Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

miércoles, 23 de agosto de 2017

Le Jeu de la conscience - IV et V

Le Jeu de la conscience (Bodhavilâsa), attribué à Kshéma Râdja, verset 4 et 5 : La diversité merveilleuse des choses et des univers dépend de la nature des objets qui y sont connus, unie à la variété des différentes sortes (de sujets), de sorte qu'il existe d'innombrables univers, aussi bien vers le haut, que vers le bas. 4 Bien que la conscience soit le Maître des maîtres, elle devient l'âme quand elle se contracte. Les sages savent que l'âme contient toutes choses, comme la graine d'un grand arbre. 5 Il n'y a qu'une seule conscience en d'innombrables corps. Une seule conscience qui se goûte à travers d'infinis perspectives. Comme une comédienne aux mille masques. Mais d'où viennent ces masques ? D'où vient leur variété ? Le verset 3 avait déjà donné la cause profonde de cette richesse : la liberté. La conscience - ce que nous sommes réellement - se multiplie librement, gratuitement, seulement pour se donner, s'épancher, se partager, entrer en relation, avec soi, par l'intermédiaire d'innombrables expériences qui sont comme autant de points de vue. L'amour. Le don de soi, tout entier, gratuit, gracieux. Chaque expérience, chaque sensation, chaque pensée, chaque désir, est un essai pour se dire. Mais comme la conscience est infinie, cela prend un temps infini. C'est cela, le devenir : l'amour de la conscience pour elle-même, qui la meut à se dire dans une expérience limitée. Comme l'océan dans la goutte : vous vous rappelez ? D'où l'apparition de l'individualité, de l'âme. Mais l'âme n'est pas simplement un objet qui est contenu dans la conscience, dans l'espace conscience que "je suis". L'âme, comme dit Kshéma Râdja, est la conscience "contractée". Il faut comprendre que l'individu (jîva, purusha) n'est pas une partie de la conscience, ou un aspect de la conscience, ni une apparence de la conscience. Non, l'idée la plus profonde de la Reconnaissance à ce sujet, est que l'individu est engendré par contraction de la conscience infinie. Qu'est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que l'individu n'est pas créé "à partir de rien". Il n'est pas un fantôme surgit de nulle part, ni le simple produit d'une interaction aléatoire. De toutes façons, la Reconnaissance voit dans les forces physiques des étincelles du Désir infini qui est la conscience, la conscience comme Acte parfait, complet, auquel rien ne manque. L'individu n'est pas engendré par division, mais par contraction. Cela veut dire - et c'est incroyablement profond - que l'individu est, en un sens, doué de tous les pouvoirs de l'Absolu, mais librement limités. La différence entre la conscience universelle et la conscience individuelle est une différence de degré. Mais, c'est la même conscience ! Avec les mêmes pouvoirs : conscience, liberté, désir, création dans la connaissance et dans l'action. Voilà pourquoi "les sages savent que l'âme contient toutes choses". En modèle réduit. Et même, elle contient réellement tout, en acte, ici et maintenant. Car, répétons-le, il n'existe pas de "bouts" de conscience. La conscience n'est pas mesurable. Elle est, tout entière, même quand elle se "contracte" librement. Donc elle contient tout. De plus, même quand la conscience assume des limites, ces limites ne la limitent pas, ne la font pas disparaître. Pourquoi ? Parce que ces limites n'existent, comme toutes choses, que dans, par et pour la conscience. La conscience n'est pas comme l'eau, qu'une paroi peut venir diviser en deux parties. La conscience est plutôt comme l'espace, qui est toujours présent, même dans les objets qu'il accueille. De plus, les possibilités sont sans limites. Il existe des mondes "vers le haut, et vers le bas aussi". Qu'est-ce qu'un "monde" ? C'est une relation sujet objet, un type de rapport de la conscience avec elle-même, de soi à soi. En général, la conscience-comédienne se prend pour les choses qu'elle perçoit. "Le semblable connait le semblable" disent les platoniciens : Quand la conscience perçoit des corps (après avoir oublié sa propre omniprésence), elle se prend pour un corps. Quand elle perçoit des illusions, elle se prend pour une illusion. Quand elle voit l'impermanence, elle se croit impermanente. Quand elle voit de la beauté, elle se voit belle. Et ainsi de suite... Le sujet et l'objet s'adaptent l'un à l'autre. Shiva-Shakti, jusque dans les moindres détails de la plus humble expérience. Comme deux miroirs se reflètent, mis en abîme, comme une boucle causale, comme deux ondes qui interagissent à perpétuité. Voilà pourquoi ce que je contemple est ce que je deviens. En contemplant le ciel bleu, je "deviens" limpide, transparent, immense, ouvert, accueillant. Mais ça n'est pas une règle absolue, car je peux voir une chose sans m'identifier, bien que ce détachement ne soit pas la liberté véritable et complète, selon la Reconnaissance. "Comme la graine d'un grand arbre", comme un grain de moutarde, l'individu n'est pas destiné à disparaître, mais à grandir à l'infini. Sauf à comprendre que la graine "disparaît" pour laisser place à l'arbre... Je suis l'univers, "je suis" est les univers, et au-delà. - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
 

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