuyos lados son 231, esta cifra da una serie de medidas cósmicas que relacionan, la torre de Babel, la orbita de Saturno, 21 de los 22 arcanos del tarot, etc.

Cuadrado magico de Mercurio

<<La séptima tabla es de la luna, de un cuadrado de 9 multiplicado por sí mismo, que tiene 81 números, en cada lado y diámetro 9, que da 369, y la suma de todos es 3.321… la luna  se torna afortunada para aquel, al estar grabada en plata, que la lleva y lo torna amable, agradable, honrado y sin malicia. Pero se torna desgraciada si la luna es grabada en una placa de plomo, dondequiera que sea colocada o enterrada, hace infeliz a ese lugar>>.

 La luna era el símbolo aceptado del mundo sublunar, que contenía los cuatro elementos, y los cuatro elementos se atribuían al cuerpo del Logos. Ahora, 81 x 91/2=769 , y 769 es la longitud de la viga transversal de una cruz cuyo extremo mide 2,368, que contendría al hombre como macrocosmos según vitruvio. De nuevo, 369 es 1 menos que 370, el lado de un cuadrado cuyo perímetro es 1,480, es decir la medida del microcosmos como también expone Vitruvio, por otro lado 369 es el largo de un vesica que tiene un ancho de 443 y este equivale a logos platonico .

Cuadrado magico de la Luna

Por último, otra forma en que los antiguos parecen haber ocultado números místicos y cósmicos fue en las palabras y nombres escritos en sus amuletos y sigilos. Las inscripciones de estas gemas misteriosas son muy a menudo ilegibles y contienen nombres desconocidos y palabras sin significado.

Es probable, por lo tanto, que estuvieran destinadas a ser leídas como números y, por lo tanto,  a partir de estos transmitieran un significado apropiado para los símbolos que acompañaban, para aquel que poseía las claves de interpretación.

El sabio polímata  Atanasius Kircher[3]  en su libro «Arithmologia», muestra un sello de Salomón inscrito dentro de un círculo, que contiene un cuadrado dividido en 25 cuadrados más pequeños, con una letra en cada uno. Es el famoso cuadrado con el arreglo de letras en que se lee «Sator Arepo Tenet Opera Rotas», que tiene el aspecto de un epigrama latino, pero aparentemente es intraducible.

sello de Salomón inscrito dentro de un círculo, que contiene un cuadrado con el famoso cuadrado con el arreglo de letras en que se lee «Sator Arepo Tenet Opera Rotas»

Sabemos que los sacerdotes a veces convertían las letras romanas en griegas, para obtener números de ellas. Bajo esta consideración entonces si damos a las letras de este sello el valor de sus equivalentes griegos, obtenemos 25 números, que se pueden leer de varias maneras. Las cinco letras en los cuatro lados del cuadrado forman la palabra Sator, el «Sembrador», o al revés «Rotas», ruedas. Esta palabra, escrita en letras griegas, tiene el valor numérico de 671, el número de Thora, la Novia hebrea, y menos colel da  xórμoc= 670 es decir Cosmos.

Esto nos permite entonces sumas los números que forman el perímetro del cuadrado que nos da 2.084, o sea, lo que equivale al valor numérico de las palabras Empireo, Eter y la tierra que es la forma en que Platón divide la creación en el Timeo. Las dos filas de letras del medio forman la palabra «Tenet», leída vertical y horizontalmente, y el valor numérico de esta palabra escrita en letras griegas es 660, o el número de millas en el diámetro de la tierra dividido por 12.

Las cuatro letras, que se encuentran en los ángulos de la cruz formada por la palabra «Tenet», son iguales a 360, <<y las cinco letras que forman un quincunce dan el número 650, que es 1 menos que el diámetro de un círculo cuya circunferencia es igual al diámetro de la órbita de Saturno>>[4]. La letra del medio tiene el valor de 50, y la suma de los números del 1 al 50 es 1.275, o la altura de una cruz que contiene a un hombre  en un cuadrado que tiene un perímetro de 2.368, es decir el Macrocosmos. Por tanto, este diagrama lo que parece exponer es la totalidad de la creación, no es extraño que en este análisis encontremos la palabra cosmos.

Por otro lado, Eliphas Levi respecto a este mismo sello, lo llamó (Levi) como el sello místico del «Gran Arcano», y en su versión del diagrama, dibuja a un hombre y una mujer que ocupan los dos triángulos entrelazados, como unión de los opuesto. Asi se refiere Lévi a este diagrama <<Así también aquí, cuando el Varón se une a la Hembra, ambos constituyen un cuerpo completo, y todo el universo está en un estado de felicidad porque todas las cosas reciben bendición de su cuerpo perfecto. Y esto es un arcano>>[5].

