Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

lunes, 28 de septiembre de 2020

Que faire avec les pensées ?

Karaïkkal Quand je découvre le silence intérieur, je m'y attache. C'est alors le début de la vie intérieure. Mais c'est aussi le début de nouvelles frustrations, car je désire l'absence des pensées. Or, il est impossible d'arrêter de penser. Comme dit Milarépa, le célèbre yogi et poète tibétain, "on peut essayer de planter une pensée avec neuf clous, elle ne tiendra pas en place". La pensée n'a pas de forme, on ne peut la saisir et l'enfermer. Et donc, je fais des efforts, j'entretiens des espoirs fous, je me mets à écouter ceux qui promettent une "destruction du mental". Je tombe et je me relève. Une fois, mille fois. Mais les pensées reviennent. Les voix, ou la voix, revient. Toujours au rendez-vous. J'ai beau casser la radio, la déconstruire, la reconstruire, la mettre dans la cave, la jeter dans une grotte, l'affamer, l'orienter, la repeindre ou la maudire, rien n'y fait. Ces ondes-là sont intarissables. Du coup, ma colère augmente, ma frustration, mon cynisme, ou mon fanatisme. Mais les fantômes demeurent. Nous sommes tous un peu schizophrènes. Dédoublés, multiples. Et en guerre contre nous, contre ce bavardage intérieur, avant même d'être en guerre avec les autres, avec le monde. Nous détestons nos pensées, nos mots, nos paroles avant de haïr celles des autres. Que faire ? Il n'y a qu'une seule issue : reconnaître que les pensées sont les manifestations du silence intérieure, de la présence, de la conscience, quel que soit le nom qu'on lui donne. Reconnaître, de tout notre être, que la mer fait des vagues. C'est normal. Naturel. Quel fada irait essayer d'enlever les vagues de l'océan avec sa petite cuillère ? Aimer la mer et détester les vagues, c'est de la folie. Rejeter l'intellect, le mental, la raison, le langage, les mots, la parole, etc. c'est du dualisme pathologique, un dualisme pire que tous les autres. Une source de souffrance plus grande que les souffrances ordinaires. Et donc, je me détends. Je ne cherche plus à éteindre. A faire taire. Je me détend. Je laisse venir, je laisse partir. Au-lieu de m'obséder du sens de ces pensées, ou de leur absurdité, je les ressens. Comme des vagues de lumière. Comme des bulles de clarté. Et tout s'apaise. Ça n'est pas parfait, je me laisse distraire, reprendre par les tensions, par les habitudes. Mais au moins, je sais qu'il y a une issue. Les pensées ne sont plus incompatibles avec la présence silencieuse. Comprendre ça est plus important que s'éveiller au silence entre les pensées. Je dirais même, infiniment plus important, absolument vital. Sans cela, il n'y a pas de vie intérieure. Que des morts. C'est cela, la véritable libération, l'éveil, la non-dualité. Plus de famine spirituelle ! Plus de frustration. Plus de dilemmes. Plus d'excuses. Plus de gâchis. Les pensées, comme tous les mouvements en général, deviennent mes alliées. Mes amies. Plus de colère. Plus de peur. Plus d'hésitation. Plus de regrets. Se détendre et reconnaître que les pensées sont les vagues de la conscience infinie, est un point vital. Et une source de joie et d'émerveillement... intarissable. Artículo*: noreply@blogger.com (David Dubois) Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL (Frasco Martín) Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas Pueblo (MIJAS NATURAL) *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí compartidos
Karaïkkal Quand je découvre le silence intérieur, je m'y attache. C'est alors le début de la vie intérieure. Mais c'est aussi le début de...

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