Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

miércoles, 28 de octubre de 2015

La vache cosmique: La civilisation mène t-elle à la barbarie ?

Les théories cycliques de l'Histoire sont celles des sociétés traditionnelles : d'abord l'Âge d'or se délite, puis conduit à l'Âge de fer, à la destruction qui prépare l'avènement d'un nouvel Âge d'or, et ainsi de suite, sans fin ultime. A cette vision naturelle de l'Histoire, s'oppose la foi dans le progrès, propre aux Lumières. Situé à la charnière ces mentalités anciennes et modernes, l'italien Vico propose une théorie cyclique originale. Selon lui, il y a d'abord un âge des dieux, où les hommes vivent en harmonie avec la nature, en famille et avec le sens du sacré ; puis un âge des héros, quand une classe guerrière émerge pour dominer les foules : et enfin, un âge des hommes, quand la foule se soulève et réclame l'égalité. Mais cette égalité conduit à l'individualisme et à la désagrégation de la société, à commencer par la famille. Ce qui mène à des guerres, à la quasi disparition de l'humanité. Mais la terre, ainsi purifiée, repart pour un nouveau cycle, débutant par un nouvel âge des dieux. La démocratie mène t-elle à la barbarie ? Vico décrit ainsi le cataclysme : "Quand les peuples sont devenus esclaves de leurs passions effrénées, du luxe, de la mollesse, de l’envie, de l’orgueil et du faste, quand ils sont restés longtemps livrés à l’anarchie... la Providence applique un remède extrême. Ces hommes se sont accoutumés à ne penser qu’à l’intérêt privé ; au milieu de la plus grande foule, ils vivent dans une profonde solitude d’âme et de volonté. Semblables aux bêtes sauvages, on peut à peine en trouver deux qui s’accordent, chacun suivant son plaisir ou son caprice. C’est pourquoi les factions les plus obstinées, les guerres civiles les plus acharnées changeront les cités en forêts et les forêts en repaires d’hommes, et les siècles couvriront de la rouille de la barbarie leur ingénieuse malice et leur subtilité perverse. En effet ils sont devenus plus féroces par la barbarie réfléchie, qu’ils ne l’avaient été par celle de la nature. La seconde montrait une férocité généreuse dont on pouvait se défendre ou par la force ou par la fuite ; l’autre barbarie est jointe à une lâche férocité, qui au milieu des caresses et des embrassements en veut aux biens et à la vie de l’ami le plus cher. Guéris par un si terrible remède, les peuples deviennent comme engourdis et stupides, ne connaissent plus les raffinements, les plaisirs ni le faste, mais seulement les choses les plus nécessaires à la vie. Le petit nombre d’hommes qui restent à la fin, se trouvant dans l’abondance des choses nécessaires, redeviennent naturellement sociables ; l’antique simplicité des premiers âges reparaissant parmi eux, ils connaissent de nouveau la religion, la véracité, la bonne foi, qui sont les bases naturelles de la justice, et qui font la beauté, la grâce éternelle de l’ordre établi par la Providence."La Science nouvelle, 1744Nombreux sont ceux qui ont pensé que la démocratie menait inéluctablement à une forme de décadence, de barbarie ou de tyrannie. De Platon à Tocqueville, en passant par Vico, ils se sont interrogés sur la liberté : peut-elle durer ? Rousseau a vu une solution dans le Contrat social : chacun renonce librement à faire n'importe quoi, pour obéir à des lois qu'il a choisi. Mais, comme l'admet Rousseau, cela suppose que les hommes soient d'une moralité élevée, capable de désirer le bien commun, et de voir où il se trouve. La démocratie n'est-elle pas une utopie réservée à des êtres divins ?Je note au passage que les trois âges de Vico rappelent les trois âges de la tradition tantrique du Kula : le flot divin, puis le flot des parfaits (siddha, aussi appelés "héros", vîra), puis le flot humain, transmis respectivement par le silence, par des symboles, puis par des mots. Et les mots ramènent au silence...
 
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