Podemos entonces concluir de todo lo anterior, que los cuadrados mágicos que estan asociado a planetas y sus genios estarían entonces codificando el lugar y orden que confieren al cosmos, es como hacer un duplicado como talismanes, en el caso de los cuadrados numéricos el duplicado no es aparente, sino que comprende una serie de claves que lo hace en parte incomprensible, esto nos lleva a considerar que el cuadrado mágico tiene una accion operativa efectiva invocando al genio, jin, jina o demonio ubicado en el loka al que corresponde dicho planeta, por tanto hablamos de magia ceremonial y talismánica que comprende una serie de peligros reales a los que se aventuran en ella[6]. Pero por otro lado con el paso de los siglos y sobre todo en el XVI una nueva camada de magos aparece, para quienes los talismanes cobraran una configuración mucho mas obvia dibujando en ellos las orbitas que describen los planetas, con claros objetivos materiales y que dará el impulso a que el modelo coperniquiano (helio céntrico) sea considerado un gran talismán, por el mago y filosofo hermítico, y mal llamado científico, Giordano Bruno.

Jhon Carrera


[1] (Arippa) Filosofía Oculta», libro II cap. 22

[2] Arquitectura civil https://archive.org/details/architecturacivi00cara

[3] (Kircher, 2016) Aritmologia. Editorial Maxtor

[4] (Stirling, 1985)

[5] (Levi, 2007)El gran arcano del ocultismo revelado

[6] A este respecto recomendamos el siguiente audio https://go.ivoox.com/rf/108576576

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Renaud Capuçon, OCL - Mozart: Violin Concerto No. 5 in A Major, K. 219 "Turkish": I. Allegro aperto


Renaud Capuçon’s new album “Mozart: The Violin Concertos” is part of his exciting Mozart project for Deutsche Grammophon which comprises of three albums and two STAGE+ performances, all to come before the end of the year 2023. Together they encompass the artist’s multi-faceted career as concerto soloist, chamber musician, artistic director and mentor to outstanding young talent.

Renaud Capuçon who is also the artistic director of the Orchestre de Chambre de Lausanne (OCL), not only recorded all of Mozart’s violin Concertos with the OCL but play-conducts in this performance filmed live at La Grange au Lac in Évian. The full concert can be watched on the video- and audio streaming service Stage+ and the album “Mozart: The Violin Concertos” is out now.

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Euripides


Dear Classical Wisdom Reader,

He reinvented Greek myths, and revolutionized theater.

Even now, millennia after his death, he’s still considered controversial.

And personally, he’s one of my favorite writers of the ancient world.

Today we’re looking at the life and work of Euripides, the tragic playwright behind enduring and powerful works such as Medea and The Bacchae, as well as comparatively lesser known plays like Alcestis.

He’s also one of the many ancient figures being covered in our upcoming course The Essential Greeks.

Through video lectures, live webinars, Q&As and more, we’ll be looking at some of the most important and influential thinkers and writers of ancient Greece. Alongside Euripides, we’ll be diving into the likes of Socrates, Homer, Aristotle, and more…

Our course starts on Monday, October 2nd, so there is STILL TIME to enroll.

You can do that HERE.

So don’t miss out… it would be a tragedy!

All the best,

Sean Kelly

Managing Editor

Classical Wisdom


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Euripides - the Greatest Writer of Greek Tragedy?

by Ben Potter

A lone figure, swaddled in rags, sits secluded in a dank cave bent over his papyrus. The whittled reed in his hand dips rhythmically into the pot of octopus ink before adding a couple of urgent scratches to the thick page. His bushy, white beard is stained off-center at the lower-lip, evidence of his habitual pen-chewing; but it is his mind, his mind that is stained far more indelibly. There are images of gods, war, warriors, adultery, incest, exile, blasphemy, damnation, infanticide, patricide, matricide, human-sacrifice, and worse. These are the ideas, the dark and evil components of Greek tragedy, that this man, this Euripides believes are too… too… stock, too trite, too bedtime-story for the citizens of Athens. He knows that beauty is terror. As Donna Tartt once wrote, “Whatever we call beautiful, we quiver before it.”

Well… No. I’m afraid not. At least, we’ve no reason to believe that the man who produced, directed and wrote The Bacchae, Hippolytus, Medea, and Electra really was the tortured recluse, the artistic oddball, the Salinger or Kubrick of his day. We like to think this because, instead of merely putting a new spin on traditional Greek myths, he always managed to find an even more shocking way to deliver a tried and trusted tale. He could make heroes devils and devils heroes and all without forcing the audience to break their mental stride.

