Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

lunes, 29 de agosto de 2022

Le secret du bouddhisme et l'unité de toutes les traditions

Toutes les traditions contiennent des diamants de l'unique lumière, chacun à sa manière unique. Cependant, cinq traditions sont au centre du mandala de ma vie intérieure : le Tantra ou shivaïsme du Cachemire au centre, puis la mystique catholique, la Vision de Douglas Harding, enfin le Dzogchen et la Mahâmudrâ. On pourrait y voir un fantasme confus de mélanger des spiritualités trop différentes, en particulier les deux dernières, qui sont bouddhistes. En effet, depuis son origine le bouddhisme réfute tout Dieu créateur, toute identité, tout Soi, l'existence de toute entité transcendante. Ce ne sont, aux yeux du bouddhisme originel, que des illusions qui engendrent la souffrance. Le bouddhisme semble donc aux antipodes du théisme chrétien ou shivaïte. On reconnaîtra la parenté de ce bouddhisme avec certaines doctrines "progressistes" qui veulent détruire toute identité - ce qui a paradoxalement l'effet inverse - toute essence, tout ce qui pourrait être permanent, bien définit. Toutefois, il existe plusieurs courants dans le bouddhisme. Certains proclament l'existence d'une réalité transcendante et créatrice, quasi personnelle. Par exemple selon le Dzogchen bouddhiste, tout dérive d'un Bouddha primordial, un Bouddha d'avant les temps et les choses. Il est "le Roi créateur de toutes choses", selon le titre d'un tantra dzogchen. On pourrait y voir une déviation du bouddhisme originel. Et beaucoup de Bouddhistes voient les choses ainsi. Pour ma part, j'y vois autre chose : Plutôt une manifestation de l'instinct de vérité. Je crois que nous avons un sens inné du vrai, du juste et du beau. Et je crois que l'unité est présente en tout et en tous. Rien ne peut exister sans unité. Quand le bouddhisme s'efforce de déconstruire toute forme d'unité ou d'identité, il est donc voué à l'échec. Cela ne veut pas dire que le bouddhisme n'apporte rien d'important, mais cela veut dire que les dogmes initiaux doivent être remis en question. C'est inévitable. Ce destin se manifeste dans la tendance du bouddhisme à enseigner le contraire de ce qu'il enseigne, un peu comme une confession à demi-mots. De cette belle fatalité, le Yogâchâra, "l'école de la pratique du yoga", l'une des plus importantes traditions philosophiques du bouddhisme, est l'exemple le plus frappant. Et ceci n'est pas un détail anecdotique, car le Yogâchâra est la base philosophique du Zen, du Tantra bouddhiste, du Dzogchen et de la Mahâmudrâ. Comment le Yogâchâra confesse-t-il l'unité ? En admettant l'unité de la conscience. Habituellement, ses philosophes réfutent la thèse d'une conscience une et permanente à travers le temps, d'un Soi transcendant. Il n'y a que des cognitions, des épisodes instantanés qui, comme les photos d'un film, engendrent l'illusion d'une unité, d'une identité dans les personnes et dans les choses. Toutefois, même si les cognitions sont des illusions, elles ont de l'unité. Même un rêve est "un" rêve. Un mirage est "un" mirage. Or, d'où vient cette unité s'il n'existe aucune unité ? Mais attention, le bouddhisme ne nie pas les différences. Seulement, ces différences sont embrassées dans une unité : "une" tasse, "un" croissant, "un" moment, "une" personne. Chaque perception, chaque pensée, est fait à la fois de différences et d'une unité : une richesse merveilleuse (vaicitrya) qu'évoque le verset bouddhiste (de Dharmakîrti expliqué par Jnanashrîmitra) que j'avais cité dans un billet précédent. Quand on perçoit une boule de pâte à modeler qui mélange du bleu et du jaune par exemple, on ne peut pas séparer le bleu, le percevoir séparément, sauf à imaginer un nouvel objet bleu. Et pourquoi ? Parce que, explique Jnânashrîmitra, il y a une indéniable unité de la conscience. Et cette unité enveloppe toute une variété de différences. Et c'est cette unité-des-différences qui définit la conscience, et qui est la non-dualité. Chacune de nos représentation quotidienne illustre cette non-dualité, dans laquelle unité et différences sont compatibles. Rien de plus banal, rien de plus miraculeux. Il est peut-être impossible de rendre raison de ce paradoxe. Et pourtant, nous en faisons l'expérience à chaque instant. Grande est la portée de cette découverte, de cet "éveil" : la conscience de l'unité ne détruit pas les différences ; la conscience des différences ne cache pas l'unité. C'est une seule conscience en réalité, une seule et même expérience, déjà donnée ainsi. Reconnaître cette non-dualité, cette harmonie, ce paradoxe, c'est l'éveil à l'émerveillement. C'est ce que disent le bouddhisme et le Tantra, et tous les autres avec eux, chacun à sa manière. Le secret du bouddhisme, c'est donc qu'il célèbre l'unité de la conscience. Et en particulier, les deux traditions bouddhistes du Dzogchen et de la Mahâmudrâ sont de magnifiques chants à la louange de l'unité-des-différences. Voilà pourquoi elles font partie de ma famille spirituelle, même si je ne suis pas "bouddhiste". Et parce que toutes les traditions tendent à la célébration de cette unité, elles sont frappées du sceau de l'unité. Artículo*: noreply@blogger.com (David Dubois) Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL (Frasco Martín) Psicología Clínica y Tradicional en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) #Psicologia #Menadel #MijasPueblo *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí compartidos. No todo es lo que parece.
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