Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

viernes, 26 de mayo de 2017

L'Être est-il l'absolu ?

Selon le Védânta, l'Être (sat) est l'absolu, plus encore que la conscience (cit) ou la félicité (ânanda). Mais selon la philosophie de la Reconnaissance, l'Être, seul, n'est pas l'absolu. Ou plutôt, l'enseignement tantrique de la tradition du Coeur-Corps (kaula) affirme que l'absolu (brahman), compris comme être inactif (shânta), n'est pas l'absolu, le brahman bien compris. Quand la Reconnaissance décrit l'absolu, elle ne dit pas "être, conscience, félicité", mais "conscience et félicité". Pourquoi ? Parce que l'Être évoque quelque chose de trop statique, alors que l'absolu est, selon la Reconnaissance, un acte, un mouvement, un devenir.Pour les philosophes du Tantra,brahman signifie "expansion" perpétuelle,et non transcendance abstraite. L'Être est. C'est certain. Il est "ce qui reste au moment du repos ultime", de la résorption de tous les niveaux de conscience dans la Mâyâ, c'est-à-dire, ici, une sorte d'état d'inertie, dont l'état de sommeil profond est l'exemple le plus familier. Mais il n'est pas l'absolu libérateur, le Coeur (hridaya). L'Être statique, "serein" (shânta), est la Matrice que Dieu va exciter et féconder. La Reconnaissance considère que l'Être pur, indifférencié, n'est qu'une phase dans la Vie de l'absolu vraiment absolu, nommé ici Bhairava. Selon le philosophe de la Reconnaissance qui est l'auteur de la Courte méditation sur le Tantra de la Maîtresses des trois Shaktis (Parâtrîshikâlaghuvrirtti), cet absolu "statique" n'est qu'un aspect ou une phase du véritable absolu en devenir de réalisation : "La réalisation de l'absolu selon les partisans du Brahman (=les adeptes du Védânta) n'est rien d'autre que ce nectar immortel, le Soi, qui est la fusion de toute chose en une seule masse au moment où tout, jusqu'au plan de Mâyâ, atteint son point de repos extrême." Mais ce repos n'est pas l'absolu. C'est seulement la disparition de la dualité dans l'Être indifférencié. Or cet Être, poursuit notre philosophe, "est à son tour excité par Bhairava qui (ainsi) 'éjacule' l'univers". L'Être, c'est la Matrice, le yoni (ou "la", si vous préférez), auquel Bhairava va venir se frotter, et qu'il va féconder. Notre auteur anonyme convoque alors ce célèbre verset de la Bhagavad Gîtâ, qui prend soudain une consonance tantrique : "Le grand Brahman (=l'Être) est pour moi la matrice (yoni). En elle, je dépose l'embryon (de l'univers). De là, ô fils de Bharata, proviennent tous les êtres !" En termes de niveaux de conscience, l'Être n'est pas la pleine réalisation, car en lui, la dualité, Mâyâ, a disparue (provisoirement), mais n'a pas été réalisée comme manifestation de la conscience. Cet état d'être indifférencié (eka-ghanam) est certes un "nectar", car on y goûte un certain repos, mais ça n'est pas l'éveil de la conscience en sa liberté, car la conscience s'y trouve bien plutôt comme abrutie, assoupie, endormie, enfermée en soi (parinishthitâ, âtma-nishthâ), ce qui est précisément le contraire de la conscience, laquelle est liberté, pouvoir de sortir de soi (tout en restant en soi, évidement) ! Car au-delà de ce plan d'expérience, il y a le "Chemin pur", celui où la dualité est reconnue comme libre manifestation de soi, prise de conscience de soi, réalisation de soi dans la félicité, dans l'extase créatrice. Plus vaste que l'Être est le Trident des énergies de désir, de pensée et d'activité : "je veux", "je fais", "je connais". Parmi ces trois Shaktis, la plus sublime est celle du désir, car elle contient les autres en elle, comme quand on a soudain une intuition, une vision globale, comme une ville vue depuis le sommet d'une montagne. Mais, encore plus vaste, il y a l'extase créatrice elle-même, l'orgasme (eh oui !) divin, représentée par les deux points qui symbolisent, au sens fort du mot (deux tessons de poterie brisés puis réunis) le Dieu et la Déesse, l'Être et la Conscience, ou disons plutôt, l'absolu comme "ce qui est" et comme "réalisation de soi en tant que 'ce qui est'". Or, c'est ce dernier aspect qui est essentiel, et qui distingue cette philosophie tantrique qui est bien une philosophie du désir et de l'acte, plutôt que de l'être statique et immuable. L'Être est la matrice, excitée par les trois Shaktis, excitation qui culmine dans l'extase créatrice (visarga) qui, seule, est le Corps de l'absolu. L'absolu est donc Relation, deux points, toujours Deux, deux-en-un, et non pas seulement Un. Dans une perspective plus ésotérique, il y a "sa", l'Être pur, qui est l'être homogène, indifférencié, la présence simple, présente dans le Rituel Primordial sous la forme du soupir des amants. Puis ce soupir devient excitation, l'embryon de l'extase, qui grandit et grandit, "au" jusqu'à l'extase, "h". Dans un autre sens encore, c'est l'Être "a" qui éclate en désir "h", qui engendre l'individu "m". Mais comme dit Abhinava Goupta, "il ne faut pas tout dire en même temps" ! (l'exposé du Mantra par notre philosophe inconnu se trouve pages 16 et 17 de l'édition du Cachemire) - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
 

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