Psicología

Centro MENADEL PSICOLOGÍA Clínica y Tradicional

Psicoterapia Clínica cognitivo-conductual (una revisión vital, herramientas para el cambio y ayuda en la toma de consciencia de los mecanismos de nuestro ego) y Tradicional (una aproximación a la Espiritualidad desde una concepción de la psicología que contempla al ser humano en su visión ternaria Tradicional: cuerpo, alma y Espíritu).

“La psicología tradicional y sagrada da por establecido que la vida es un medio hacia un fin más allá de sí misma, no que haya de ser vivida a toda costa. La psicología tradicional no se basa en la observación; es una ciencia de la experiencia subjetiva. Su verdad no es del tipo susceptible de demostración estadística; es una verdad que solo puede ser verificada por el contemplativo experto. En otras palabras, su verdad solo puede ser verificada por aquellos que adoptan el procedimiento prescrito por sus proponedores, y que se llama una ‘Vía’.” (Ananda K Coomaraswamy)

La Psicoterapia es un proceso de superación que, a través de la observación, análisis, control y transformación del pensamiento y modificación de hábitos de conducta te ayudará a vencer:

Depresión / Melancolía
Neurosis - Estrés
Ansiedad / Angustia
Miedos / Fobias
Adicciones / Dependencias (Drogas, Juego, Sexo...)
Obsesiones Problemas Familiares y de Pareja e Hijos
Trastornos de Personalidad...

La Psicología no trata únicamente patologías. ¿Qué sentido tiene mi vida?: el Autoconocimiento, el desarrollo interior es una necesidad de interés creciente en una sociedad de prisas, consumo compulsivo, incertidumbre, soledad y vacío. Conocerte a Ti mismo como clave para encontrar la verdadera felicidad.

Estudio de las estructuras subyacentes de Personalidad
Técnicas de Relajación
Visualización Creativa
Concentración
Cambio de Hábitos
Desbloqueo Emocional
Exploración de la Consciencia

Desde la Psicología Cognitivo-Conductual hasta la Psicología Tradicional, adaptándonos a la naturaleza, necesidades y condiciones de nuestros pacientes desde 1992.

lunes, 30 de abril de 2018

Les deux grandes questions de la non-dualité

A mon sens, l'Advaita Védânta reste ambigu sur deux questions : 1) Est-ce qu'il faut une pratique (méditative ou autre) en plus de la compréhension de la situation (=seule la conscience est réelle, le reste n'est qu'apparence) ? 2) Est-ce que les apparences restent après cette compréhension ? a) si non, alors cela contredit l'expérience. b) si oui, les apparences restent, alors elles ont survécu à la compréhension, à la connaissance, et donc elles ne sont pas dues à l'ignorance. Mais alors d'où viennent-elles ? Et pourquoi le Védânta affirme t-il que toutes les apparences ont pour cause l'ignorance ? Dans ce cas, tout devrait disparaître, comme le serpent disparaît quand on voit clairement la corde... Si elles ne disparaissent pas, c'est qu'elle ne sont pas dues, ou pas entièrement dues, à l'ignorance, selon l'adage "la connaissance n'a le pouvoir de détruire que ce qui est causé par l'ignorance". Ce dernier problème est le plus important du Védânta. Et c'est à cause de cette ambiguïté que je persiste à penser que le shivaïsme du Cachemire (ou la philosophie de la Reconnaissance, pour être plus précis), est plus pénétrant sur ce point. Sur la première question, Shankara et Sureshvara, les deux maîtres de Védânta les plus radicaux, sont clairs : seule la compréhension est libératrice. L'éveil n'est qu'une certitude inébranlable, rien d'autre. Ce sont les maîtres ultérieurs qui se sont égarés en introduisant la nécessité de la pratique du yoga et de la méditation. La seconde question, en revanche, reste obscure, même chez Shankara. Et même si leur idée est que les apparences "restent", alors pourquoi dire que toute apparence est causée par l'ignorance ? Ou alors, dans ce cas ils suggèrent qu'en un sens, les apparences font partie de l'absolu. Mais il ne le disent clairement nulle part. Ni eux, ni mêmes les maîtres du néoadvaita indien (Ramana a vaguement toléré les apparences dans son sahaja-samâdhi et Maharaj a finit par tout rejeter en bloc : on ne trouve chez lui nulle trace d'aucune "dignité de l'apparence banale" ; Atmânanda est peut-être plus clair sur ce point, mais j'en doute). Dans mon expérience, il est clair que les apparences ne cessent pas. Mais elles cessent d'apparaître séparées de leur fond de lumière. Au contraire, elles semblent plus claires, nettes, vivaces, lumineuses en lumière, comme les reflets d'un miroir bien propre. Moi et mes ami.e.s nous témoignons en ce sens. Il est étonnant que les maîtres de l'Advaita Védânta n'en disent rien. Si quelqu'un.e peut clarifier sur ce point précis, je suis tout ouïe. - Artículo*: noreply@blogger.com (Dubois David) - Más info en psico@mijasnatural.com / 607725547 MENADEL Psicología Clínica y Transpersonal Tradicional (Pneumatología) en Mijas y Fuengirola, MIJAS NATURAL *No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí enlazados
A mon sens, l'Advaita Védânta reste ambigu sur deux questions : 1) Est-ce qu'il faut une pratique (méditative ou autre) en plus de la c...

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(No suscribimos necesariamente las opiniones o artículos aquí presentados)

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