Yes, he may well have lived in a cave on the island of Salamis, but what better place for a writer to escape the distracting hustle and bustle of Athenian city existence?

Electra at the Tomb of Agamemnon (c.1869) by Sir Frederic Leighton

Likewise, late in life, Euripides left Athens for Macedon in self-imposed exile. Was he frustrated at a theater-going public who didn’t appreciate him? Or was it, more likely, a lucrative retirement where his talents were rewarded not only with money, but also with praise and status?

After all it was these, praise and status, that seem to have eluded Euripides during his lifetime. Despite being considered by many today as the finest of the three great Athenian playwrights (besting Aeschylus for style and Sophocles for substance), he only won the first prize at the city’s premier dramatic contest, the Great Dionysia, four times during his lifetime, and once posthumously.

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You may be thinking ‘that’s not so bad – nobody ever won more than four Academy Awards for best director’, but if you compare his record to that of Aeschylus (13 wins) and Sophocles (20+), it seems a paltry return for a man of such insight, intensity and timeless genius.

The Death of Hippolytus (1860) by Sir Lawrence Alma-Tadema.

Don’t think however, that this modest return of gongs equated to a shortage of fame. A contemporary playwright, the comedian Aristophanes, made sure everyone in Athens, even those uninterested in tragedy, knew all about Euripides.

Aristophanes, along with other exponents of Old Comedy, used rumors about Euripides as material to create a comic alter-ego who was not merely joked about, but lampooned directly whilst appearing as a character in several plays.

Common jokes were:

  • That Euripides’ wife was having an affair with his lodger, who also happened to collaborate with Euripides in writing some of his plays.

  • That this cuckolding created in him such bitterness that many of his plays ended up propounding a theme of misogyny.

  • That he was an atheist and blasphemous towards the Greek gods.

  • That he was responsible for making tragedy less lofty e.g. whilst Aeschylus uses kings, gods and heroes as characters, Euripides uses beggars, cripples and the working-classes. And even when portraying kings, they are clad in rags and slovenly.

  • That his mother sold cabbages in the agora – an early example of a “yo momma” joke i.e. “yo momma so poor, she sells cabbages in the agora”.

  • That he, like his contemporary Socrates, subverted the moral order of the day.

It is worth remembering that Aristophanes, like all comedians, was more concerned with laughs than with truth. Indeed, it is almost impossible to imagine that Euripides was from anything other than a high-class family and enjoyed a fine education.

Bust of Aristophanes

Whether or not his wife was playing away, we do not know for sure, but anybody who closely studies his plays would find it hard to conclude he was a misogynist. In fact, even more than his great rivals, Euripides treats his female characters with great sensitivity and sympathy, as well as portraying them as independent and intelligent.

Moreover, it is quite likely that Euripides would have actually been in the audience when some of these zingers landed, making the impact of the joke two-fold. First, as the audience appreciated what the actor said, then second, as the audience turned as one to the embarrassed, angry, or perhaps, laughing Euripides.

Jason and Medea (1907) by John William Waterhouse

One area where Aristophanes did not poke fun at Euripides was that of peace and war. The 5th century BC was a time of relentless fighting for Athens and both men used their art as a medium to criticize either politicians or the very nature of war itself. Indeed, it’s possible one reason Euripides was not a man appreciated in his own time was because of his unwillingness to slap a ‘support our troops’ sticker on the front of his programs.

Whilst accusations he was a pacifist were perhaps a little wide of the mark, both he and Aristophanes stood out as men who used their talents to campaign against the involvement of Athens in expensive, devastating, and pointless military campaigns.

Much as Euripides’ attempts to win favor with the public were to no avail, his efforts to influence popular opinion on foreign policy matters were equally fruitless. Two years after his death, Athens fell to the Spartans.

The cradle of democracy never recovered its status as the leading light of Western civilization.

Euripides’ legacy is a theatrical, not a political one. He changed theater from a vehicle for education and moralizing to one of doubt and introspection. Whilst it is his complexities, his ambiguities and his lack of conformity that brought him up against such resistance in his own time, it is perhaps those same qualities that keep him relevant and endear him to so many today.

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EL ESTRECHO DE GIBRALTAR Y SU ENTORNO MÍTICO Y SIMBÓLICO. Francisco Ariza


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VISITAR A LOS ENFERMOS


La Tradición exhorta al creyente a rezar por aquellos que están enfermos; sin embargo, también podemos hacer otra cosa: visitarlos. Es una excelente ocasión para echarles una mano, para animarlos y reconfortarlos, pero hay algo más: detrás del enfermo, en la cabecera de su cama, se encuentra la Shekinah.

.

Los sabios nos enseñan que las oraciones operan un fortalecimiento de la fe y ayudan a la sanación.

La oraciones pueden ser mentales, pero tienen mucha más fuerza las que son pronunciadas con los labios.

Safah (שפה), «labio», tiene la misma guematria que Shekinah (שכינה) que es 385.

.

ש = 300

פ = 80

ה = 5

———–

385

.

ש = 300

כ = 20

י = 10

נ = 50

ה = 5

———-

385

.

Por su parte, el Talmud nos enseña en el tratado de Shabbat (12a) que:

“Cuando visites a un enfermo, no te sientes vuelto hacia los lados en una cama o una silla. En vez de eso, por respeto a la Shekinah, uno debe de sentarse frente al enfermo porque ella está sobre la cabeza del enfermo, como dice el versículo, «Dios le da fuerza en su cama de enfermo» Salmos (XLI-4).

.

 JULI PERADEJORDI

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jueves, 28 de septiembre de 2023

Faith, Fame, and Adventure: The Reality Stranger Than Fiction | Willie & Korie Robertson | EP 385


Dr. Jordan B. Peterson and stars of “Duck Dynasty,” Willie and Korie Robertson, discuss faith and family values as they were presented in the show, how they were preserved behind-the-scenes, the balance between reality and fiction, structure and playful spontaneity that was captured on “Duck Dynasty,” and the true positive impact the show had on viewers, as well as the culture of America during and since its phenomenal 11-season run.

Willie and Korie Robertson are the stars of A&E’s hit reality TV show “Duck Dynasty” and executive producers of “The Blind,” the true story of the Robertson family. Together, they grew their family business, Duck Commander, from a living room operation into a destination for all things outdoors. They also built Tread Lively, a multimedia production company that creates films, television shows, and award-winning podcasts that uplift the culture.

The Robertsons' story is a remarkable example of entrepreneurship built on faith, family, and ducks, in that order. Married for 31 years, they live in West Monroe, Louisiana, with their large and growing family. Their writing credits include “The Duck Commander Family: How Faith, Family, and Ducks Built a Dynasty,” “American Hunter,” “American Entrepreneur,” and “Strong and Kind: Raising Kids of Character.” Willie and Korie are passionate about adoption, storytelling, and doing life with their kids and grand-babies. They are currently developing several exciting film, podcasting, and TV projects.

Dr. Peterson's extensive catalog is available now on DailyWire+: https://bit.ly/3KrWbS8


- Sponsors -

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- Links -

For Willie & Korie Robertson:

Find a theater near you to the watch “The Blind” https://theblindmovie.com/


- Chapters -

(0:00) Coming up
(0:42) Intro
(1:36) Why Duck Dynasty resonated
(2:25) The importance of the dining room table
(5:23) A vision for the future
(6:08) The psychology of the dining room table
(12:43) The Simpsons and the Trailer Park Boys: why they work
(17:35) Between scripting and spontaneity
(21:48) How Guy Ritchie uses dialogue
(23:00) How children play out roles when pretending
(24:00) The characterizations of the Robertson family: Phil and Uncle Si
(26:33) When Willie met Bill Clinton
(27:36) The art of playing yourself
(29:32) Working with reality TV producers
(31:09) Breaking the mold, getting away from the “train wreck” format
(32:28) Why scripted reality works when it does
(34:30) When your spouse rolls their eyes at you, the price for contempt
(35:11) Jordan explains the biblical story of Noah getting drunk
(38:25) Phil Robertson teaches sex education
(41:20) Convincing Phil to do the show
(42:51) Phil’s early ventures in filmmaking: the Buckmen Series
(46:06) The experience of the show made everyone younger
(50:10) How Mrs. Kay embraced stardom
(51:15) Marrying into Duck Dynasty
(54:55) Why didn’t the Robertsons go Hollywood?
(57:50) Small town resentment
(59:51) Adventure within the family structure
(1:04:53) How Duck Commander grew into a dynasty
(1:11:57) Don’t reject the call to adventure
(1:16:13) A family that builds a business together prospers together
(1:23:44) Nothing is wasted when you’re grounded in faith
(1:27:00) How scripture guided the Robertsons through enormous fame
(1:36:13) Willie and Korie on their upcoming film “The Blind”
(1:42:12) Extremely flawed characters make the most interesting pathways forward
(1:44:03) Aleksandr Solzhenitsyn: redemption and triumph
(1:46:31) Finding distributors for a faith-based film
(1:50:23) How Jordan met Willie


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